Ce roman sonnait comme une promesse de "Le Parfum" de Süskind, comme une plongée sensible dans l'extase de la sainteté, de l'illumination, ou du moins une enquête mêlant science, religion, odorat et passion.
Si c'est le cas, j'en suis désolée, mais je suis passée à côté. Certains passages étaient prometteurs, mais ce sont révélés n'être que de la poudre de perlimpinpin, à mes yeux du moins. Je n'ai pas réussi à être touchée par cette histoire, par Jeanne, par Emérence. Tout cela m'a paru artificiel. Après, il faut avouer qu'un sujet "religieux", mystique, n'est pas forcément le bon sujet en ce moment. Mais j'aurai tenté !
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