Léon Michel s'attelle à la difficile tâche de décrire le caractère périgourdin. Il décrit d'abord la province, ses pays, son sol et ses paysages variés, du Périgord vert au Périgord blanc comme la craie qui constitue son sous sol, du Périgord noir au Bergeracois et à la Double sylvestre. Un réseau de plaines alluviales fertiles, surplombées de coteaux calcaires, eux même dissimulés sous de vaste dépôts argileux couverts par la forêt forment autant de paysages contrastés. Il s'attache ensuite à déterminer le caractères des habitants des villes et des campagnes au début des années 1960.
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