Irena, tome 2 : Les justes

-Docteur Korzak? Les enfants, ils ont l'air tellement joyeux...
-Vous savez, ici ou ailleurs, on ne vit que dans l'attente de la mort. Et plus elle est proche, plus il faut essayer de s'amuser. Se morfondre à l'idée de sa fin prochaine, c'est comme mourir deux fois.

[...] je n'ai rien à dire à des gens dont la doctrine est d'en assassiner d'autres.

Quitte à mourir, autant le faire en faisant le bien.

La charité humaine n'a pas de religion, Irena.

Vous savez, ici ou ailleurs, on ne vit que dans l’attente de la mort. Et plus elle est proche, plus il faut essayer de s’amuser. Se morfondre à l’idée de sa fin prochaine, c’est comme mourir deux fois.

Merci de prendre ces risques pour des enfants juifs,mon père.

Même ceux qui refusent de sortir de chez eux sont en danger, de nos jours. Nul n'est à l'abri d'une dénonciation mensongère, ni même de mourir de faim.

Visiblement il préfère l'argent à l'idéologie. Dans notre situation, c'est une bonne chose.

-[…] j’ai quelques témoignages concordants à propos d’une terroriste aidant des juifs à s’échapper du ghetto, et qui te ressemble étrangement.
– il paraît qu’on a tous un sosie sur Terre.

La charité humaine n'a pas de religion.