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Citations sur Le roi Arthur (28)

Ce n'est pas la solution, Arthur, me dit-il. Ne vous ai-je pas appris que le mal ne peut jamais détruire le mal ? Seul le bien peut y parvenir.
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La mort fait partie de la vie. A la minute où nous naissons, nous sommes condamnés à mourir. L'important, c'est ce que nous faisons tant que nous sommes vivants.
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Les histoires, c'est comme les personnes, elles disparaissent quand on les oublie.
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Hector, le frère de Lancelot, fut abattu par Gauvain sous les murs du château, et son cadavre traîné triomphalement par les pieds jusque dans notre camp.
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-C'est la première fois que je tue un homme, murmura perceval et il tourna yeux vers moi des yeux pleins de larmes. Ce n'est pas la même chose que tuer un animal, n'est-ce pas, messire? Pourtant, c'était tout aussi facile. Et tout cela pour un gobelet!
-Vous n'avez aucun reproche à vous adresser,lui dit Gauvain en l'entourant d'un bras consolateur, vous n'avez rien fait de mal. C'est lui qui a choisi de mourir, et, d'ailleurs, mourir n'a rien de terrible. la mort fait partie de la vie. À la minute où nous naissons, nous sommes condamnés à mourir. L'important, c'est ce que nous faisons tant que nous sommes vivants.
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Il y a quelque chose d'inéluctable dans un orage: l'accalmie pendant laquelle l'air devient lourd, pesant, la lumière qui baisse lorsque les nuages noirs s'amoncellent, l'inquiétant souffle tiède qui précède la tempête et, soudain, les premières grosses gouttes de pluie. On ne peut pas lutter, on ne peut pas fuir. on ne peut qu'attendre et subir. On a hâte d'en voir la fin. On sait que cela passera, que le ciel redeviendra limpide et que le monde entier sera frais et pimpant. Je savais que c'était l'embellie précédent la tempête.

p.216-217
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Ainsi prit fin la bataille de Joyeuse Garde mais, comme dans toutes les batailles, les seuls véritables vainqueurs furent les corbeaux.
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Je suis fier de vous, Arthur. Je ne pourrais pas l’être davantage si vous étiez mon propre fils. Et comme j’aurais aimé que vous le soyez !
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Elle regardait Lancelot avec une admiration non dissimulée, son collier de boutons d’or dansant au bout de ses doigts. Il le lui prit des mains et le lui posa délicatement sur la tête.

« Une couronne idéale pour la plus adorable de toutes les reines, dit-il ».
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Je me conduis comme un chien qui a une épine dans la patte. Quand cela arrive à Bercelet, il se lèche interminablement, ce qui ne le soulage nullement. Mieux vaut ne pas y toucher et laisser le pus s'écouler à son heure, en entraînant l'épine avec lui.
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