Citations sur Les enquêtes du commissaire Léon, tome 7 : Les bonbons de.. (20)
A force de vouloir être trop prudent, vous ne serez jamais follement heureux non plus. Aimer à ne plus savoir qui on est, est un bonheur immense. Dès fois, on en oublie même la mort !
Qu’il eût été doux près de toi de laisser parler mon cœur.Peut-être la vie me donne-t-elle de vilains moments pour que j’apprécie plus justement ceux où en ta présence j’oublie toutes misères.Je ne me lasse pas de constater que je t’appartiens et d’en être heureux.
Ce qui est bien avec ces feuilletons, c’est que tu peux partir pour les Caraïbes et quand tu reviens, t’as rien perdu.
Les souvenirs d’enfance sont ce qu’il y a de plus doux à partager. Et c’est la seule chose qui parvient parfois à remplir de larmes les yeux des assassins.
Je parle comme un oiseau chante, pour te faire écouter le son de ma voix et je me tais sans cause, parce que je te sens en moi. Mes silences sont si pleins de choses que je ne peux comprendre comment je les contiens toutes.
Notre vie n’est faite que de futurs et de passés ; les heures que nous vivons ensemble passent si douces et si rapides qu’elles ne laissent d’empreinte qu’en souvenir. Dès que je suis seul, je songe à ce que j’aurais dû te dire et à ce qu’il faudra que je te dise.
Les gens qui s’aiment vraiment ne se perdent jamais.
On n’est jamais aussi bien que chez sa maman, bien au chaud au coin du feu.
Ces enfoirés s’attaquent à des petits commerçants comme moi pendant qu’un ex-ministre pavane avec ses pompes en or sur la Croisette et que sa maîtresse, Deviers-J’y-Cours, est devenue une vedette avec son bouquin pour midinettes. Non mais je rêve ! Dans quel monde on vit ? Bientôt on proposera aux assassins de faire de la pub !