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Je ne m'étais pas rendu compte que cela faisait plus d'un an que nous lisions un tome des enquêtes de Brunetti tous les mois, sans nous lasser ! Avant ça nous nous étions arrêtées après le tome 17 de l'inspecteur Pendergast qui ne nous motivait plus vraiment !

Nous sommes donc à Venise avec un médecin qui s'angoisse à l'idée de la visite hebdomadaire à l'une de ses patientes : l'avare, acariâtre et méchante, Maria Grazia Battestini ! le dottor n'aura plus d'angoisse, il la retrouve morte, le crâne défoncé, l'appartement en désordre et la femme de ménage absente !

Brunetti est en vacances, Scarpa, l'âme damnée de Patta, est chargé de l'enquête et pour lui tout est clair : c'est la femme de ménage roumaine ! Mais l'infâme vieille femme était détestée de tous et sa voisine d'en face va disculper l'employée de maison. de retour Brunetti va prendre au sérieux les déclarations de la voisine.

Un volume beaucoup moins désespéré et moins sombre que les précédents même s'il y a beaucoup de thèmes abordés : chantages, faux papiers, prévarication, exploitation humaine, racisme ordinaire... Et dans celui Brunetti va prendre conscience que lui aussi peut être influencé par des idées préconçues qui l'empêchent dans le cas présent à regarder plus près de la victime !

Les relations du personnel de la Vice-Questure ont une place importante dans les enquêtes puisqu'elles amènent des changements de comportements. Et tout comme cela j'aime bien quand apparait la famille Brunetti où les échanges sont toujours bien amenés et même s'ils n'apportent pas toujours quelque chose à l'histoire, cela donne de la substance au personnage de Brunetti dans Venise qui est une ville où l'intimité n'est pas vraiment de mise et les relations sociales spécifiques !

Bientôt la suite !

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Suite de mes fouilles sur youtube, j'ai ainsi trouvé une nouvelle auteure à découvrir. Comme d'habitude, je n'ai même pas relu le résumé de façon à ne pas me laisser distraire s'il est trop bavard.

Le début de l'intrigue est très long à se mettre en route. L'auteure nous noie dans les détails de la vie de certains personnages et avec tous les noms à rallonge des Vénitiens (signora, …). J'ai perdu le fil assez régulièrement pour le reprendre quand l'enquête refaisait surface. le style de l'auteure est malgré tout agréable et son commissaire Brunetti m'intrigue par sa manière de procéder. Par ailleurs, l'auteure prend un malin plaisir à nous balader dans Venise et ses canaux, j'ai fini par m'y faire malgré l'absence de plan. Malgré un début long, j'ai suivi avec intérêt l'enquête du commissaire Brunetti. Jusqu'à la fin, je l'ai écouté sans trop chercher plus que ce qu'il racontait. Et j'ai bien fait car j'étais loin de me douter de cette résolution. Grâce à Brunetti, nous apprenons à mieux connaître le fonctionnement juridique et politique de Venise. Même l'appartenance à Venise est très spécial, ce n'est pas comme les Corses mais pas loin. Ce commissaire est un joyeux mélange entre Adamsberg et Montalbano. le rythme est lent mais on ne s'ennuie jamais, malgré les scènes de vie de famille de Brunetti. Il m'a quand même fallu un petit temps d'adaptation pour ce personnage et son enquête, ainsi que pour le ton utilisé par le lecteur. Il doit être d'origine italienne car il prononce tous les noms (rues ou personnes) avec l'accent et les titres de chacun correctement énoncés.

Comme vous l'aurez compris, ce tome a été une excellente découverte malgré un début un peu long. Je ne connaissais pas cette série mais je vais m'y pencher de plus près, d'autant plus que d'autres titres sont dispo en audio. Un polar comme je les aime, même si certaines descriptions m'ont paru un peu longues, où nous visitons un nouvel endroit avec ces us et coutumes tout en résolvant une enquête. Je vous conseille donc de découvrir cette série et son auteure américaine vivant à Venise, surtout si vous êtes amateurs d'Adamsberg.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Le moins que l'on puisse dire c'est que la mort de Maria Battestini ne va faire pleurer personne car cette vieille dame de 84 ans était une véritable plaie pour tout le monde.
Odieuse et méprisante envers son personnel, sa famille, ses voisins et les commerçants du quartier, elle ne sera pas regrettée, même si son meurtre a été particulièrement horrible.
Guido Brunetti étant en congés, c'est un de ses collègues qui se charge de résoudre ce crime et il boucle l'affaire en un éclair. Mais la coupable toute désignée, la bonne d'origine roumaine, n'est peut-être pour rien dans cette histoire….
C'est sous un soleil accablant que le commissaire Brunetti va reprendre l'affaire à son retour de vacances, et il va pénétrer dans les sombres secrets d'une dame âgée unanimement détestée.
Ce volume, tout comme les précédents, nous confrontent à la corruption qui semble avoir envahi absolument tous les domaines et tous les niveaux de la société Vénitienne.
Le rythme est lent, mais cette balade dans Venise qui semble écrasée sous un soleil de plomb m'a beaucoup plu.
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Revêche, acariâtre, pingre, méchante, insultante, Maria Battestini, vénitienne octogénaire, n'a pas laissé de malheureux autour d'elle en se faisant assassiner. Son médecin va s'éviter les pénibles visites hebdomadaires, sa nièce va récupérer son appartement et ses voisins vont retrouver la tranquillité. Pour le lieutenant Scarpa, l'affaire est simple et vite résolue. Maria Battestini a été assassinée par sa femme de ménage roumaine. D'ailleurs, elle a tenté de quitter le pays le jour même, a été retrouvée dans un train avec sur elle une forte somme d'argent et, si elle s'est tuée accidentellement en fuyant la police, ce n'est qu'une preuve de plus de sa culpabilité.
Pourtant, quand elle rentre de Londres où elle a passé trois semaines, la signora Gismondi ne croit pas à cette version des faits. Pour elle, Florie, la bonne roumaine, ne peut être coupable. Elle peut le prouver et est bien décidée à se faire entendre par la police. C'est finalement le commissaire Brunetti, frais et dispos après des vacances familiales en Irlande, qui saura entendre ce qu'elle a à dire et décidera de chercher un autre coupable.


Après une longue pause, me revoilà à Venise en compagnie de Guido Brunetti que j'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir. Comme d'habitude, il enquête sur un service administratif -ici, le Service de la Commission Scolaire- et la corruption n'est jamais loin.
Malgré une victime antipathique à souhait, Brunetti entame son enquête sans a priori, bien décidé à arrêter le coupable quel qu'il soit. Pour cela, il peut compter sur l'aide de son fidèle Vianello qui s'initie peu à peu aux méthodes (douteuses) de la signora Elettra mais aussi sur les moments de pause que lui procurent ses enfants et sa femme Paola fine cuisinière.
Chaleur accablante, chantage, corruption, travail clandestin, avocate véreuse, Brunetti a fort à faire pour démêler les fils d'une enquête qui va le questionner sur les motivations d'un meurtre.
Le rythme est lent mais pas ennuyeux et c'est toujours un bonheur de se promener dans les ruelles étroites et sur les canaux de Venise. Une bonne enquête, un bon moment de lecture.
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Une victime odieuse, un lieutenant de police plus occupé par sa carrière que par la quête du vrai coupable, un commissaire dont on se prend tout de suite de sympathie, entouré d'une équipe aux méthodes un peu douteuse mais que l'on ne peut s'empêcher d'approuver. le tout parsemé de visites de Venise et de cuisine italienne…
Le rythme n'est pas trépident mais on ne s'ennuie jamais… Un bon polar au suspens bien maintenu et la vraie raison du meurtre bien dissimulée jusqu'à la fin. A conseiller sans hésitation !
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Après un an passé, Zazaboum et moi, en compagnie de Brunetti, nous continuons nos virées mensuelles dans la Sérénissime !
La signora Battestini, vieille femme odieuse et acariâtre, est retrouvée assassinée chez elle, le crâne défoncé.
Qui pouvait assez détester la gorgone pour y mettre autant de violence et de colère ?
Elle n'avait quasi aucun contact avec l'extérieur, n'était pas sortie de chez elle depuis plusieurs années et pourtant elle rendait la vie impossible à tout le quartier.
Le lieutenant Scarpa est responsable de l'affaire, tout porte à croire que l'auxiliaire de vie étrangère a fait le coup, affaire classer.
Mais quand un témoignage crucial vient donnerr un nouvel éclairage, Scarpa rechigne à y porter une quelconque importance, au contraire, et Brunetti reprend le flambeau.

Très bon tome avec du suspense et des rebondissements, une nouvelle fois les problématiques contemporaines italiennes, plus généralement occidentales, y sont pointées du doigt. Donna Leon a le don d'appuyer là où ça fait mal !
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De temps en temps je lis volontiers une enquête du commissaire Brunetti.
Dans ce tome pas de réelle surprise mais une recette efficace.
Tout commence par la découverte du corps d'une octogénaire par son medecin.
La victime ne sera regrettée par personne mais cela n'empêche pas à Brunetti d'enquêter jusqu'à trouver le mobile : la victime faisait chanter un notable.
S'est il vengé ?
Un enquête sur fonds de corruption….
J'ai aimé retrouvé Brunetti même si l'enquête n'a rien d'exceptionnel
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J'ai pris ce livre à ma médiathèque parce que je ne trouvais rien qui m'inspirait. J'avais lu en français Dissimulation de Preuves. On retrouve le commissaire Brunetti face au meurtre d'un vieille dame que tout le monde détestait tellement elle était odieuse. Mais, inutile de chercher un coupable, c'est forcément son aide ménagère qui l'a tuée !
La version originale est très facile à lire si on veut s'amuser à lire de l'anglais.
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Lu en anglais, la lecture n'en fût que plus difficile car je n'ai pas accroché à ce roman. le meurtre d'une vieille dame, un suspect tout trouvé, un peu trop facile pour notre commissaire Brunetti qui va alors reprendre le dossier. J'ai trouvé qu'il y avait un peu trop de facilité dans le déroulé de l'intrigue, les personnages, en dehors du commissaire, sont assez peu travaillé et pour combler le tout, l'intrigue et pas franchement prenante.
Une déception de plus pour cette auteure mais une satisfaction d'en avoir enfin terminé. Seul point positif, les descriptions de Venise et son magnifique décor très bien retranscrit. Au moins ce roman m'a permis de voyager un peu même si ce n'est pas un bon roman à mes yeux.
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Un bon policier qui se lit tranquillement. A Venise, Maria Battestini environ 80 printemps, exaspère tout le monde. Une tatie Danielle vénitienne, acariâtre, pingre, méchante, grippe-sou... Même son docteur ne peut la supporter. Il la découvre lors d'une visite le crâne défoncée. La police poursuit la piste la plus simple : son aide ménagère roumaine a pris la fuite en train. Elle est rattrapée mais terrorisée par les policiers, elle s'enfuit et meurt percutée par un train. La coupable idéale, sauf quand une voisine rentre d'un séjour linguistique et remet en cause cette théorie. Elle se heurte à un liieutenant obtus mais le commissaire Brunetti s'en mêle fort heureusement...
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