Le Trône de fer, tome 6 : Intrigues à Port-Réal

Bon, j'avais eu les six premier tomes, donc je continue à lire pour connaitre mieux cette histoire adaptée aujourd'hui en série, malgré la grand difficulté de l'écriture.

Le jeune et inconséquent roi Joffrey semble bien installé sur le trône de fer. L'usurpateur Baratheon est mort, l'armée de son frère Stannis a été défaite devant Port-Réal et le souverain Robb se retrouve dépossédé de ses propres terres. Joffrey n'a pourtant participé à aucune bataille. Il doit ces succès au courage de son oncle Tyrion et à la ruse de son grand-père Tywin. C'est un roi velléitaire, lâche et cruel qui s'apprête donc à régner sur les Sept Couronnes. Toutes les forces en présence n'ont cependant pas dit leur dernier mot.

L'histoire n'avance pas beaucoup dans ce tome-là. Je trouve que l'on est plus dans de la stratégie avec des trahisons, des placements militaires... Bref, j'ai trouvé ce tome un peu en-dessous des autres. Je n'ai pas vraiment emballé.

Les personnages avancent doucement. J'aime toujours les mêmes, cela ne change pas beaucoup. Mais j'ai du mal à m'attacher aux autres du coup... Dommage, mais pas si dramatique que cela.

Le style d'écriture est très dure au début, mais après l'on se prend dans l'histoire et l'on lit relativement vite la fin de l'histoire (on achète même les tomes suivants). L'auteur utilise beaucoup de description ce qui est appréciable pour moi, j'adore les romans très descriptif, cela me permet de mieux rentrée dans l'histoire. le seul truc c'est qu'il y a beaucoup de personnages et donc "Ouf" que j'ai vu la série avant sinon j'aurai été perdu complètement.

En général, ce roman a beaucoup traîné dans ma PAL, car cela n'est pas une lecture facile, même si j'ai beaucoup l'univers et que je lirai surement.
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J'ai lu ce tome bien plus rapidement que le précédent. Cela est probablement dû au fait qu'il n'est pas centré sur les batailles entre les différents camps revendiquant le trône de fer. Ici, chaque camp se remet de ses blessures et tire les conséquences de ce qui s'est produit. On suit plus particulièrement les personnages de Tyrion, blessé gravement lors de la bataille de la Nera et qui découvre que son père a repris sa place de main du roi. Sansa est également à l'honneur, et on la suit à partir du moment où elle a été répudiée par Joffrey. Certains chapitres sont consacrés à Arya, qui cherche toujours à rejoindre Robb. Et, grâce à Catelyn, nous suivons toujours les avancées de Robb dans sa guerre contre lord Tywin.
Une grande part du tome est consacrée à la garde de nuit et à son expédition au-delà du mur. On suit, du coup, un nouveau personnage, Samwell, "le pleutre".

@Intrigues à Port-Réal est le sixième tome du trône de fer et bien malin qui pourra deviner qui portera la couronne au final. Ce qui est sûr, c'est que les prétendants ne manquent pas et que les alliances sont mouvantes.

Brienne de Torth et Jaime sont toujours en route vers le donjon rouge et bien des péripéties les attendent.

Jon toujours au-delà du mur joue un jeu dangereux chez les sauvageons, il tient une part importante de l'épisode.

Arya toujours en route vers Winterfeld montre une fois de plus son courage et sa détermination, c'est ma petite chouchou.

Sa soeur Samsa montre encore son côté fleur bleue et risque de louper l'occasion de s'échapper. Margaery promise à Joffrey sympathise avec elle et Lady Olenna sa grand-mère propose à Samsa de se rendre à Hautjardin afin d'y épouser Willos Tyrell mais dans le château les murs ont des oreilles et Tywin Lannister prépare sa contre attaque à la surprise de Tyrion qui, depuis qu'il n'est plus main du roi, a bien du mal à s'imposer.

Un tome plein de surprises et surtout l'apparition en tant que narrateur de Samwell Tarly dans une scène de bataille effroyable qui reste un moment fort du roman. Pas facile de combattre des morts  !

Des aventures toujours aussi palpitantes un immense plaisir de lecture une fois de plus.

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Ici commence une nouvelle partie de la saga. Ce tome sert principalement de transition. Un temps s'est conclue avec la défaite de Stannis, un nouveau va commencer. Dans le vrai nord, Samwell et Jon marchent vers le sud. Dans le sud, Davos et Tyrion ont survécu. Entre les deux Arya, Brienne et Catelyne vivent le Conflans, se croisent sans se voir.
Je ne comprend pas bien le titre. Désormais, Tyrion a été évincé, nous nous retrouvons extérieur à tout cela. Au contraire, nous voyons de l'extérieur Lannister et Tyrell tirer de nouvelles lignes.
C'est un tome de transition. Il est intéressant parceque nous retrouvons de vieilles connaissances, mais dans le fond rien de captivant ne se passe vraiment, simplement des promesse de mariage ou ou celles des rencontres du lord Beric, ou des Martell ...
C'est dans des tomes comme celui-ci, grossièrement vides, que je doute véritablement de l'intérêt de ce découpage.

Après une pause de plusieurs mois, je chemine de nouveau sur le chemin des Sept Couronnes et en apprends de belles! La lecture est simple et du coup très rapide; quant à l'intrigue, c'est elle qui vous tient et vous embarque dans la saga.
Résultat, je me plonge aussitôt dans le tome suivant.

Une suite toujours aussi mémorable, j'ai du mal à poursuivre la chronique de ces tomes car pour moi ils sont tous de véritables pépites littéraires dignes d'être lu, digne d'être adoré, adulé...
Nous poursuivons les péripéties de nos personnages favoris mais nous découvrons aussi les autres aspects de nos ennemis.

SPOILER Dans cette intégrale-ci, qui comporte les tomes 6 à 9, nous reprenons là où s'est terminé le tome 5, soit après la magnifique bataille entre Stannis Barathéon, et la famille Lannister (non, je ne dirais pas le nom de ce petit con, car pour moi il n'a servi strictement à rien !)FIN SPOILER. Nous n'allons pas retrouver les dégâts causés dans ces familles, les pertes humaines, matériels et financiers, mais plutôt les autres personnages, les autres familles. Autrement dit, tout ce qui s'est passé loin de Port-Réal pendant cette bataille charnière.

Ce tome est plutôt calme, après la tempête vient l'attente insoutenable, l'accalmie étrange, mais qui fait du bien, car notre moral en prend un sacré coup avec cette série. Néanmoins les trouvés vraiment très calmes, parfois je m'ennuyais, ce qui est rare avec cette série. Mais cela n'a entaché en rien pour mon amour pour cette histoire.

J'ai aimé poursuivre l'aventure d'Arya Stark, qui poursuit son périple bien dangereux pour une petite fille, mais aussi Jon Snow au-delà du Mur, et son ami Samwell, qui prend de l'ampleur au fil des tomes ; j'aime découvrir ce nouveau personnage qui, à première vu, n'amenait pas grand-chose à l'histoire, mais son courage et son intelligence font désormais de lui un être à part entière, j'ai hâte de le voir davantage évoluer !
Enfin Brienne et Jaime sont un duo bien atypique que j'adore ! j'ai découvert Jaime sous un autre aspect, et j'apprends à connaitre Brienne qui est une femme qui a des couilles ! * excusez mon vocabulaire, mais il n'y a pas d'autres mots pour décrire une femme de cette trempe*
Parallèlement on assiste à la montée en puissance de Daenerys du Tiphon, la merveilleuse demoiselle aux cheveux blonds avance à pas de loup, mais avec une force de Dragon incroyable. Bien que cette dernière ne soit apparue qu'une fois dans cette partie, on imagine très bien la suite.

Malgré le calme apparent de ce tome, on voit se profiler des grands chamboulements, les personnages sont à des tournants décisifs de leur vie, et on imagine un sacré paquet d'actions en perspective. J'ai hâte.

Enfin, ce tome est là pour que l'on comprenne certains points de vue des personnages, à l'instar de Jaime , on comprend ses actes, même si nous ne les cautionnons pas. C'est aussi un tome où la confiance disparaît, les personnages se dévoilent, d'autres font peur mais ne lâchent pas, comme Samwell, alors que leur cause semble perdue, mais ils doivent continuer, par devoir, par principe... d'autres n'ont plus peur de rien car ils connaissent leur sort... C'est un tome intéressant pour son côté psychologique, ce qui est important à ce stade de l'histoire, à mon sens.

Je ne le dirais pas assez, mais cette histoire est à lire pour ceux et celles qui hésitent encore, pour ceux qui se poseraient des questions, ne vous en posez plus et lancez-vous. C'est une histoire qui vaut le détour.
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Dans l'attente du prochain volume de Game of Thrones (qui, aux dernière nouvelles, devrait sortir l'année prochaine, autant dire dans une éternité), je vous propose la critique du troisième volume : A storm of swords (ouais, je montre combien je speak l'anglais very well). Mais avouez que ça rend mieux que "Tempête d'épées".

Vous commencez à me connaitre (je parle bien sûr de ma fichue manie de faire un résumé avec moult spoilers) aussi, trève de parlotte, voici ce qu'il faut retenir de cet Tome 6 (pour les intrépides qui résistent encore et toujours à l'envahisseur nommé spoiler, je vous invite à attendre la critique du dernier tome consacré à ce volume (à savoir le tome 9) où je vous dévoilera ma critique sur l'entier volume numéro 3.

Vous êtes encore là? Sans plus attendre, voici ce qu'il faut retenir de ce tome :

1) Dans la famille Tyrell, je demande la grand-mère : Olenna. Rusée, intelligente et qui n'a pas sa langue dans sa poche. Et qui arrive à faire avouer à Sansa que son futur beau-petit-fils (puisque Margeary, petite fille d'Olenna va épouser notre ami Joffrey) est un sociopathe en culottes courtes. Un beau combat Lannister/Tyrell en perspective!!!

2) Arya a le don de se fourrer dans les pires ennuis : après s'être échappée d'Harrenhal avec Tourte Chaud et Gendry, elle est capturée par des brigands : la Fraternité Sans Bannières qui n'est pas sans rappeler les joyeux lurons de la bande à Robin des bois. Bien sûr, le sort d'Arya est plus enviable que si elle était restée auprès de Roose Bolton...Mais ce n'est qu'une enfant de 11 ans qui n'a qu'un seul désir, rentrer chez elle.

3) Robb s'est marié par amour mais pas avec celle qui lui était destinée (suite à l'accord passé avec les Frey). Ceci ne présage rien de bon pour la suite.

4) Jon est toujours avec les Sauvageons. Son sort est cependant bien plus enviable qu'au départ, puisqu'il tombe dans les bras d'une belle sauvageonne, Ygrid. Jusqu'à trahir les siens?

5) Depuis le tome 1, les Stark ne sont pas réputés pour prendre de bonnes décisions : Ned Stark qui fait confiance à Cercei (bilan : décapitation), Sansa qui fait confiance à Cercei (bilan : humiliation, violences, séquestration), Catelyn qui fait confiance à...Jaime (bilan : perte de confiance de la part de son fils + rebellion d'un des clans les plus fidèles aux Stark) et Robb qui épouse Jeyne Poole, issue d'une ligne fidèle aux...Lannister. le dernier bilan de toutes ces péripéties entraine la défection de plusieurs centaines de bannerets des Stark, ce qui ne va pas arranger les affaires du Roi du Nord.


En résumé : Tout se paye un jour, et la note risque d'être salée pour les Stark. Robb est sur le point de perdre le Nord, Catelyn a perdu la confiance de son fils.
Et tout va mal dans le Royaume, livré aux brigands, qui ont la part belle dans ce tome

Ce troisième opus, découpé en plusieurs poches, commence fort. Une bonne partie de l'histoire est posée, il n'y a plus qu'à suivre les cours d'eau, d'où des miasmes de feu grégois persistent. le Sud du continent fait enfin son entrée, avec les Tyrell et les Martell, histoire de mettre encore un peu plus de piquant dans ce théâtre des opérations ! Cette pluralité de points de vue me plaît toujours, même si j'accroche vraiment moins avec ce qui se passe hors de Westeros ; Daenerys me semble trop immature et loin du récit principal pour le moment

Encore une petite résucée non alcoolisée de GOT ? Très volontiers !

Le premier tome du "A Storm of Swords" original.

Publié en août 2000, traduit en français en 2001 par Jean Sola chez Pygmalion, ce sixième tome "français" du "Trône de Fer" est le premier du découpage en quatre parties du "A Storm of Swords" original de George R.R. Martin.

Après la fin cataclysmique de "A Clash of Kings" (et de son dernier tome en édition française, "L'invincible forteresse", la narration reprend son souffle sur certains théâtres d'opérations et se déchaîne sur d'autres. Port-Réal, qui a vu le triomphe des Lannister et la rude défaite de Stannis Baratheon sous le feu grégeois et le retour de Tywin, panse ses blessures, tandis que Tyrion y soigne sa disgrâce et que la politique se réorganise. Dans le grand no man's land parcouru de bandes armées plus ou moins contrôlées qui sépare désormais les armées Lannister de celles de Robb Stark, Arya et sa petite bande d'une part, Brienne de Torth et son prisonnier à échanger d'autre part, tentent de survivre et d'atteindre les buts de leurs missions respectives. Bran et ses compagnons tentent de rejoindre l'au-delà du Mur en se défiant de toutes et de tous pour leur sécurité. Miraculeusement sauvé, ser Davos rejoint Peyredragon où Stannis Baratheon, lui aussi, panse ses plaies et doit décider de ses prochains mouvements.

Ailleurs au contraire, le récit s'accélère brutalement : Daenerys est maintenant en route pour Westeros, prête à se constituer une armée chemin faisant, tandis qu'au nord, au-delà du Mur, Jon Stark poursuit sa mission improvisée d'infiltration profonde chez les sauvageons, alors que la pression sur le Mur, la révélation de l'ampleur du dessein de Mance et, peut-être surtout, l'arrivée des mythiques Autres, intensifient l'urgence qui reste largement ignorée du reste de Westeros.

Sous de faux airs de tome de transition, après le climax précédent, George R.R. Martin joue à nouveau à merveille de la multiplicité de ses fils narratifs pour maintenir le lecteur en haleine, et poursuivre la découverte en profondeur de nouveaux personnages. Et les préciosités déplacées de la traduction de Jean Sola, si elles sont toujours aussi lassantes, ne parviennent nullement à rompre le charme de la saga.

Les batailles s'apaisent sur le royaume des sept couronnes et quand certains pansent leurs blessures, d'autres continuent le pari des intrigues. Des alliances se tissent et d'autres se dissolvent dans un jeu où l'amour n'a pas vraiment sa place et où l'honneur n'est pas toujours le bon choix. Mais attention, oublier l'"hiver" pourrait être la plus grave des erreurs...