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sur 437 notes
Facteur pour femmes est une magnifique BD ! Elle nous conte l'histoire d'une île, vivant une des pires périodes que le monde ait connu : la Première Guerre mondiale. Déjà, les paysages et la vie quotidienne du lieu sont magnifiquement bien retranscrits. On nous montre un point de vue intéressant, celui des femmes, restées à la maison, tandis que les hommes sont partis en guerre. Tous…sauf un, Maël, jeune homme isolé et légèrement handicapé physiquement. de là, nous suivons les aventures de ce jeune homme, devenu facteur par intermittence, et du lien qu'il va tisser avec toutes ces femmes…

Cette BD, de par son histoire, arrive à nous montrer une part intéressante de l'histoire, aussi courte soit-elle. de plus, la fin parvient à surprendre, et ajoute de l'intérêt à l'ensemble. Je vous la conseille à 100 % !
Lien : https://www.bykimysmile.com/..
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Alors que la Grande Guerre a vidé l'île de ses hommes partis au front, seul reste Mael, le jeune pied-bot que personne ne remarquait, mais qui, en prenant la place du facteur, va se révéler indispensable aux femmes restantes sur l'île, que ce soit en tant qu'ami, confident, ou bien plus encore...

Lorsqu'on parle de la Grande Guerre, on pense aux combats, aux drames, aux tranchées, mais assez peu à la vie en arrière, dans les campagnes laissées à l'abandon, à la réorganisation de la société en l'absence des hommes.
Dans cette île de Bretagne qui ne se sent pas concernée par les problèmes du continent, la vie reprend ses droits et surtout ses obligations, avec l'absence de ces hommes, toujours loin des yeux, jamais loin du coeur, et ce jeune Mael qui reste la seule alternative à ce monde désormais de femmes, de vieux ou d'enfants...

Au-delà d'un scénario particulièrement intéressant malgré une fin assez évidente, cet album se démarque notamment par la qualité de ses planches, avec des cases parfois gigantesques qui offrent en détails et avec beaucoup de soin la beauté des paysages bretons.

Un très bel album.
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Nombreuses sont les oeuvres qui retracent l'enfer des tranchées durant la première guerre mondiale, mais un peu moins celles qui s'intéressent à l'envers du décor : à ceux (et surtout celles) qui restent dans les terres. Ce beau roman graphique est de celles-ci et va nous plonger dans le quotidien d'un petite île bretonne désertée de ses hommes.
C'est sur un ton -à priori- léger et dans un décor idyllique que va se construire le récit de Maël, seul jeune homme resté sur l'île, nommé facteur intérimaire, et qui va peu à peu s'encanailler sous le coup de sa nouvelle popularité auprès de la gente féminine. Il se trouve ainsi une nouvelle mission en plus de distribuer le courrier : distribuer de l'affection et du plaisir aux quatre coins de l'île.
Une histoire qui, par sa grivoiserie, peut donc sembler futile. Pourtant, ni la frivolité des femmes ni la désinvolture de Maël ne suffisent pas à masquer le contexte terrible qui entoure sa petite histoire, bien au contraire puisque ce sont même souvent les réactions détachées du jeune facteur face aux abominations du front qui, par contraste, nous renvois de plein fouet à l'horreur des tranchées.
Nous avons là un roman graphique équilibré, qui sous couvert d'une intrigue qui porte à sourire n'en efface pas moins le contexte historique dramatique dans lequel il se situe, avec de-ci de-là des évocations du front par le biais des lettres envoyées par les combattants, et parfois même plus directement comme c'est le cas lorsqu'on retrouve l'instituteur au sein des tranchées.
Message de souffrance double, efficace, qui dénonce l'absurdité de la grande guerre, Facteur pour femmes a également le privilège d'être soutenu par un dessin lumineux et très agréable et il permet de passer un très bon moment en compagnie de femmes esseulées et d'un facteur charmeur, le tout dans les embruns bretons…
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Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre, qui n'appelle pas de suite. Il est paru initialement en 2015, écrit par Didier Quelle-Guyot, dessiné et mis en couleurs par Sébastien Morice, déjà auteurs de Le café des colonies et de Papeete 1914.

Le récit commence le 28 juin 1914, avec l'annonce de l'assassinat de l'archiduc François Ferdinand et de son épouse à Sarajevo, par un jeune terroriste serbe. L'histoire se déroule sur une île fictive au large de Quiberon. Le 2 août 1914, le maire de cette île appelle la population à prendre connaissance de l'ordre de mobilisation générale qui enjoint tous les hommes valides de 20 à 50 ans à rejoindre l'armée pour faire la guerre. Il ne reste plus alors sur l'île que des femmes, et des enfants, des adolescents et des vieillards.

Le maire choisit Maël Gréhat pour remplir les fonctions de facteur. Il a une vingtaine d'années et n'est pas parti, du fait de son pied-bot. Il possède également une bicyclette ce qui le rend tout désigné pour effectuer la distribution du courrier sur ce territoire étendu. Par la force des choses, des liens se créent entre lui et les femmes à qui il apporte des lettres de leurs époux ou de leurs fils. Il prend son rôle très à cœur, essaye de leur éviter les plus fortes peines, et apprécie beaucoup l'intérêt qu'elles lui portent, lui qu'aucune femme ne regardait avant la mobilisation.

Dès la prise en main de ce tome, le lecteur en apprécie sa bonne facture, la qualité de la couverture, l'épaisseur du papier, la résistance de la reliure, le dos toilé s'il a choisi cette édition. Il est séduit par les belles images, il constate le côté classique de la narration avec quelques cellules de texte venant apporter des informations sous une forme littéraire. La couverture transmet toute la joie et l'entrain de Maël chevauchant sa bicyclette, la proximité de l'océan avec les mouettes, et le l'élégance de la composition, avec le visage très discret de 2 femmes, fondus dans le bleu du ciel. Voilà une bande dessinée qu'il va faire bon savourer, pour en apprécier tout ce que les auteurs y ont mis.

Didier Quelle-Guyot crée une situation propice à la bagatelle, où un laissé pour compte peut enfin briller auprès de ces dames, faute de concurrence. Il justifie la possibilité des infidélités de ces dames, en faisant référence au prix Goncourt de 1912 : Filles de la pluie d'André Savignon. Il ne s'agit pas pour lui d'étaler sa culture car cette référence est intégrée de manière naturelle pages 49 et 50, sans être assénée au lecteur avec moult explications superfétatoires. Tout au long de la lecture, il est possible de relever les éléments culturels qui participent discrètement à la reconstitution historique : le tocsin, l'ordre de mobilisation, l'exactitude de dates, les quelques phrases en breton du pays vannetais, l'emploi opportun du terme Finis Terrae, la forme d'autarcie des habitants de l'île visible dans leur mode de vie (l'agriculture, tuer le cochon, etc.), les références précises à la guerre lointaine, des termes techniques telles qu'Anastasie pour évoquer la censure des lettres des soldats, un personnage s'exclamant qu'il a les mains sales (un peu en avance sur Jean-Paul Sartre).

Le lecteur se laisse doucement prendre par cette reconstitution historique précise et discrète, et découvre la douce revanche sur la vie de Maël Gréhat qui profite de la situation pour accéder à des délices qui lui semblaient jusqu'alors impossible. Le scénariste joue sur le temps pour montrer que ces femmes ne succombent pas toutes, ni du jour au lendemain, et que Maël doit faire preuve d'ingéniosité pour gagner leur confiance, et même pour les soutenir dans leur épreuve. Ce récit n'a rien de pornographique, les séquences érotiques sont très brèves et peu explicites (une paire de seins, une paire de fesse), très évocatrices, et pleines de charme. De ce fait le lecteur éprouve une impression semblable à celle produite par un conte, à destination d'adultes, où un jeune homme avec une difformité met à profit son intelligence pour prendre une sorte de revanche sur la vie, chacun y gagnant quelque chose. Finalement tout le monde sur l'île s'adapte à cette situation extraordinaire et dramatique qui ne peut pas durer.

Cette immersion dans ce coin isolé du monde est rendue d'autant plus douce que les individus sont à l'abri des vicissitudes des champs de bataille et que les images sont magnifiques. La première page comporte une case occupant les deux tiers de la page, montrant une zone herbue sur laquelle repose une bicyclette, des rochers, et en second plan l'océan avec des mouettes virevoltant dans le ciel. La scène baigne dans une chaude couleur orangée, reflétant un moment de calme bénéficiant d'un soleil qui réchauffe sans être écrasant. L'océan se pare de reflets mordorés enchanteurs, sans être fluorescents ou omniprésents.

L'océan n'est pas présent à toutes les pages. Il apparaît régulièrement, avec une attention particulière portée à sa représentation. Il peut être calme en toile de fond (page 5 avec le port en premier plan), il peut être légèrement mouvant sous une lumière nocturne (pages 16 & 17). Il peut encore s'agir de vagues venant se fracasser sur les rochers de la côte, avec des oiseaux guettant les poissons. Il peut aussi venir doucement lécher une plage, prête à accueillir des touristes. Ce n'est donc pas un ouvrage dédié à l'amour de la mer, mais sa présence se fait sentir, rappelant qu'il s'agit d'une île, d'une terre isolée des autres, d'un monde limité.

Sébastien Morice représente les paysages de l'île avec le même amour pour la terre bretonne. Il n'a pas opté pour un rendu photoréaliste, mais pour une approche qui rend compte de l'impression que donnent les zones battues par les vents. De manière naturelle, en fonction des déplacements du facteur pour dames, ou des vues plus générales d'un endroit de l'île, le lecteur peut en admirer la géographie (les plages de sable blanc ténues), et la flore (l'herbe bien verte du fait des précipitations régulières, ou encore les tâches violettes de la bruyère). L'artiste ne représente pas les brins d'herbe dans une approche botaniste, mais les tâches de couleurs. Le lecteur connaissant la Bretagne pourra identifier le mauve d'un bouquet d'hortensias ou les variations de teinte de l'herbe en fonction des saisons.

L'artiste se montre tout aussi soigneux dans sa reconstitution des habitations de l'île. Le village principal présente un urbanisme crédible. Les maisons isolées sont accolées autant que faire se peut aux dépressions du terrain pour protéger au moins une façade contre le vent et les intempéries. L'intérieur des habitations est aménagé en fonction de leur destination (par exemple les outils dans la maison des Gréhat, les lampes à pétrole, les lits enchâssés caractéristiques). Le lecteur peut aussi regarder les différents outils utilisés pour les travaux des champs, ou ceux pour l'élevage d'animaux (avec la scène inoubliable de la saignée du cochon, mise en parallèle d'un soldat embroché sur une baïonnette).

Les personnages sont représentés avec des morphologies crédibles et variées, aussi bien les hommes que les femmes. Les visages expriment des sentiments nuancés, d'adultes. Bien sûr, au vu du titre, le lecteur attend avec une certaine gourmandise les scènes de séduction entre le facteur et ces différentes femmes. Les auteurs expliquent qu'ils ont sciemment limité le niveau d'érotisme pour ne pas tomber dans une collection de scènes de gaudriole, et parce que leur histoire n'est pas de cette nature. Sébastien Morice croque plusieurs portraits de femmes, différentes, chacune avec leur personnalité, leur physique, leur façon de porter attention au facteur qui est leur lien avec leurs époux ou enfants partis au loin, mais aussi leur contact régulier avec l'extérieur de leur maison, de leur ferme. Lors des quelques scènes plus physiques, le lecteur pourra apprécier que la narration visuelle est aux antipodes de la prouesse physique, exhalant des sentiments qui font qu'il s'agit de personnes, et pas d'acteurs choisis pour leur capacité de performance.

Effectivement, il apparaît peu à peu que le récit des auteurs ne se limite pas à un simple conte mettant en scène la revanche d'un jeune homme peu gâté par la nature. Le comportement de Maël évolue petit à petit pour passer d'amoral à quelque chose de plus immoral, de plus manipulateur, en voulant faire le bonheur de ces dames (pas sur le plan physique) à leur insu, dans une relation gagnant-gagnant. Didier Quelle-Guyot ne se contente pas de montrer les stratagèmes de de son personnage, il montre aussi qu'en lisant les lettres destinées à ces dames, il se retrouve confronté à l'indicible. Comment croire à ce que décrivent certains soldats ? À la boucherie, au charnier, aux corps des soldats qui se mêlent à ceux d'un cimetière éventré ? Il y a donc une évocation en retenue et très crédible de ce que pouvaient contenir les lettres des poilus, avec des images évitant également de sa vautrer dans le voyeurisme.

Au fil du récit, le lecteur prend connaissance du devenir d'un ou deux hommes du village sous les drapeaux, mais aussi à leur retour. En contrepoint du comportement du facteur et des épouses ou mères, le récit se teinte d'une gravité générée par les horreurs de la guerre. Le lecteur prend conscience petit à petit que ce conte n'a rien d'inoffensif ou de gratuit, que comme l'indique un personnage, la guerre prendra bien fin un jour et qu'il y aura un prix à payer. La grande guerre n'est pas un simple prétexte et l'horreur de la réalité des champs de bataille étend son influence jusque dans les zones les plus éloignées du conflit. Il ne s'agit pas d'une passade, mais bien d'un roman noir.

Didier Quelle-Guyot et Sébastien Morice racontent une histoire qui parle de la condition humaine, mise à rude épreuve en temps de guerre, sur une île bretonne éloignée du conflit. Cette grande guerre n'est pas un simple prétexte à une histoire d'amour légère. Elle est intégrée à la narration dans ses conséquences. Le lecteur a donc le plaisir de lire un récit très beau à contempler, bénéficiant d'une reconstitution des paysages de Bretagne qui exhale leurs particularités, et qui est également un roman grave sous des dehors enjoués.
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La 1ere GM qui vient chambouler la vie des habitants d'une île bretonne. Alors que les hommes sont tous mobilisés, reste Maël qui va être le facteur de ceux qui restent. Au début, on a un peu de compassion pour lui et sa relation avec son père mais très vite son vrai visage va se révéler.
L'histoire n'est pas captivante mais les femmes vont jouer un rôle plus important que celui qu'on leur prête.
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Une histoire vraiment surprenante, bien ficelée, agréable à lire. Les personnages expriment bien la nature humaine, le meilleur et le pire. Les dessins sont bien faits aussi bien les personnages (aux traits un peu durs comme ils devaient sûrement l'être) ainsi que les paysages de cette île bretonne où se joue l'intrigue.
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Quand la première éclate, il y a peu de retentissement dans la petite île bretonne où se déroulent les faits. L'ordre de mobilisation générale paraît et seul Félicien, l'instituteur, semble s'inquiéter des conséquences. L'île se vide d'hommes jeunes qui, théoriquement, reviendront très vite. Néanmoins ce qui fait le malheur des uns fait le bonheur des autres, pour un temps du moins. Maël, fils d'un paysan violent, est promu facteur alors que son pied bot en faisait un inutile. Qui lui qui apportera aux femmes esseulées les lettres du front. D'abord candide, Maël découvre vite les avantages de sa position et il se sert de lettres de guerre, qu'ils modifient à son gré, pour approcher des femmes plus ou moins jeunes. Celles-ci sont peu à peu sensibles à ses attraits et un temps le jeune facteur règne...
La guerre se termine pourtant, quelques hommes reviennent et soudain, Maël est gênant. il disparaît...
Joli album émouvant et bien tourné. J'ai aimé découvrir les secrets de cette petite île bretonne et aussi ses coutumes. Malgré une fin saumâtre, il y a une lumière dans ce texte et dans ses dessins.

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1914 - Une île au large de la Bretagne - Tous les hommes sont appelés au front; seuls restent les enfants, les vieux, les femmes et les estropiés. Maël fait partie de ceux-là ; boiteux depuis la naissance, il échappe à la boucherie de la guerre et est enrôlé comme facteur de l'île. Bien vite, il prend conscience du pouvoir du courrier : ses venues sont accueilles avec joie et une pointe d'angoisse, la lecture qu'il fait des lettres des soldats lui permet de percer l'intimité de ces couples séparés par les événements. Il apprend à connaître les femmes de l'île, s'en rapproche petit à petit jusqu'à les séduire parfois...

Ces quatre années de guerre passent comme un instant, sur cette ile, dans cette bande dessinée, avec ce jeune homme qui prend sa revanche sur tous ces garçons qui l'ont méprisé des années durant. le dessin est précis, les couleurs tendres, le récit plein de la description épistolaire de combats sanglants mais aussi de la solitude et de la force des femmes restées au pays. Et si on reprenait la plume pour faire travailler le facteur ?
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J'ai beaucoup aimé ce roman graphique. L'histoire se situe sur une île bretonne et cela m'a vraiment attirée (oui, j'avoue, j'adore cette région qui est la mienne... :) )
On est en 1914, tous les hommes en âge de se battre partent à la guerre, tous, sauf un... "l'éclopé" du village, Maël !
Il va prendre en charge le rôle de facteur. Lui qui a toujours été rejeté deviendra le confident de toutes ces femmes restées seules. Puis, il sera l'amant de l'une d'entre elles, l'amant de plusieurs... La guerre amène son lot de tristesse et de douleur, et pas que dans les tranchées... à l'arrière aussi on souffre des privations, de la solitude !
Je trouve que ce roman est aussi fou que réaliste, des histoires comme celle-ci ont dû voir le jour un peu partout...
Qu'adviendra-t-il finalement de ce facteur séducteur et des îliennes en mal d'amour ? le dénouement est surprenant et on ne le voit pas venir ! Bravo !
L'histoire, joliment écrite, et les dessins, doux et colorés, font de cet ouvrage un beau roman, très agréable à lire.
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Août 1914. La guerre est déclarée, et la mobilisation est générale. Au fin fond du Finistère, les hommes doivent quitter leur île et rejoindre le front, et ce sont les femmes des pêcheurs qui prennent le relais. Maêl, 19 ans, avec son pied bot, n'est pas engagé comme soldat, mais il échappera quand-même à un père autoritaire lorsque le maire lui confie la mission de distribuer le courrier avec son vélo. Pour Maël, les quatre années de guerre seront les années de son initiation à la sexualité et à la sensualité. Mais la fin de la guerre annonce la fin des tendresses, et la découverte par les maris survivants des infidélités de leurs dames. La mort accidentelle de Maël si elle attriste les iliennes, les sauve de révélations peu souhaitées.
Une histoire simple et attachante, merveilleusement mise en images par Sebastien Morise. Dans les dernières pages, Didier Quellat-Guyot nous projette en 1958, où nous rencontrons la fille de Solène, une des amantes de Maël, et l'histoire se raconte autrement ...
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