Si je croise un livre de
Michèle Lesbre que je n'ai pas lu, je ne résiste pas. C'est le cas pour
Chemins rencontré par hasard sur l'étal d'une librairie. Cette fois nous cheminons dans les souvenirs d'une femme dont nous ne connaissons que le surnom que son père lui a donné"goule pia".
Il y a bien sûr le chemin physique, celui de la mémoire et au bout du bout celui de l'apaisant pardon. J'aurais aimé que la ville de son enfance ne soit pas nommée R, ce qui m'aurait sans doute permis de visualiser les lieux. j'ai découvert l'existence de
Henry Murger et aimé rencontrer
Jean-Claude Pirotte au détour du chemin.
Je suis sortie de ce livre, moi aussi apaisé.
Commenter  J’apprécie         40