Le métis doit être l'homme de demain. C'est l'homme qui peut fonder son identité directement sur la notion d'humanité.
L'amour est l’expérience fondamentalement positive de l’être humain.
(...) L’amour porte en lui une fantastique vertu qui demande à sortir de ses entraves, à déborder la sphère de la vie privée dans laquelle il est actuellement limité et intensifié, à s’étendre à l’espèce et au monde...
Mais l’unité planétaire ne saurait se réaliser qu’au prix d’une transformation générale des structures (mentales, nationales, sociales, économiques) existantes, c’est-à-dire, pratiquement, une révolution générale.
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Ce monde est impossible et la révolution y est impossible. Cette contradiction appelle un cataclysme général, ou une solution générale, mais peut-être aussi la contradiction générale continuera-t-elle, cahin-caha...
Pas éternellement, car le développement de l’espèce humaine sera tôt ou tard de plus en plus lié à la fois comme cause et effet à l’idée de révolution. Déjà le « sous-développement » appelle une révolution pour le développement. Mais bientôt c’est le « développement » (économique) qui apparaîtra comme sous-développement de l’homme, appelant une révolution de l’existence. Une radicale insuffisance commence à sourdre du monde occidental.