Le Secret

D'un côté ,Pierre ,emprunt d'humilité et de sagesse et pour qui les petites merveilles de la vie n'ont pas de prix.
De l'autre, les villageois ,du notable au paysan rongés par la cupidité et convoitise.
Le tout forme un récit philosophique touchant , tout en simplicité et justesse.

Conte philosophique joliment et doucement écrit mais qui est assez prévisible dans les grandes lignes. La philosophie défendue est claire dès le départ. J'ai cependant passé un bon moment lecture avec ce roman, sans le côté donneur de leçon que je reproche parfois aux auteurs.

Quel joli conte philosophique et gentillet que celui du roman de Frédéric Lenoir.
Le « Secret » est vraiment une tendre histoire, pleine de douceur et de poésie.
Par ce roman passionnant, l'auteur a su me tenir en haleine jusqu'au bout, en dressant un portrait sur la vraie bonté de ce monde souvent opposée à sa bassesse, sa cruauté et sa laideur.


L'histoire douce de Pierre, ce rêveur, ce jeune homme pur et poète qui ne trouve pas sa place parmi ces villageois veules, cupides, envieux et hypocrites.
Suite à une mystérieuse découverte, Pierre deviendra un sujet de jalousie et de convoitise.


C'est un très joli roman d'une grande fraicheur, où Frédéric Lenoir nous amène à réfléchir sur nos propres valeurs, celles qui sont en harmonie avec son propre soi. Pour pouvoir opérer des choix, ceux que nous avons constamment à faire au cours de notre vie.
Des choix qui s'avèrent très difficiles à faire parfois et surtout en période aussi troublée comme celle que nous vivons aujourd'hui. Où nos jugements sont altérés par une ambiance anxiogène, par les questions de chacun sur son propre avenir, qu'on lui a volontairement flouté.


Faire les bons choix, c'est peut-être davantage faire confiance à son intuition, suivre sa petite voix.
Vous savez, ce tout petit murmure, cette toute petite mélodie que nous avons toutes et tous lovée en soi, faut-il encore prendre le temps de l'écouter.

Sorte de fable philosophique, autour d'un jeune homme qui vit heureux avec la nature, en se contentant du minimum. Il se heurte à l'envie et la stupidité des autres.

J'aime beaucoup les essais de Frédéric Lenoir, la plupart de ses récits aussi. Celui-ci m'a moins plu.

C'est la première fois que je lis Lenoir et j'avais peur que sa plume soit difficile d'accès. Il n'en est rien.
Le roman se finit très (trop) rapidement, un peu comme une fable.
À la manière de Pagnol, l'histoire nous emmène à la campagne, à la découverte de villageois qui vont révéler leur vraie nature : celle de l'Homme dans toute sa splendeur.
La curiosité les rendra envieux, prêts à toutes les bassesses.
Bien évidemment, le destin du personnage central en sera particulièrement impacté, lui qui ne demandait qu'à vivre tranquillement.
Malgré une fin sans réelle surprise, il trouvera le bonheur, tel qu'il l'imaginait dans sa perfection.

Une gentille petite histoire qui tend à dénoncer qu'il vaut mieux vivre caché pour être heureux et que la cupidité de certains hommes les pousse à nuire au bonheur de certains autres.

Quelle belle histoire, touchante et triste avec un grand message, un message sur ce qui est vraiment important dans la vie, sur ce que c'est vraiment le bonheur.

La belle histoire n'est pas la seule raison pour la réussite de ce livre à mon avis mais aussi la façon d'écrire avec une belle fluidité des événements en plus de l'intrigue qui est clairement présente dès les premières pages et jusqu'à la fin du roman.

C'est vraiment un livre à ne pas manquer !

Il est impossible d'être déçu avec cet auteur ! Et ici, cela relève de la parabole, du conte, de la belle histoire. On en ressort empreint de douceur, de bonheur simple, de joie profonde... A lire absolument...et à faire lire par celui qui se sent malheureux, un soir.

Un superbe livre. Délicat, tendre et dur à la fois. Comment l'attrait du gain, de l'argent et la rationalité peuvent tuer la pureté des choses, la grandeur des sentiments, la beauté des émotions. Ceci pose la question de nos filtres de notre incapacité à accepter l'autre dans sa différence...

Je viens de terminer ce conte philosophique de Frédéric Lenoir, et j'en suis encore très émue. On a parfois comme une impression de Daudet ou bien encore beaucoup plus de Marcel Pagnol dans cette écriture fluide, une histoire si simple et au final, toute la petitesse des hommes et leur avidité dans ce conte. J'en ai eu les larmes aux yeux, je le reconnais bien volontiers...