Jusqu'au mois de novembre 1956, nous portions des masques de tissu.
Si j'avais à me déplacer, soit pour aider mon père, soit pour une course quelconque, je portais sur la bouche et le nez un masque de soie doublée que ma grand-mère nous avait tricoté.
Yukio, tu sais, le bonheur et le malheur ne sont pas si différents. C’est juste une question de temps et de larmes...