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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
D'abord, je n'ai vu que cette couverture magnifique, sans savoir de quoi il était question. Un titre que je n'avais pas encore rencontré sur les réseaux sociaux, un auteur qui m'était inconnu et puis l'esquisse d'un contenu en quatrième de couverture. Je parle d'esquisse car j'ai fait un tri involontaire en découvrant le résumé, j'ai laissé de côté cette « grippe foudroyante » annoncée dès la première ligne et je me suis focalisée sur l'ancrage du roman dans ce que l'on a l'habitude de nommer la littérature insulaire.
Le début de ma lecture a été, je dois bien le reconnaître, assez chaotique. Je n'ai fait que grappiller quelques pages par-ci par-là, n'arrivant pas vraiment à fixer mon attention, peinant à comprendre où l'auteur me menait et quels personnages étaient dignes d'intérêt, j'ai d'ailleurs lu depuis que cette multitude de personnages avait été un frein pour beaucoup de lecteurs. Et le miracle s'est produit, je ne sais plus trop à quel moment, c'est peut-être aussi ça la magie de la lecture, mais il s'est produit et il m'a été bien difficile alors de me détacher de ce roman. Construit en trois parties dont chacune se concentre sur un personnage lié aux deux autres, Des jours sauvages est un récit de naufragés mêlant aventure et expérience sociale qui s'ouvre sur l'affrontement de deux groupes : ceux qui souhaitent quitter l'île, les Partants, et ceux qui souhaitent y rester, les Saboteurs. La capacité de l'homme à vivre dans un espace restreint, le retour à l'état de nature, l'adaptabilité de chacun dans un groupe constitué d'hommes et de femmes aux aspirations différentes sont autant de questions posées. L'homme y est vu dans toute sa noirceur mais aussi dans sa capacité à pardonner. C'est vraiment très bien écrit, cela ne fait aucun doute, c'est même de plus en plus convaincant au fur et à mesure que l'on progresse dans le roman. La fin m'a beaucoup plu, je la trouve très intelligente.
Je remercie chaleureusement Babelio et les Editions du Seuil pour cette lecture !

Lien : http://aperto.libro.over-blo..
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Lu dans le cadre du Prix du Meilleur Roman Points #pmr2022

Suite à une pandémie, qui nous rappelle celle que nous vivons, une centaine de personnes prennent d'assaut un navire et montent à bord pour fuir la maladie et le chaos sur le continent. le bateau échoue et les fuyards se retrouvent sur une île déserte, sans aucune côte en vue, chacun seul face aux éléments et aux autres humains, leurs meilleurs ennemis…

Très vite, des chefs se détachent, le groupe s'organise et des règles sont mises en place. Mais l'absence d'autorité et la perte de tous repères font tourner les têtes et exacerbent chez certains leur côté le plus sombre.

Des jours sauvages est un roman fort et violent qui m'a beaucoup fait penser à sa majesté des mouches de William Golding qui, de la même manière, nous donne à voir avec beaucoup de noirceur les rapports sociaux et les effets de groupes dans l'état de « nature ».

Le début, très descriptif et dans l'action, ne m'a pas emballée. Puis la deuxième partie m'a finalement convaincue. J'ai voulu savoir, j'ai parcouru les pages rapidement jusqu'au dénouement, hypnotisée par cette île sublime et vénéneuse et par le spectacle atterrant de cette poignée d'hommes et de femmes qui tentent de survivre et dont on suit les aventures, non sans un certain voyeurisme.

Une lecture qui m'a tenue en haleine mais il m'a manqué un peu de fond. J'aurais voulu en savoir plus sur cette épidémie et que les personnages nous dévoilent un peu plus de leurs sentiments et émotions.

L'écriture de Xabi Molia est remarquable et nous amène sans souci outremer, nous donnant à ressentir, entendre, admirer l'océan, le vent et la faune, dans ce paysage de carte postale. Mais les apparences sont bien trompeuses et le paradis semble bien perdu pour de bon !

Un page-turner à la « Lost »...

des décors à la Koh-Lanta...

de l'aventure et de la survie...

On fonce !
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A la croisée de Robinson Crusoé et de Ravage, Xabi Molia a osé, avec « Des jours sauvages », le plus intrépide roman « covido-catastrophe » qu'il était possible d'espérer : une pandémie décimant les populations mondiales, une poignée d'irréductibles Gaulois s'échappant grâce au détournement de la plus improbable embarcation (un bon vieux ferry trans-Manche…), un échouage sur une île inconnue et forcément déserte, et c'est parti pour un bon vieux remake de Seul au monde à la sauce Kho Lanta…mais pas que ! Combien de temps faudrait-il à Monsieur ou Madame Tout le Monde pour laisser réapparaître, sous le vernis épais du membre éminent de la Société (civile, de consommation, des Gens de Lettres ou des Sauveteurs en Mer, peu importe !) le bon (ou le mauvais !) sauvage qui sommeille en lui ? Qu'y aurait-il de plus fort, le désir de rentrer au plus vite, de renouer avec sa vie d'avant, ou la tentation de vivre l'expérience, enfin, du retour à l'essentiel, sans contraintes, sans autre impératif que la survie dans un monde sans repères ? Une vie en collectivité est-elle possible sans scissions , sans lois, sans activités réglementées, sans « chef de meute » ? le paradis des uns n'est-il pas l'enfer des autres ? Telles sont, entre autres (ça et, « être Basque, ultime quête d'un absolu ? »), les questions qui jalonnent un roman plein de surprises et de rebondissements inattendus, voire poignants.
Je l'avoue, je n'ai rien d'une aventurière, et si les récits post- catastrophe naturelle (ou pas !) me collent le frisson c'est par terreur pure d'avoir un jour à vivre pareille situation, à des milles et des milles de toute trace de civilisation induisant douche chaude, lumière à tous les étages et distance raisonnable entre la faune locale et moi. J'avoue également que si ces « jours sauvages »-là ne s'étaient pas trouvés entre mes mains dans le cadre du Prix du Meilleur Roman Points, il y a fort à parier que ni la thématique, ni les premières pages extrêmement brouillonnes et peu avenantes, ni les personnages au premier abord peu reconnaissables ne m'auraient incitée à me jeter dessus. Et pourtant…Pourtant, je dois à la vérité de dire qu' il m'a semblé suivre la même inclination que les naufragés dont l'histoire s'offrait à mes yeux : est-on réellement captif d'un espace qui vous accueille, vous nourrit et vous dévoile peu à peu ses charmes ? Prisonnière volontaire de Xabi Molia et de son roman, j'en ai découvert peu à peu l‘intensité comme l'humour, la force comme la profonde sagesse. Au moment d'en lire les dernières pages, j'ai réalisé que j'y avais passé d'excellents moments dont le souvenir m'accompagnerait sans doute longtemps, puis je l'ai refermé, presqu'à regret.
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Il faut des situations exceptionnelles pour révéler la vraie nature des gens, alors quand un groupe de 80 personnes échoue sur une île déserte après le naufrage de leur ferry, tout est possible même l'impensable.
Car si le monde civilisé a peut-être disparu après la pandémie de grippe qui a touché tous les pays, de se savoir les probables derniers survivants de la Terre, fait émerger chez ces naufragés, le pire comme le meilleur.
Qu'ils choisissent de rester à vivre d'amour et d'eau fraiche, de se laisser aller tels des zombies ou qu'ils préparent leur départ pour retrouver un semblant de civilisation, les naufragés vont petit à petit perdre le peu d'humanité qui leur restait. de la tyrannie à la soumission, de l'insurrection à la marginalité, tous les comportements vont voir le jour dans cette île sans règles, ni morale.
Je n'ai pas toujours accroché aux différents retournements de chacun et la violence m'a parfois gênée mais ce fut intéressant d'imaginer les possibles et de se mettre à la place de ces survivants.
Une expérience humaine déroutante et une vision assez pessimiste du « bon sauvage » qui est en nous, que j'ai lue avec un peu de scepticisme mais beaucoup de curiosité.
Avec ce roman d'aventure qui se dévore, Xabi Molia a su me faire oublier mon petit quotidien bien douillet pour me transporter au beau milieu de l'Océan Atlantique, dans une île pas du tout idyllique que je me réjouis de ne pas connaître.
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Imaginez un virus mortel qui décimerait la population européenne, une épidémie qui créerait la panique, engendrerait le chaos et forcerait les gens à prendre des mesures extrêmes, comme monter coûte que coûte sur des bateaux pour fuir hors d'Europe et sauver leur vie. Je sais, c'est une amorce très éloignée de nos vies actuelles, mais faites un effort d'imagination. Ah, on me souffle dans l'oreillette que ce n'est pas si difficile à imaginer actuellement, soit. C'est ce que font les protagonistes de ce roman de la rentrée littéraire, "Des jours sauvages", de Xabi Molia. Ils montent sur le premier Ferry venu, contre l'avis des autorités, et embarquent pour leur salut. Mais le navire, pris dans une tempête, s'échoue sur une île déserte. Les passagers malheureux s'organisent et oeuvrent à la construction d'un bateau pour rejoindre la civilisation. Mais tous ne l'entendent pas de cette oreille, certains voient dans ce naufrage l'occasion d'un retour à l'essentiel, loin du tumulte du monde. Pour vivre heureux, vivons cachés. le roman s'ouvre sur la traque d'un des naufragés, qui a trahi les autres dans leur quête de départ, créant de fait le déclenchement des hostilités. L'auteur prend le parti de nous plonger directement au coeur du groupe, et nous offre la possibilité de devenir les témoins de ce qui se passe quand un groupe d'hommes se retrouve livré à lui-même, sans les repères confortables que nous offre la société structurée dans laquelle nous vivons. Sans lois, sans limites, sans morale. Certains s'accrochent aux valeurs qui sont notre socle commun, d'autres se prennent à rêver d'une société nouvelle, quitte à renier notre héritage. Des jours sauvages m'a fait penser à la série Lost, l'ambiance s'en rapproche dans la diversité des aspirations de chacun, le côté "science-fiction" en moins. Au-delà de l'aspect "roman d'aventure" auquel on peut s'attendre au départ, le roman questionne la refondation d'une société, le besoin de leaders, élus ou autoproclamés, les dérives liées à ce nouveau pouvoir donné aux mains d'inconnus. C'est une dystopie qui nous est décrite, une dystopie plausible, crédible, et c'est cela qui est effrayant. On y observe, petit à petit, la perte des repères moraux, le principe de domination, le pouvoir de la majorité sur la minorité, quand bien même elle se trompe de chemin, le pouvoir qui fait tourner les têtes. J'ai beaucoup aimé ce livre, qui m'a été envoyé dans le cadre de la "Masse Critique Littératures : en route pour des voyages littéraires" de septembre. J'ai lu que certains lecteurs ont trouvé le nombre de personnages trop important, leurs histoires personnelles trop décousues, je n'ai pas eu ce sentiment, j'ai trouvé l'histoire fluide et je l'ai lue facilement, d'une traite. Merci à Babelio et aux éditions du Seuil de m'avoir fait découvrir cet auteur !
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Dans ce roman, on se retrouve face au côté obscur de l'homme lorsqu'il évolue dans un environnement naturel où seule règne la loi du plus fort.

« Des jours sauvages » est l'illustration d'un monde coupé de la civilisation. Les désaccords mènent à la formation de clans. Les hommes se comportent en chiens de combat. Survivre ou mourir. Pour certains, l'occasion de démarrer une nouvelle vie, pour d'autres, une Alcatraz.

Bien que l'histoire ait ses propres caractéristiques, surprises et retournements, je n'ai pas pu m'empêcher de faire le lien avec plusieurs films comme Seul au monde, La plage ou encore Lost.

Mon esprit s'est égaré face au nombre de personnages. J'ai parfois dû reprendre quelques passages pour mieux les situer. Un frein vite mis de côté une fois mon carnet de notes sous la main.

Un roman on ne peut plus actuel. Ici, une grippe foudroyante pousse les hommes à prendre le large. Mais… et si c'était vous et moi, dans un schéma tragico-catastrophique post-covid?

Sa lecture est violente et parfois dérangeante mais une fois terminé, ce livre laisse un vide, un manque.

Un final troublant et bien pensé. Clap.
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Livre reçu dans le cadre d'une Masse Critique. Un grand merci à Babelio et aux Éditions du Seuil pour cette belle découverte.

Suite à une épidémie foudroyante et ravageuse de grippe, quelques centaines de personnes tentent de fuir la maladie en embarquant à bord d'un ferry. Celui-ci, à court de carburant finit par s'échouer sur une île isolée et déserte, en plein océan. Les naufragés tentent de s'organiser afin de construire un radeau pour retourner à terre, mais rapidement des dissensions apparaissent entre eux et à l'apparente harmonie des débuts succède bientôt une violente opposition basée sur 2 visions contraires du monde et de l'avenir.

J'ai trouvé le sujet passionnant : comment ce bout d'humanité, abandonné à lui-même dans un lieu coupé du monde va-t-il survivre et évoluer ? Comment harmoniser les différents points de vue, appliquer une justice, exercer le pouvoir, contenir la violence… quand on repart de rien ?

L'auteur a volontairement évacué les contingences matérielles : l'île est globalement accueillante, les survivants n'ont pas de problème particulier pour se ravitailler en eau ni en nourriture, ni pour construire des abris. En revanche, il s'est focalisé sur l'évolution sociale du groupe dans cet univers à huis-clos.
Ce parti-pris, plutôt intelligent et pertinent de mon point de vue, permet de ne pas limiter l'histoire à celle d'un groupe de Robinson luttant contre les éléments pour sa survie. En optant pour une vision plus large, presque philosophique et abordant divers enjeux civilisationnels, l'auteur nous livre une histoire qui se lit comme un roman d'aventure mais qui parle surtout de fuite et de liberté.

Seul petit bémol, le récit aurait gagné en profondeur si les nombreux personnages avaient été mieux exploités, leur psychologie plus fouillée. J'ai regretté un travail un peu bâclé à ce niveau, j'attendais plus de finesse dans l'évolution psychologique des personnages.
Mais pour cela, il aurait fallu plus de pages… (et moi cela ne m'aurait vraiment pas déplu !).
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Ils sont une centaine de naufragés sur cette île déserte aux côtes de laquelle a échoué le ferry qu'ils ont détourné pour fuir la Grande Grippe qui dévastait l'Europe. Ils sont là depuis des jours, mois ou années. La plupart veut partir, tenter le retour, rechercher le réel, mais certains jouent leur va-tout sur ce bout de terre qu'il ne veulent plus abandonner. Replongés à l'état de nature, ignorant si le Monde existe même encore, ces naufragés doivent faire société.

Ce roman d'une foule poussée à faire corps social est d'une grande originalité. le mythe du naufrage est revisité à rebours de tout fantasme idyllique. Il n'est que violences, plurielles et conjuguées, il n'est que ce vieil état de nature de Hobbes. Cette île refuge maudit est le creuset de la plus instable des existences collectives, dans lequel toute tentative de rationalisation ne peut que perdre son sens et précipiter la déchéance. En cela, chaque « tableau » compose une métaphore politique sauvage, redoutable et glaçante.

La force de roman ce tient à sa narration libre, non linéaire et surprenante, prenant le lecteur à témoin de multiples points de vue, passant d'un personnage à l'autre dans une galerie infinie où chacun ne se révèle par fragment que vu ou entendu d'un autre. On sait peu d'eux, on sait peu du monde. Trois grandes figures se détachent successivement pour guider le récit, simple fil d'Ariane au milieu de ce puzzle parfois déroutant. Qu'importe. La seule âme qui compte ici est celle de la foule et de ses groupes : partir ou rester. Alors on ressent l'île, les instants décisifs, les tensions, les manipulations, la cruauté, les débâcles. On mesure l'espoir qui va et vient, semble parfois s'éteindre dans la folie.
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Sur fond de pandémie de grippe, dont l'auteur parle finalement assez peu, c'est le mythe de l'île déserte que nous explorons ici. Naufragés d'un ferry qui a clandestinement quitté l'Europe, quelques survivants vont devoir organiser leur nouvelle vie sur cette île dont ils ignorent la localisation. Là, tout est possible, tout est vierge, la liberté est totale, mais l'homme ne sait pas vivre libre. Très vite, 2 clans vont s'affronter : ceux qui veulent rentrer à tout prix et ceux qui voient dans cette aventure l'opportunité de repartir à zéro. de sabotages en punitions, de tentatives plus ou moins démocratiques de gouverner en sécessions, ce roman très violent et sans espoir reprend, à sa façon, tous les codes de l'utopie pour, inévitablement, tomber dans la dystopie la plus noire. le texte regorge de personnages qu'il nous est finalement inutile de retenir dans leur singularité puisqu'ils sont simplement là pour incarner le genre humain, ses bas instincts, sa versatilité, son panurgisme. Les leaders se succèdent au gré des tendances, pour que, en définitive, la terreur triomphe. le chef ultime, abominable personnage dont on sent croître la folie mégalomane au fil des pages, va user de tous les ressorts du totalitarisme : sentiment permanent d'insécurité, exécutions sommaires pour l'exemple, réduction drastique de la langue, appauvrissement des interactions sociales et des sentiments, impermanence des règles, déshumanisation par suppression du nom, des souvenirs, d'éducation… Cet asservissement fonctionne jusqu'au rebondissement final qui ancre l'histoire dans un pessimisme désespérant et qui nous donne à réfléchir. Un roman qui mérite d'être lu, noir, violent et sans illusion sur la nature humaine et dont je recommande la lecture non pour la fausse évasion suggérée par la couverture chatoyante mais pour la réflexion anthropologique, sociologique et philosophie aux accents nietzschéens qui plus est, fort bien écrite.
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Suite à la Grande Grippe, un groupe d'individus décident d'embarquer sur un bateau afin de fuir l'épidémie. Arrivés sur une île, ils essaient de créer un semblant de civilisation mais les envies et avis différent énormément, ce qui amène les têtes pensantes à gouverner par la force et la terreur.
Au fil des péripéties, les naufragés fautifs ne veulent plus rentrer en France, de peur d'y être jugés.

Malgré les 250 pages, les aventures se succèdent, le rythme ne ralentit jamais, j'ai eu l'impression de lire un pavé de 500 pages! J'aurais apprécié peut-être davantage de descriptions pour m'imprégner d'autant plus du livre.
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