Citations sur Le jour où, tome 1 : Le jour où le bus est reparti sa.. (111)
Beaucoup de ces gens voulaient mon bien. Ils avaient peur pour moi... et d'ailleurs, moi aussi, j'avais peur.
Et les autres, ceux qui n'avaient jamais osé tenter quoi que ce soit dans leur propre vie, n'allaient pas encourager quelqu'un à vivre ses rêves, alors qu'eux-mêmes ne l'avaient jamais fait...
(...)
Antoine voulait me faire comprendre que je devais me faire confiance et cesser de rabâcher des pensées négatives dans ma tête... qu'elles viennent de moi ou des autres.
Et surtout, je devais faire taire ma peur ! La peur de ne pas être à la hauteur, la peur d'échouer, la peur de décevoir, la peur d'abandonner un semblant de confort...
...la peur d'être différente des autres, de me retrouver seule, de passer à côté de ma vie, la peur des situations nouvelles, la peur du changement...
La peur de tout !
nous devons toujours avancer, aller de l'avant et chercher à nous améliorer.
Quelles que soient les difficultés que nous rencontrons il ne faut jamais baisser les bras.
C'est bien de savoir saisir l'instant, comme tu viens de le faire !
Ces hérissons ne resteront pas là toute la journée, le soleil si.
Il faut toujours privilégier ce qui est éphémère et précieux !
nos manques nous obligent souvent à aller chercher en nous des ressources que nous ne soupçonnons pas.
Ah, la peur ! Elle nous fait croire que le monde est menaçant, rempli de risques...
Et elle nous empêche de saisir tant de petits moments agréables et précieux...
Vous êtes visiblement coincée ici. Alors, comme ce moine, acceptez la situation et dites : "Puisqu'il en est ainsi !"
- C'est un être éveillé, vous savez...
- Oh, je le suis, moi aussi ! Tous les matins à 6 heures pétantes ! Qui dit mieux !
Je ne comprends pas d'où vient ce sentiment de vide... Comme si quelque chose n'allait pas dans ma vie, sans que je sache de quoi il s'agit...
J'ai l'impression que c'est toujours la vie qui décide pour moi !
Une fois installée, tu inspires à fond... puis tu expires... Et dans ta tête, tu comptes 1...
Tu inspires, tu expires... et dans ta tête tu comptes 2 !
Dès qu'une pensée vient t'interrompre, tu arrêtes tout et tu recommences à zéro !
Au départ, ce sera sans doute le cas après deux ou trois respirations... et quand tu seras repartie trois fois à zéro, tu peux arrêter. Tu réessayeras plus tard, ou le lendemain...