Son regard accrochait le mien. Elle n'avait dans les yeux l'ombre d'aucune fatigue, d'aucune tristesse, d'aucune peur p 19
Je n'ai jamais pleuré la mort de grand-père. J'avais juste un trou noir dans le coeur.
Mais parfois, je prenais mon épée en bois, j'allais sur le sable, et face aux vagues, je me battais contre un ennemi invisible, jusqu'à en tomber à genoux d'épuisement."p 11
Et si je m'en vais avant toi
Dis toi bien que je serais là
J'épouserai la pluie, le vent
Le soleil et les éléments
Pour te caresser tout le temps.
Françoise Hardy
c'est vraiment passionnant
Malgré l'accident malgré son corps immobilisé, elle dormait comme n'importe quel enfant dont le sommeil n'aurait été troublé par aucun cauchemar. p 16