Le poète ivoirien Joseph Miézan-Bognini publie ici sa seconde œuvre poétique. Après Ce dur appel de l'espoir (Présence Africaine), à propos duquel Jacques Howlett écrivait : « Par sa ferveur maîtrisée, la qualité de son chant, et cette innocence devant un langage qui donne à ses poèmes une si forte densité de signification, J. M. Bognini a sa place à côté des maîtres de la poésie noire moderne », voici Herbe féconde. Et Richard Bonneau peut affirmer : « J. M. Bognin... >Voir plus
Le sillon lumineux pétille aux confins des aurores bleutées. L'astre empourpré descend à une allure de géant. Les chambres respirent la fraîcheur des matins sublimes.