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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Navis est mandatée par sillage pour aller voler une sphère sur la planète ou réside Clément (son amoureux si vous vous souvenez d'un tome très très ancien). Elle fait la rencontre d'un enfant qui est en fait un cousin éloigné de son fils.
Navis ne fait jamais dans la dentelle (qu'elle le veuille ou non) et donc de nombreuses péripéties l'attendent au détour de cette visite.

Une Navis toujours aussi sexy et des dessins sortis d'une imagination fertile, qui me régalent toujours autant.
Par contre je sors plus que frustrée de ce tome : 2 secrets sont a découvrir dans le prochain épisode (enfin j'espère parce que je ne sais pas si ma patience saura tenir beaucoup plus longtemps).
Mais en plus de cela Navis a perdu un peu de sa combativité et de sa hargne , surtout face a son fils et cela me dérange un peu.. on a beau etre mère ce n'est pas une raison de se laisser marcher sur les pieds.. le tome 18 nous rendra peut etre une Navis comme on l'a connait depuis toujours
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Ce tome 17 nous promet une belle aventure sur une planète déjà vue, et faisant intervenir des protagonistes déjà rencontrés. On recycle du vieux pour en faire du neuf mais c'est pour mieux faire avancer le fil principal de la vie de Nävis.
L'aventure est bien menée, elle réserve quelques bonnes surprises. Quant on connaît un peu Jean David Morvan, on se doute que la rencontre entre Nävis et ce gamin, Jules, qui ne sort d'on ne sait où, n'est pas fortuite. Et lorsqu'un peu plus loin, il est question d'une cible mais qu'elle n'est pas déterminée avec certitudes, le doute ne plane plus et on devine que dans ce tome où il est question de retrouvailles, cette rencontre va en dire plus qu'elle n'y paraît.
C'est marrant mais l'histoire m'a rappelé certaines scènes de la série de films Mission Impossible. Je ne sais pas si Morvan s'en ai volontairement inspiré, mais la scène où nos deux comparses doivent dérober l'ornosphère (pour savoir de quoi il s'agit, vous devrez vous procurer la bd) est directement tiré de l'un de ces films, je ne sais plus lequel. Vous chercherez si cela vous amuse... J'ai bien aimé le côté espionnage, cela change un peu des visites de planètes, et les quelques rebondissements, dont le dernier qui n'est pas le moindre, finissent de garder l'intérêt du lecteur jusqu'au bout des 48 pages, et sans doute plus car, d'une part, nous ne savons rien concernant cette mystérieuse ornosphère, d'autre part, le twist final la concernant promet une suite et sans doute des explications prochaines.
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On retrouve dans cet opus tout ce qui fait le succès de la série : l'individu face à des pouvoirs manipulateurs, l'évolution de la psychologie de Nävis et l'introspection à laquelle on a accès à travers les personnages périphériques, l'action ("Poukram !")...
Certes, le fait de relier l'intrigue à celle d'un (des) épisode(s) précédent(s) -celle du tome 3, en l'occurrence- rend peut-être cette aventure moins autonome que d'autres mais elle peut aussi donner envie à ceux qui découvriraient Sillage par ce volume de découvrir les autres. En tout cas, cette histoire accentue mon impatience de connaître la suite !
Mais au-delà du très bon scénario du prolifique JD Morvan, le talent de composition, d'équilibre, de sens du détail qui ne nuit jamais à la lisibilité du dessin de Philippe Buchet éclate encore une fois ici, ce qui n'est pas le moindre des mérites de cet album.
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Retour sur la planéte où Navis a rencontré Clément, père de son fils enlevé.
Elle y est pour une mission qui n'a rien à voir avec son histoire passée mais il n'y a pas de hasard, et elle en profite pour revoir Clément, à la tête d'une révolte. du temps à passer on sent que pour Navis, il y a encore un petit coeur qui bat, cela semble moins évident pour Clément qui reste assez froid.
Du coup, elle assure sa mission avec l'aide d'un jeune natif nommé Jules, neveu de Clément. Un petit génie qui cherche à partir de sa planète un peu trop rugueuse pour lui. Scénes d'actions assurées sans problème par Buchet.
Scènes plus intimes sont plutôt amères. Entre un fils qui nie quasiment le lien biologique et un ex petit ami qui n'a pas de temps à perdre avec elle, Navis se retrouve bien seule. D'où la relation qui se noue rapidement avec le petit Jules.
Un peu décevant que ce retour sur (je ne sais jamais comment elle s'appelle). Mais réaliste au vu de la psychologie des personnages.
A lire.
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La fin du tome précédent marquait la fin d'un cycle et d'une intrigue centrée autour d'Enshu Atsukau et des terribles guerriers Yiarhu-kah. Il est donc temps de passer à quelque chose d'autre, mais Nävis avait néanmoins encore une dette vis-à-vis du Magister de Sillage. En échange d'informations concernant l'endroit où se cachait Enshu Atsukau, Nävis avait en effet promis d'effectuer une mission pour le compte du Magister. Ce dix-septième tome est donc l'occasion pour elle de tenir cette promesse.

Cette nouvelle mission consiste donc à dérober une Ornosphère dans un musée situé sur la planète TRI-JJ 768. Si les pouvoirs de cette étrange boule convoitée par le Magister demeurent un mystère que l'auteur réserve pour les prochains tomes et que ce récit de cambriolage est rondement mené, tout en réservant quelques bonnes scènes d'action, l'intérêt de ce tome se situe néanmoins ailleurs. La planète TRI-JJ 768 est en effet celle où vit Clément Vildieu, l'homme que Navïs a aimé et qui s'avère de surcroît être le père de son fils Yannseï. L'occasion rêvée pour Jean-David Morvan pour se concentrer sur la quête identitaire de cette héroïne qui se découvre subitement une famille.

Si l'histoire est très bonne, il y a également le plaisir de retrouver l'univers steampunk de la planète Tri-JJ768, où Nävis s'était déjà rendu lors de l'excellent troisième tome de cette saga. Outre le plaisir de retrouver cet endroit déchiré par une guerre civile, ainsi que ses personnages, le lecteur peut également se réjouir de faire la connaissance d'un nouveau personnage hyper attachant. L'empathie envers Jules Villedieu, un petit génie aussi adorable qu'ingénieux, est en effet immédiate et l'on espère retrouver ce petit bonhomme par la suite.

Bref, encore un excellent tome !
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J'ai retrouvé l'héroïne Nävis et ses compagnons de fortune avec plaisir. le fils de Nävis commence à prendre de l'importance dans l'intrigue et rajoute du peps à l'action. Sympa.
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