Quand il ne dormait pas, il travaillait, et sa conscience était devenue aussi aride que celle d’une machine. Son esprit s’était entièrement vidé de toute pensée. Il n’avait plus le moindre idéal et ne nourrissait plus qu’une seule illusion : il croyait toujours boire de l’excellent café. C’était un bourreau de travail.
Il ne se plaignait jamais et faisait preuve d’une résignation aussi effroyable que l’école où elle lui avait été inculquée.