Marie mauron avait cette façon bien à elle d'écrire et de conter les histoires...Les Arsac une fresque et une saga en même temps...nostalgie et tendresse, fatalisme pour cet "aquoiboniste", qui ressemble à Jacques le fataliste...une belle fresque d'une famille Provençale d'une époque disparue....Celle où le bonheur était simple, naturel...puis la Grande Guerre a brisé les hommes l'humanité...le livre le marque très bien, quelque chose s'est cassé...il y avait un avant et il y a eu un après...plus rien n'a été pareil....très beau livre...
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Le cadran solaire
Pierre DESGRAUPES a rencontré Louis Deville, qui joue du basson dans un orchestre parisien ainsi que son frère et sa cousine, l'institutrice, écrivain et conteuse,
Marie MAURON, restés tous deux à Saint Rémy de Provence. Ils parlent les uns des autres, de leur métier, le parisien envie avec
nostalgie le frère resté au pays, la cousine Marie explique qu'elle ne pourrait pasvivre à Paris,...