Citations sur Gardiens des cités perdues, tome 5 : Projet Polaris (77)
- [...] Ceci est un effluxeur… aussi connu sous le nom de repousseur d’ogres. L’une de mes inventions elfes préférées, soit dit en passant.
- Certes. Mais qu’il utilise pour jouer des tours, argua Sophie. Je l’ai vu essayer d’en cacher sur le campus de Foxfire afin qu’ils se déclenchent sur le passage de la principale.
- Pas étonnant qu’il ne s’entende pas avec mon frère ! déclara Linh. Ils sont exactement pareils.
- Que faut-il faire pour gagner ? Tu n’as même pas énoncé les règles.
- Bien entendu ! Comment pourrais-je les changer, sinon ? Allez, au travail !
- Rien ne te force à y mettre autant de zèle… même si j’apprécie de te voir veiller sur moi.
- Tu ne me facilites pas la tâche.
- Encore un point commun entre nous !
Ses pensées flottantes ne laissaient aucun doute quant à sa détermination à protéger Sophie. Elle en avait le cœur à la fois lourd et léger.
Et si le rôle auquel on l'avait préparée n'était pas le bon ? Le Projet Colibri pouvait-il être... un échec ?
- Je préférerais qu’il (Keefe) ne vienne pas ici, dit-elle à M. Forkle. C’est bien trop risqué, et s’il le fait, c’est uniquement par souci de se racheter.
- C’est un besoin essentiel pour lui. N’as-tu donc pas encore compris ? C’est ce qui vous rend aussi compatibles, tous les deux. Chacun pousse l’autre à croire en lui-même. Ne t’avise pas de ramollir maintenant, simplement parce que tu le crois trop fragile. Plus tu le laisseras prouver sa valeur, plus il en prendra conscience.
- [...] Ils enverront Fitz et Biana dormir chez Dex.
- Ben voyons… Soirée pyjama pour les petits, grommela Sophie.
- Peut-être pourrais-tu la convaincre que ces nouvelles graines sont délicieuses ?
Plus facile à dire qu’à faire : l’odeur des cravattelles suffit à donner un bruyant haut-le-cœur au tyrannosaure vert, qui s’empressa de faire volte-face pour renverser son auge d’un coup de queue.
- Allez… l’encouragea Grady avant de redresser le récipient en argent pour le remplir de nouveau. Goûte, au moins !
"Il paraît que tous tes congénères en raffolent", transmit Sophie, non sans accompagner ses paroles silencieuses d’images de dinosaures béats en train de se goinfrer de cravattelles.
Verdi lui répondit d’un grognement plein de dégoût.
- Pourvu que personne ne mette le feu au campus… soupira Biana. Pas vrai, Sophie ?
- Sans cet incendie, on ne serait peut-être jamais devenus amis avec Tam et Linh, lui rappela son amie.
- Et puis, ce ne serait pas une école si Sophie n’essayait pas de la détruire, ironisa Fitz.
Silveny, qui était encore au premier trimestre d’une gestation censée durer onze mois, semblait ravie de partager force informations gênantes sur sa vie de future maman – son sujet de prédilection étant les nausées matinales.
Apparemment, le vomi d’alicorne était tout aussi scintillant que leur crottin.
- [...] Et tant mieux si tout reste nouveau pour toi. Il n’y a rien de plus précieux qu’un regard neuf… [...]