Il faut le dire, le seul intérêt de ce roman réside dans l'exercice de style qu'il propose : faire parler un chien. Néanmoins, ce "meilleur ami de l'homme" est particulièrement antipathique. S'il ne témoigne de tendresse ou d'affection ni à ses maîtres, ni à leurs invités, ni à aucun de ses congénères, il est particulièrement imbu de sa petite personne et ça, ça devient très agaçant à la longue.
Seuls son flegme so british, emprunté à ses maîtres, et son ironie, qu'il manie avec beaucoup de dextérité, plairont au lecteur qui finira à coup sûr, par s'ennuyer car, il faut le dire aussi, il ne se passe, au long de ces quelques 200 pages, quasiment rien.
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