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1971. Gustad Noble, un employé de banque, vit avec sa femme Dilnavaz et ses trois enfants à Bombay. Sohrab, l'aîné, à dix-neuf ans vient d'être admis au prestigieux IIT, une école d'ingénieurs indienne. Mais pensant que l'ambition d'intégrer cette école appartient plus à son père qu'à lui-même, Sohrab refuse finalement d'y entrer, ce qui désespère son père et est source de disputes violentes entre père et fils. Roshan, la cadette, neuf ans, est souvent malade. Gustad reçoit une lettre de son ami le major Bilimoria qui était longtemps resté silencieux après son départ de l'immeuble qu'habite aussi Gustad. le major demande un service à Gustad, ce qui le scandalise vu qu'il a paru couper les ponts. Gustad vient d'une famille qui a connu un rapide déclin du fait de la maladie du père, qui avait la plus grande librairie de Bombay mais a fait faillite. ● Par rapport à L'Equilibre du monde, que j'ai adoré, ce roman est une réelle déception. Je pense que cela est dû au fait qu'il n'y a pas de ligne narrative dominante et claire. On a affaire à plusieurs lignes mineures qui s'entrecroisent, comme je l'ai esquissé dans le résumé du début ci-dessus, sans que jamais l'une d'elles soit suffisamment forte pour nous emporter. La lecture est donc poussive. ● Pourtant les personnages sont attachants et complexes comme dans L'Equilibre du monde (j'ai un petit faible pour Tehmu le « demeuré »). le contexte historique (nous sommes à la veille d'un conflit qui amènera la création du Bangladesh) est également bien présent (même si un tantinet confus pour les non-Indiens, obligeant au recours à Google et Wikipédia car il n'y a aucune note, même pour les quelques mots indiens utilisés). Mais c'est bien du côté de la conception du récit que cela pêche. ● Bref, si vous voulez lire Rohinton Mistry, préférez L'Equilibre du monde, un roman génial.
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Bombay. 1971. À la veille d'un conflit majeur qui amènera à la création du Bangladesh. Un immeuble ordinaire. Plein de voisins, tous des personnages haut en couleurs. Mais une famille spécifiquement, celle de Gustad Noble, employé modèle dans une banque et de sa femme Dilnavaz, des parents tout ce qui a de plus ordinaire. Des enfants promus à un bel avenir. C'est un luxe pour une famille modeste. Mais voilà que leur destin sera chamboulé par l'arrivée d'une lettre d'un ami, qui a fui l'immeuble il y a quelque temps, dans la nuit, sans laissé d'adresse et de mots à personne… Ce sera le début d'un long voyage en enfer, qui n'épargnera personne.
Je ressors de cette lecture mitigé… c'est que voyez-vous, j'ai tout simplement adoré L'Équilibre du monde, du même auteur. Et ici, je n'ai pas trouvé ce qui m'avait tant ému dans l'autre bouquin. Pourtant, ce livre est très bon… mais il manquait un petit quelque chose, sans que je ne puisse dire de quoi il s'agit exactement. Dans Un si long voyage, comme dans L'Équilibre du monde, les personnages sont attachants, drôles, simples, mais plein de contradictions intéressantes. L'histoire aussi est bonne, cette famille ordinaire et modeste, qui se retrouve plongé dans un monde en pleine turbulence. Un détour dans des événements dont elle ne soupçonne pas l'ampleur. Et l'écriture est toujours aussi fluide, belle, efficace… Mistry maîtrise l'art de nous narrer le quotidien, avec tendresse, humour, et tragique ; un conteur extraordinaire. Mais…. J'avais surement trop d'attentes, fait qui a gâché mon plaisir. C'est tout de même un très bon bouquin, que je ne regrette absolument pas d'avoir lu. Mais ce n'est malheureusement pas le coup de coeur que j'espérais.
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La découverte de L'Équilibre du monde de Rohinton Mistry avait été un enchantement malgré la dureté de ces destins. Avec Un si long voyage, le plaisir a été moindre. Pourtant on retrouve la patte Mistry. Là aussi les vies sont difficiles mais moins accablantes que dans l'équilibre du monde.
Nous sommes également chez les Parsis et deux cérémonies à la Tour du Silence permet d'approcher leur étrange religion, du moins son rapport à la mort. Et nouvelle ressemblance avec l'autre roman, il se déroule pendant que Indira Ghandi, pas épargnée cette fois encore, est premier ministre.

Gundar Noble travaille dans une banque, mais son salaire suffit juste à faire vivre sa famille dans un immeuble vétuste, longé par un mur où tout un chacun vient se soulager, attirant ainsi des nuées de moustiques. L'eau est distribuée parcimonieusement par le réseau, et elle est insalubre. Mais Gundar malgré la déchéance sociale de la famille, due à un oncle, semble assez heureux avec sa femme et ses trois enfants. Il regrette seulement le départ soudain et sans explication de son ami le major Bilimoria. Celui-ci se manifeste enfin par une lettre, entraînant soucis et questionnements.
Parallèlement des ennuis domestiques bouleversent la famille.
Les portraits, en particulier ceux de Tehmu, adulte à l'esprit d'enfant et celui d'une voisine, femme brisée par le chagrin, renfermée dans son appartement et cependant experte en pratiques magiques sont à la fois dérangeant et attachants. Mais aussi celui de l'artiste dessinant chaque jour à la craie sur le trottoir un dieu d'une quelconque religion.

Dépaysant, instructif, un bon roman. Il y aura d'autres Mistry dans mes lectures.
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Quel conteur ! Je ne connaissais pas Rohinton Mistry et découvre son oeuvre avec bonheur. Dans les années 70, en Inde, à Bombay Gustad Noble, employé de banque aux ambitions mesurées, a une femme et trois enfants. Jadis, il a été ami avec le valeureux major Bilimaria et ferait n'importe quoi pour lui. Quand l'occasion se présente de lui venir en aide, Gustad n'hésite pas. Pourtant l'affaire prend très mauvaise tournure et la fin de l'aventure sera amère.
L'Inde des gens simples (et non pauvres) passe ici ainsi que l'ombre d'Indira Gandhi et le conflit entre l'Inde et le Pakistan. Tout un peuple est dépeint, avec ses croyances profondes ou naïves, ses rites et ses modes de pensée. Un livre plein de finesse et de tendresse qui est plaisant à lire !
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Rohinton Mistry fait partie des auteurs de la littérature anglo-indienne les plus connus. Il décrit avec subtilité le monde de la petite bourgeoisie parsie, une minorité surtout connue pour ses grands capitaines d'industrie comme la dynastie Tata. Mais les héritiers zoroastriens ne se limitent pas aux réussites brillantes, et Rohington Mistry nous immerge avec tendresse dans ce monde crépusculaire de petites gens plongés dans l'histoire contemporaine indienne.

Nous sommes à Bombay en 1971, à la veille du conflit avec le Pakistan. Gustad Noble, employé de banque parsi, vit avec sa femme Dilnavaz et leurs trois enfants dans un immeuble rempli de gens modestes qui vivent au jour le jour les tracasseries de la vie entre le lait allongé d'eau et les coupures d'eau, le manque chronique d'argent et de place.


Sorhab a dix-huit ans, c'est l'espoir de la famille, il vient de passer un concours pour une école d'ingénieurs dont on attend le résultat. Son cadet Darius (quinze ans) n'est pas aussi brillant et la petite, Roshan, neuf ans, fréquente l'école catholique.

La vie de l'immeuble, avec ses personnages hauts en couleurs comme miss Kutipia qui pratique la sorcellerie ou le touchant boîteux, le jeune Temul qui n'a pas toutes ses facultés. Tous auront leur rôle à jouer dans la tragédie qui va se dérouler.

Gustad vit un quotidien de gêne rythmé par la prière et le travail, l'amitié aussi. L'ami total, le major Bilimoria, a disparu sans laisser de traces trois ans auparavant et il vient d'écrire une lettre demandant l'aide de son ami Gustad. L'autre ami de Gustad – Dinshawji – travaille dans la même banque que lui. C'est un clown, toujours entre deux blagues cochonnes qui égayent tout le monde à la banque.

Un si long voyage décrit le quotidien d'un homme bon père de famille bon époux, et puis tout déraille : le major demande dans sa lettre à Gustad d'accepter un paquet pour lui, et celui-ci est en fait une énorme somme d'argent. Au même moment Sorhab refuse d'entrer dans l'école d'ingénieur, il veut faire des études de lettres qui ne le mèneront qu'au chômage des diplômés selon Gustad. le père et le fils se fâchent et Sorhab quitte la maison. Roshan tombe malade, Dinshawji aussi.

La mort rôde, et le malheur, et l'histoire de l'Inde avec en filigrane les ombres du régime d'Indira Gandhi : corruption, dictature, manipulations, violences et tortures.

Ce si long voyage que va entreprendre Gustad, je ne veux pas le décrire : il faut lire ce roman pour la plongée dans un univers mal connu, pour la vérité universelle des conflits humains et des sentiments, de l'humaine condition qui nous touche au plus profond de nous-mêmes. Entre l'histoire de l'Inde et le microcosme d'une communauté elle-même minuscule, entre les conflits éternels et les petites choses de la vie, Rohinton Mistry a tissé une toile d'une finesse et d'une solidité extrême.

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Chronique des habitants de l'immeuble le Khodadad Building à Bombay où le personnage centrale charismatique est Gustad Noble, employé de banque. L'auteur nous fait découvrir ces personnages atypiques sur fond de guerres indo-pakistanaises et de corruptions en tous genres prêtées à Indirah Gandhi.
Gustad toujours la peur au ventre d'une attaque aérienne, reçoit un jour des nouvelles d'un ancien locataire qu'il considérait comme un ami de la famille et qu'il avait subitement quitté Khodadad Building. Mais ces nouvelles bouleverseront la vie presque tranquille de Gustav.
L'auteur nous fait par ce roman découvrir Bombay lors du début des années 70 ainsi que les traditions culturelles et surtout religieuses de cette communauté d'origine parsie, les zoroastriens discrets qui possèdent pourtant d'immenses empires commerciaux, on assistera également à une cérémonie mortuaire de la "Tour des Vautours" aux pratiques un peu surnaturel.
Presque chaque personnage de ce roman est loufoque mais pourtant malgré tout attachant. Un roman bien à la sauce Rohinton Mistry, une histoire hétéroclite mais tellement prenante, déroutante et pourtant jusqu'au dernier paragraphe elle sera pleines de rebondissements. Ce livre a été adapté au cinéma
Lien : http://atasi.over-blog.com/2..
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Tout comme les romans L'équilibre du monde (A fine balance) et Une simple affaire de famille (Family Matters), nous retrouvons le même type d'écriture. C'est le 3e roman que je lis de cet auteur et je suis toujours aussi subjugué.

Dans Un si long voyage nous suivons les péripéties d'un père de famille de Mumbay et son milieu de vie, soit l'édifice où il vit et tout type de voisinage possible.

Le tout se déroule durant une période bien précise de l'histoire de l'Inde, ce qui, à mon avis, est une plus-value au roman: nous sommes à la veille du conflit au Pakistan qui va aboutir à la création du Bangladesh, soit en 1971.
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J'ai parcouru le livre indien, au début avec indulgence puis de plus en plus vite. Trois cents pages d'anecdotes de vie de famille, fut-elle indienne, cela devient lassant pour ne pas dire plus. Puis vient du pas grand-chose à la suite du rien. Ce livre intéressera les adeptes de l'exotisme à deux roupies, mais plus difficilement ceux qui aiment qu'on leur raconte des histoires.
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Dans le Khodadad Building de Bombay, je demande d'abord la famille Noble : Gustad le père, sa femme Dilnavaz et leurs trois enfants, Sohrab, Darius et la petite Roshan. Ils sont Parsis, comme l'auteur, et comme tous les autres habitants de l'immeuble : le vieux Cavasji qui invective les dieux depuis sa fenêtre, l'inspecteur Bamji, Mr Rabadi, ennemi de Gustad, la vieille Miss Kutpitia que tout le monde croit un peu sorcière, Tehmul le simple d'esprit... et puis le major Bilimoria, grand ami de Gustad, dont le départ inexpliqué de Khodadad, antérieur au début de l'histoire, tracasse beaucoup notre héros.
Point culture : Les Parsis sont une petite minorité parmi la grande mosaïque de peuples et de religions d'Inde. Leurs ancêtres ont fui la Perse au moment de la conquête musulmane car ils étaient des adeptes de la religion de Zarathoustra le prophète. Je sais, ça ne dit pas grand chose à pas grand monde, à moi non plus d'ailleurs (à part le titre du livre de Nietzsche, "Ainsi parla Zarathoustra") et le roman ne se centre pas sur les spécificités parsies, même s'il en dévoile quelques rites : la prière du kusti, la croyance que si l'on profère des malédictions des petits anges viendront les accomplir, et surtout, le rite mortuaire (âmes sensibles, s'abstenir) : le corps nu du défunt est emmené en haut d'une haute tour, la tour du silence, et laissé à l'appétit des vautours jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien de lui (les Parsis ne pratiquent pas la crémation comme les hindous car ils révèrent le feu). Les Parsis vivent de façon très communautaire, on les retrouve surtout à Bombay et dans le secteur bancaire. (Au fait, saviez-vous que Freddy Mercury, le chanteur de Queen, était parsi ??)
Mais l'on croise d'autres religionnaires dans ce roman : des chrétiens venus de la Goa voisine qui vénèrent la Vierge au Mont-Marie (Malcolm Saldanha y emmène Gustad pour demander des guérisons), un musulman, les sikhs sont évoqués, et des hindous bien-sûr... Cette grande diversité de religions et la place énorme que tient la spiritualité dans la vie quotidienne des Indiens pourraient être illustrées par l'histoire du mur d'enceinte du Khodadad Building, une sorte de running gag qui file durant tout le roman : ce mur sert de toilettes en plein air à tout le quartier, entraîne puanteur et moustiques et fait le malheur des habitants de l'immeuble. Jusqu'à ce que Gustad ait une idée lumineuse : il propose à un artiste de rue peindre les dieux de toutes les religions sur le mur d'enceinte. A partir de là, non seulement les passants n'osent plus se soulager sur l'image des dieux mais ils apportent fleurs, bougies et encens pour les honorer, ce qui embaume l'atmosphère des habitants du Khodadad et les délivre des moustiques... Les miracles existent bel et bien !
L'histoire en bref : on est en 1971, à la veille de la partition du Pakistan en deux (donnant naissance au Bangladesh) et d'une nouvelle guerre entre le Pakistan et l'Inde. Indira Gandhi est au pouvoir. Gustad Noble est employé de banque et son ancien ami, le major Bilimoria, dont il ne sait plus rien, lui envoie un jour une lettre mystérieuse qui va lui poser un gros dilemme. Il "va voir sa modeste existence bouleversée par une série de tourmentes qui le laisseront pauvre comme Job... Des événements dont Gustad ne soupçonne pas l'ampleur et qui marquent pour lui le début d'un long voyage : celui d'un coeur vertueux dans un monde en pleine turbulence" nous dit la 4e de couverture. Mouais. Je m'attendais à un roman trépidant, en fait, j'ai plutôt eu l'impression de lire une fresque familiale et un portrait du Bombay des années 70, avec ses gros problèmes de voirie, le rationnement de la nourriture, le nationalisme indien teinté de socialisme, l'essor du Shiv Sena (ces "fascistes" hindous, comme dit l'un des personnages parsis), le souvenir récent de la guerre contre la Chine qui marqua le déclin de l'ère Nehru (père d'Indira), la montée du coût de la vie, les marchés bourdonnants, la survivance de pratiques anciennes et le développement du capitalisme... une période de transition.
Tout cela est entrecoupé de façon très sympathique par des anecdotes de voisinage ou de bureau, des réminiscences du passé de Gustad, des aléas de la vie de famille (le fils aîné qui refuse d'entrer dans une école d'ingénieur, se brouillant avec son père, le second qui conte fleurette à la fille du voisin détesté, remake indien de Roméo et Juliette, la petite dernière qui tombe malade...), des personnages cocasses (comme Miss Kutpitia, détentrice du seul téléphone de l'immeuble et de recettes magiques qu'elle délivre au compte-goutte à une Dilnavaz éplorée par le départ de son fils, ou le vendeur de "paan" à l'entrée de la "maison des cages" - je n'en dis pas plus pour titiller votre curiosité)... le ton est tendre et humoristique.
C'est donc un roman agréable à lire, à l'écriture circulaire faite de va et vient entre le passé et le présent, entre les pensées de Gustad et l'action, entre les différents personnages, mais ce n'est pas non plus transcendantal. D'ailleurs, je n'ai pas trop compris à quoi renvoyait ce "si long voyage". Je m'attendais à un peu plus de souffle. Je l'ai lu avec plaisir mais sans grande ferveur car je n'ai pas trop réussi à m'attacher aux personnages. La fin cependant, avec la juste dose de dramatisme, de mythique et de burlesque a suscité chez moi l'émotion pour la première et seule fois dans cette lecture, grâce au personnage pathétique de Tehmul.
Lien : https://ellettres.wordpress...
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Un si long voyage est une tranche de vie d'un père de famille parsi, vivant à Bombay. En cette année 1971 Gustad Noble traverse une période où ses enfants lui causent des soucis. Sa fille cadette Roshan, une enfant de 9 ans, est régulièrement malade, s'affaiblit et doit garder le lit tandis que son fils aîné, Sohrab, qui vient d'être admis dans un prestigieux institut de technologie, prétend qu'il veut être un artiste. A la même époque Gustad reçoit enfin des nouvelles de son ami le major Bilimoria qui a disparu quelque temps auparavant sans plus donner de nouvelles et qui lui écrit maintenant qu'il travaille pour les services secrets et lui demande un service particulier au nom de leur amitié.

Tous ces sujets d'inquiétude ramènent Gustad aux souvenirs de son enfance. Petit-fils d'un ébéniste, fils d'un libraire, tous deux petits patrons, il a du renoncer à faire des études après la ruine de son père et n'est qu'un simple employé de banque. Depuis il est habité par la nostalgie de la grandeur passée de sa famille.

J'ai eu un peu de mal à rentrer dans ce roman et sa lecture a trainé en longueur. A moins que ce ne soit le contraire : j'ai lu lentement donc j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire. Finalement, arrivée à la moitié, j'ai commencé à me laisser prendre et j'ai plutôt apprécié cette lecture. Gustad est un brave homme qui accorde du prix à l'amitié et tente de transmettre des valeurs familiales à ses enfants. Un si long voyage montre l'importance de scènes apparemment anodines de la vie quotidienne.
Lien : http://monbiblioblog.revolub..
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