Otaku Blue, tome 1 : Tokyo Underground

Pour payer ses études, Asami travaille en tant qu'hôtesse de charme dans un maid café. Elle a choisi ce milieu puisqu'elle rédige une thèse sur les otakus. Mais ce travail commence à lui peser et à créer des tensions avec son compagnon, Kotaro. Elle va donc décider d'arrêter et d'effectuer ses recherches par le biais de rencontres-interviews. C'est par ce canal qu'elle va être contactée par le célèbre Buntaro, qui semble être la personne toute indiquée pour obtenir nombre d'informations pertinentes pour étayer sa thèse. Pendant ce temps, les policiers enquêtent sur une série de crimes avec mutilation visant des prostituées.
Cette bande dessinée se termine en 2 tomes. J'ai beaucoup apprécié le côté soigné et lumineux des dessins. le texte n'est pas en reste : on sent que l'auteur a une certaine maîtrise du sujet, ou qu'il s'est doté d'une documentation solide. Reste à voir ce que va réserver le tome 2 !

Je reste sur ma faim... 😕

Avec cette BD on nous propose un thriller sur le monde des Otakus au Japon.
On suit une jeune femme doctorante en sociologie qui fait sa thèse sur les otakus.

Les passages où elle parle de son sujet de thèse ont été totalement incompréhensibles pour moi... mais bon en soit c'est pas grave.

En parallèle des recherches de cette jeune femme, on suit deux policiers qui enquêtent sur des meurtres en série avec des mises en scène étranges. Il manque des parties des corps. Ce sont toutes des jeunes femmes prostituées.

Et c'est là où je reste sur ma faim. En fait à la fin on n'en sait pas plus... on nous a seulement présenté les personnages mais il n'y a pas encore de lien entre les deux fils conducteurs 🙁
Je suis sûre que ça vient dans le tome 2 ! J'aurais aimé que la fin donne davantage envie de continuer.
Je ne suis pas sûre de lire la suite du coup...

L'histoire se déroule à Tokyo. Je dis « l'histoire », mais nous en suivons deux : celle de l'inspecteur Arakawa qui enquête sur le meurtre de prostituées, et celle d'Asami, étudiante en sociologie et dont les recherches portent sur les otaku.
Dans ce premier tome, ces deux récits n'ont de lien que le lieu, et le désir de collection. Je n'ai pas grand chose à dire là-dessus, si ce n'est que le récit me semble assez prévisible, mais sans pour autant être désagréable, sans l'aspect péjoratif du prévisible : nous nous doutons qu'il va y avoir un lien entre ces deux recherches, policière et sociologique, car les auteurs ne nous présentent pas ces deux récits innocemment. Je me suis laissée happer par le récit, et je veux découvrir la suite et fin : pourquoi ces meurtres ? Quel est le point de départ de tout cela ? Comment vont évoluer les héros ?
Ce que j'ai aimé dans cette bande dessinée, en plus de l'intrigue et du contexte (Tokyo, l'univers des otaku, le genre thriller…), ce sont les personnages : en peu de pages, nous avançons dans la narration, mais nous apprenons aussi à connaître les principaux protagonistes, qu'il s'agisse d'Asami et de son petit copain, d'Arakawa et de son collègue…
(...)

Tokyo underground est un bon premier tome qui permet de mettre en place de solides bases pour la suite, et pourquoi pas nous surprendre. Dès que l'occasion se présentera, je me jetterai sur le second tome.
Lien : https://malecturotheque.word..

Ce premier tome a un goût de trop peu. Alors qu'Asami mène l'enquête pour sa thèse de sociologie sur les otaku et cherchent à rencontrer la figure ultime du milieu, Tokyo se voit la scène de macabres découvertes. Des jeunes filles sont retrouvées atrocement mutilées.Pendant tout le long du tome, on passe d'une histoire à l'autre avec habileté. Au départ, on ne sait pas vraiment ce qui relie les deux. Puis petit à petit, on commence à imaginer la suite, la connexion.Mais pour la découvrir, il faudra attendre le deuxième et dernier volume de cette série, qui va être longue à venir. Patience, patience.

Déjà il faut avouer que la couverture est une réussite. Ca attire l'oeil!
Le scénario nous plonge dans tokyo, sur les pas d'une jeune étudiante en sociologie qui se penche de près sur la culture otaku tandis que dans les rues sévis un tueur en série qui mutile de belles jeunes femmes.
Une BD sympathique sans être extraordinaire tant sur le plan de l'histoire que sur les dessins.

Comme d'autres lecteurs , les superbes couvertures m'ont attiré.
Cette enquête qui se déroule à Tokyo est très dépaysante et en fait l'histoire vaut surtout pour cela.
En effet le suspens est vite levé dans le deuxième tome qui est au final un peu décevant.

C'est la couverture de cet album qui a motivé mon achat. C'était à la librairie le Bleuet, à Banon. Et quand on connait mon attrait pour le bleu, le titre était bien évidement pour moi !
C'est un diptyque qui raconte l'aventure d'une étudiante en sociologie. Son domaine : les otaku (personne qui consacre une certaine partie de son temps à une activité d'intérieur comme les mangas, les idoles japonaises, ou encore les jeux vidéo). En parallèle, deux flics sont sur les traces d'un serial-killer ...
La première partie est Tokyo underground, le titre résume tout !
Une immersion dans la culture japonaise intéressante, des dessins très colorés et un suspens bien mené qui devra aboutir dans la seconde partie : Obsessions.
Lien : http://bibliobleu.blogspot.fr/