p.115.
Vous feriez mieux de vous laisser aller, mon petit. La sensibilité n'est pas de la faiblesse. Seuls les cuistres confondent les deux.
p.110.
La peur use les gens et les gens sont le fer dont est faite votre machine. Protégez-les un peu, elle n'en marchera que mieux.
p.72.
Je n'ai pas d'amant parce que je n'en veux pas mais je trouve injuste que l'on juge les femmes pour cela. Vous n'auriez pas congédié un vendeur pour une conquête de trop.
p.69.
- Qu'est-ce que tu fais ?
- Oh ! Mais rien. Je regarde simplement ta voisine. Un joli petit lot ! Tu crois qu'elle...
- Dégage, sagouin ! Salopiot !
- Mais enfin, ce n'est pas moi qui ai percé ce trou ! Cette baraque finira par s'effondrer ! Y a plus de trous et de fissures que de murs !
- Dégage, je te dis, pervers !
- Mais enfin ! Un homme a des besoins, tu le sais bien.
- Ah oui ? Eh bien, assouvis-les avec celles qui veulent bien et laisse les autres tranquilles !
p.58.
- Mais à quoi bon avoir des amis, si c'est pour rester seule dans les moments difficiles ?
- Je sais bien.
p.49.
- On me le répète à longueur de temps. C'est parce que je n'aime pas forcer les gens. S'ils ne veulent pas de dentelle, je ne vais pas leur en fourguer.
- Je comprends mais ce n'est pas comme ça qu'il faut voir les choses. Vous ne forcez pas le client. Vous vous mettez à son service. Vous l'aidez à trouver l'article qui répond à son besoin.