L'imprimerie des sorcières, tome 1

Je n'ai pas bien compris où voulait en venir l'auteur. Son histoire manque cruellement de construction et de clarté. On ne comprend pas toujours tout. On entre directement dans l'action sans explication. Des mélanges étranges sont faits entre une sorte de comic con, des créatures à combattre et le monde de l'impression. Rien est très réfléchi. Les chapitres s'enchaînent mais n'ont pas trop d'intérêt. de plus, ce manga tombe dans les clichés du genre : poitrines volumineuses, jeunes femmes dénudées, combat confus, etc.
Je pense m'arrêter là pour cette série.

Carrément décalé, des histoires qui se suivent avec des personnages sortis d'on ne sait où, sans liens entre elles, pas d'explications, pas de buts, pas d'introduction... bref un titre et une couverture qui me paraissaient sympas et prometteurs, très déçue.

Extrait :
Aujourd'hui j'ai envie de vous parler d'un nouvel Isekai, que j'ai découvert par pur hasard, et que j'ai acheté (il faut bien l'admettre) uniquement pour la couverture… Oui, je suis un être faible… Mais en tout cas, je ne regrette pas cet achat, car ce premier tome m'a conquise pour plusieurs raisons, dont je vais parler dans les prochains paragraphes.

Pour information, la série est éditée aux éditions Soleil manga.

Pour l'histoire, on suit Mika une jeune otaku qui a été transporté dans un autre monde… Elle utilise ses connaissances de son monde d'origine afin de recréer un événement dans ce nouveau monde, le Comiket. Tout ça dans l'unique but de trouver un sort qui pourra la ramener dans son monde d'origine. Entre temps, elle est devenue une sorcière, mais le seul sort qu'elle maîtrise et celui de la copie d'ouvrages magiques, elle décide donc d'ouvrir une imprimerie version magique.

Comme vous l'aurez compris, l'histoire ce coupe donc en deux parties, la première la gestion d'une imprimerie et la seconde d'un Comiket version sorcier. de quoi tout ça bien plus intéressant qu'aux premiers abords. D'ailleurs, si comme moi vous n'avez pas lu le résumé avant de commencer le tome, il n'est pas précisé dès le départ que Mika vient d'un autre monde. On est directement plongé dans « le feu de l'action », ou du moins de ce qui s'en rapproche dans cette série.

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En bref, ce premier tome a été une agréable surprise à la lecture, pleins d'originalités, d'humour, mais surtout d'informations autour de l'organisation d'évènements ou du fonctionnement d'une imprimerie.

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Après avoir atterri dans un univers où tout le monde possède des talents de sorcellerie, Mika, jeune humaine, devient imprimeuse de livres magiques. À défaut de pouvoirs, elle sait reproduire les documents permettant de créer les grimoires. En plus de faire fructifier son business avec une poigne de fer, elle espère secrètement trouver parmi tous ces sorts, celui qui la ramènera dans notre monde.

Ce manga est une vraie déception pour moi. Tout simplement parce que le résumé annoncé, ne résumé pas bien du tout le tome 1. L'héroïne ne sait pas du tout reproduire les documents comme annoncé (cela viendra plus tard dans les tomes si je comprends bien le scénario), mais du coup on est déçu pour ce premier tome. Et j'ai également eu une impression de fouillis et de trame sans queue ni tête, grosse difficulté à rentrer dedans.

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C'est mignon mais un peu léger pour l'intrigue, Mika, notre héroïne débarque dans un pays où tout le monde a des pouvoirs sauf elle, elle devient rapidement imprimeuse de grimoire magique pour tenter de trouver le sort qui la renverra chez elle. Les personnages sont assez clichés et c'est dommage car ça aurait pu rattraper l'histoire, eux aussi manque de profondeur. Comme ça a été souligné dans différentes critiques, on passe un peu du coq à l'âne sans vraiment comprendre ce qui se passe. Je n'ai vraiment pas apprécié ce tome et ne compte pas continuer, je ne sais pas non plus quel type de public il vise…

Malgré, à mon sens, une place de la femme quelque peu mise à rude épreuve parfois, ce manga est un excellent livre d'introduction. Nous nous laissons emporter par la simplicité de Mika, de ses talents et le côté magique de ce monde de sorcellerie. Nous voulons continuer à explorer cet univers et découvrir les futures aventures de notre petite héroïne.

Je lirai la suite avec plaisir.

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Ce manga m'attirait par sa couverture et son titre, mais il s'est avéré bien loin de ce que j'imaginais. Nous n'apprenons et ne voyons pas énormément cette fameuse imprimerie, mais plutôt une convention de sorciers se réunissant pour présenter leurs livres de sorts...

Le plus gros point noir reste l'histoire entourant l'héroïne : elle est tellement intégrée à ce monde fantastique qu'on n'imagine pas un seul instant qu'elle provienne en fait de NOTRE monde et cherche un sortilège pouvant l'y renvoyer. Ce genre d'information se trouve généralement au début du manga, et avec raison ! J'ai été très déroutée lorsque je l'ai appris, après plusieurs pages, et je n'ai pas vraiment compris son intérêt puisque cela n'est pas exploité par l'auteur...

Un manga qui ne restera donc pas dans mon esprit, et peut-être même pas dans ma bibliothèque...

Dès les premières pages, on entre dans le vif du sujet, à tel point qu'on a l'impression d'attaquer un deuxième tome et non un premier. Cela pourrait encore passer si au bout de quelques pages, le mangaka ne sautait pas du coq à l'âne, nous laissant dans l'incompréhension quant à l'histoire.

Durant tout ce tome, on oscille entre une parodie de comic con, de brèves bastons inintéressantes et une quête de sortilège carrément bancale, tout cela sur fond d'imprimerie. Pas facile de saisir le fil conducteur de l'intrigue qui semble partir un peu dans tous les sens et tombe même dans les clichés avec ses personnages féminins aux fortes poitrines outrageusement inutiles. Aucun intérêt pour l'histoire.

À défaut d'avoir apprécié la lecture de ce premier tome, j'aurais au moins apprécié sa couverture. Je pense cependant que je m'arrêterai là pour cette nouvelle série...

J'ai eu beauuuuuucoup de mal avec ce manga... La couverture, le titre, le résumé, il avait tout pour me plaire et pourtant...
En le lisant, je me suis ennuyée, j'avais l'impression de lire les coulisses de la Japan-Expo version magie (en plus je l'ai lu pendant la Japan-Expo, et comme je n'y suis pas allée, c'était assez frustrant xD). On en revient quasi toujours à cet évènement (et c'est d'un ennui !), et finalement on aborde assez peu le fait que Mika veuille rentrer chez elle (alors que c'est indiqué dans le résumé). Certes elle a mis l'expo en place pour trouver un sort qui lui permettrait d'atteindre cet objectif, mais elle passe son temps à contrôler les stands, à veiller à ce que tout se passe bien... Et finalement on en sait très peu sur elle, sur qui elle est, sur qui elle était, sur comment elle a fondé son imprimerie...

Donc petite déception, le manga a beau être fini en 6 tomes, je ne lirais pas la suite. Et pourtant je suis fan des graphismes et j'adore les isekai :/

Le premier tome de "l'imprimerie des sorcières" lance avec "jeune dragon recherche appartement ou donjon" la collection Fantasy aux éditions "soleil manga" et la couverture est également attrayante et de bonne qualité. En revanche, le contenu m'a moins plu, et si je suis sûre de continuer à suivre les aventures de Letty le jeune dragon peureux (en tout cas, je lirai le second tome), je pense m'arrêter là pour "l'imprimerie des sorcières".
Je pensais lire une histoire un peu dans le style de "Magus of the Library" ou "l'atelier des sorciers" donc bien sûr... Rien à voir et c'est une déception. "l'imprimerie des sorcières" est un isekai avec une héroïne tokyoïte projetée dans un univers de fantasy. Elle ne paraît pas s'en soucier beaucoup, et on apprend ça un peu tardivement. Sa principale préoccupation est d'organiser le Magic Market, une sorte de comiket , de gérer son imprimerie, d'intégrer des fêtes humaines liées au merchandising ou au cosplay au milieu d'un monde peuplé de nains et d'elfes. Si on ajoute à cela un aspect ecchi avec de l'humour lié aux grosses poitrines , on comprend que ce n'est pas un manga tout public mais plus un divertissement bon enfant pour lecteurs de fantasy pour adultes.
J'aime bien tout de même le nécromancien Naki qu'on ne voit pas assez même s'il est présent sur la couverture : personnage sensible, bien dessiné, dont j'aurais bien aimé suivre les aventures dans un spin-off de la série et si on le voit plus que dans quelques gags par la suite, je changerais peut-être d'avis quant au fait de continuer la lecture de cette série.

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