Je te vois

Zoé prend, chaque jour, le métro londonien pour se rendre à son travail. Elle suit toujours le même itinéraire, se place aux mêmes endroits, choisit les mêmes places.
L'habitude rassure.
Jusqu'au jour où, dans la gazette du métro, elle voit sa photo sous une annonce pour un site de rencontres. Qui l'a prise en photo à son insue ? Quel en est le but ?
Et soudain, elle se sent suivie, regardée, traquée. Elle voit alors des menaces partout.
Sa famille lui dit qu'elle se fait des idées.
Elle contacte une jeune policière qui l'a croit et prend à coeur son récit.
Le jeu du chat et de la souris débute.
Un bon polar, qui se lit vite. Rien d'exceptionnel mais qui donne envie d'aller au bout.

J'ai mis du temps à entrer dans le roman mais il faut reconnaître qu'en suite l'autrice a su faire monter le suspense et on se met à douter de tout le monde et on s'angoisse au fil des pages jusqu'à être vraiment surpris et déçu. On ne peut vraiment faire confiance à personne...

Un thriller psychologique qui se lit facilement et qui risque de nous rendre paranoïaque le livre terminé.!
Attention Métro Boulot Dodo... La routine est dangereuse on le sait...
La fin est surprenante, elle laisse peut être supposer une suite...
À voir !

Les "followers" ... sur TWEETER, c'est déjà à mon sens dangereux, mais dans la vraie vie d'une anonyme, ça donnerait quoi ?
Le quotidien banal de plusieurs femmes ordinaires qui vont travailler, vivent en couple, sont célibataires, médecins ou secrétaires : en fait, un quotidien tellement banal que leurs déplacements sont enregistrés tous les jours par des caméras de surveillance qui pullulent un peu partout dans nos vies ... Censées nous rassurer, que se passerait-il, si elles étaient détournées de leurs fonctions et permettaient à un "chasseur" de créer un facebook d'un nouveau genre : un facebook qui permettrait moyennant finances à un/des hommes de savoir où vous aborder, quoi vous dire pour vous séduire, un jeu de dupes d'un nouveau genre qui peut très mal tourner ?
Nos deux principaux protagonistes :
- Zoé, mère divorcée, deux adolescents (1 fille ravissante de 19 ans qui fait du théâtre et ne veut pas entendre parler de secrétariat et 1 fils de 21 ans qui travaille dans le café de sa meilleure copine, Melissa), un nouveau compagnon
- Kelly, policière qui travaille sur le réseau ferré et s'y ennuie et qui voudrait réintégrer les forces de l'ordre classique. Kelly rétrogradée parce qu'elle a frappé un suspect de viol en salle d'interrogatoire, Kelly qui a eu sa soeur, violée, soeur qui veut oublier pour avancer alors que Kelly ne veut pas.
Tandis que l'enquête se déroule, on observe comment Zoé finit par suspecter tout le monde, la difficile compréhension de ses proches, la peur de tout et de rien qui finit par la gagner. Parallèlement, le responsable fait des interventions dans le texte en parfait commercial froid qui connaît son business et a étudié son marché ... Indiscutablement accrocheur malgré une couverture un peu tartignole à mon goût, ce deuxième roman est passionnant et aura sûrement une suite (enfin, je présume ...)

Zoe Walker est en marche...droit sur les emmerdes, à l'insu de son plein gré.
Une photo lui ressemblant étrangement dans un magazine et c'est une machine paranoïaque parfaitement huilée qui lui tient désormais compagnie H24.
Personne ne semblant croire à ses dires, c'est tout naturellement du côté de la maréchaussée que viendra le salut.
Un salut en guise d'au-revoir, pour commencer, puis une réelle planche à laquelle se raccrocher en la personne de l'agent de police Kelly Swift, personnage un brin caractériel aux dires de sa hiérarchie et de l'une de ses victimes lors d'un interrogatoire on ne peut plus musclé. ITT de 30 jours à l'appui.
L'ennemi se veut invisible et diabolique.
Je te vois, véritable jeu du chat et de la souris, peut désormais commencer.

Clare Mackintosh, le retour.
On va pas se mentir, l'aller, avec Te laisser partir, m'avait bien plus transporté alors qu'il est ici question de métro Londonien, c'est dire le sentiment déceptif de l'affaire.
Outre un final que l'on suppute assez rapidement, et c'est un gars qui avait déjà du mal à miser une piécette sur le coupable dans Columbo qui vous l'affirme, le tout se veut rapidement poussif, multipliant les fausses pistes grossières à l'envi, tout en jouant sur un aspect trauma psychologique maintes fois rebattu.

Si le pitch s'avérait intrigant, son développement m'est apparu aussi routinier que le postulat de départ visant justement à asseoir ce thriller psychologique déroulé à un métro de sénateur.

J'aurais adoré adorer.
Je te vois occasionna un bon moment, bien loin, en terme d'intrigue et de suspense, de son aîné fort logiquement plébiscité.

Zoe Walker emprunte quotidiennement le métro et feuillette le journal distribué sur le quai. Un matin, elle y découvre sa photo dans les petites annonces, sous l'adresse d'un site Internet.

Qui a pris ce cliché à son insu ? Dans quel but ? Et puis est-ce bien elle ? Sa famille n'en est guère convaincue. Zoe ne trouve qu'une oreille attentive : celle de Kelly Swift, un agent de la police du métro, car le meurtre d'une femme qui avait également découvert sa propre photo dans le journal persuade Kelly que quelqu'un surveille les moindres faits et gestes des passagères. Chacune de leur côté, Zoe et Kelly vont lutter contre cet ennemi invisible ...

J'ai trouvé que l'intrigue était originale, l'auteure joue sur nos peurs contemporaines. Je prends le RER et métro tous les jours, le matin a la même heure (quand il n'y a pas de problème sur ma ligne) , j'ai un pass qui sonne chaque fois que je passe les portillons, je ne vois pas les cameras et n'y prêtent aucune attention mais je sais qu'elles sont la après-lecture, je me suis dit l'histoire ce tien, on pourrait me suivre, nous suivre via nos trajets quotidiens, et ceux de plus grace à la modernisation : Camera , pass ...

Concernant l'histoire cela traîne en longueur, j'ai eut une preference pour l'agent Swift , Zoe et Katie m'ennuyaient avec leur chamaillerie ... Beaucoup de répétitions dans l'écriture , au début j'ai un peu soupçonné tout le monde ou presque puis au quart du livre je suis tombé juste et même si la fin est plaisante par son originalité, elle ne le fut pas surprenante pour moi tout du moins concernant celui ou celle que je pensais coupable ... Donc comme pour te laisser partir, je reste mitigée ...

Avis mitigé concernant ce bouquin.
Heureusement que l'intrigue était bien menée et achevée mais le début de lecture a été compliqué pour moi. Trop de passages inutiles, de détails insignifiants qui m'ont fait poser le livre un bon mois avant de le reprendre.
L'histoire commence pour moi, réellement après la page 150.
Malgré tout, les changements de personnages entre Zoé et Kelly sont bien menés, on voit l'avancement de l'enquête de deux points de vues : victime et policière.
Je n'aurais pas imaginé ce coupable et encore moins l'épilogue de la fin. Même si j'ai eu des difficultés à me lancer dans ce livre, la fin nous laisse en suspens et avec l'envie de continuer à suivre l'enquête et coincer les coupables.
Je mets donc 3 étoiles et pas plus pour le début de l'histoire qui m'a ennuyé du fait des nombreux passages insignifiants.
Sinon cela reste un bon livre qui en tant que femme nous fait prendre conscience que la routine peut paraître réconfortante dans nos différentes habitudes mais qu'elle peut aussi nous conduire à notre perte, que le danger peut venir de partout et de n'importe qui.

C'est un bon thriller psychologique avec pour thème le harcèlement dans les transports urbains.
L'intrigue est bien ficelée, réaliste mais un peu lente par moments.
Vers la moitié du livre , l'ambiance devient oppressante. le dénouement est un peu surprenant et l'épilogue très glaçant.
Bon moment de lecture.

Ingrédients classiques d'un thriller. Se lit bien, mais basé sur une intrigue peu crédible, donc perd son intérêt.

Il se lit assez vite mais traîne souvent et on ne se laisse emporter, vraiment pas mal et j'ai bien aimé la fin franchement pas mal l'idée du fils complice et du coup le cauchemar est loin d'être fini 😂