Le cinquième tome d'une série de fantasy urbaine russe que j'aime beaucoup. En théorie, c'est le dernier, mais bon, ça ne serait pas la première fois que l'auteur nous en rajouterait un par surprise ! Il est toujours prêt à reprendre certains des points laissés en suspens dans les premiers tomes, et qui sont passés presque imaperçus. Il faudrait que je vérifie la cohérence en relisant le premier.
La structure est la même que d'habitude : trois novellas, dont chacune a une vraie fin, mais qui à elles trois forment une histoire plus importantes, et - au moins dans ce cas particulier - assez épique. J'aime beaucoup. hacun des scénarios est très bien ficelé et réussit toujours à surprendre tout en restant très cohérent, chacun d'entre eux mélange des scènes de la vie quotidienne avec des moments à enjeu autrement plus haut.
J'aime toujours les interrogations éthiques (même si Anton continue à croire de moins en moins à la possibilité de changer les choses, c'est logique dans son évolution, mais c'est un peu triste), j'aime beaucoup Arina et apparemment Lukyanenko aussi parce qu'on la retrouve encore ici (même si parfois j'ai un léger malaise, que je ne saurais cerner, avec son écriture des personnages féminins), j'aime beaucoup l'humour, en particulier celui basé sur les références culturelles et sous-culturelles que font sans arrêt les personnages, et aussi sur le sarcasme d'Anton.
En bref, je me suis rappelé pourquoi j'aimais cet univers et cette série, et ça fait plaisir !
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'I won't be able to tell mummy anything?' asked Kesha.
'Not a thing,' Gesar confirmed.
'But Hermione,' saif Kesha, glancing at Gesar from under his eyebrows, '...that's Harry Potter's friend...'
'I know,' Gesar said approvingly.
'She told her parents.'
'But afterwards, remember, she had to erase her memories,' Gesar remarked gently. 'Believe me, it's best not to say anything at all.'
Yeah, after J.K. Rowling's books the job has become much easier. Children grasp the basic idea without even a blink now, only the absence of Hogwarts is a serious disappointment for them. Gesar claims that Rowling was commissioned to write her books by the London Watch, or, rather, both Watches, and the decision to let her have a strictly controlled amount of information was taken by the Inquisition. Maybe it's true. Or maybe he's just joking. For Light Others the ability to joke easily compensates for the impossibility of lying.
Bande annonce VF de 'Day Watch", réalisé par Timur Bekmambetov (2006) et adapté du roman éponyme de Sergueï Loukianenko.