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Magnifique roman de Véronique Mougin, avec un titre qui ne passe pas inaperçu.
L'univers de la couture est à l'honneur dans ce roman, et nous rappelle comment survivre dans un monde où tout est fait pour devenir fou. Tenir un fil, permet ici de survivre.
J'ai été très touché par le contexte de l'écriture de ce livre, qui aurait pu ne pas exister. Il retrace un moment de l'histoire familiale de Tomi, qui est passée sous silence pendant plusieurs décennie.
Un récit bouleversant, et qui reste ancré en nous lorsque la dernière page est tournée.
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Quelle belle histoire que celle de ce petit garçon juif hongrois.
Déporté en 1944 Tomy réussit à survivre à la déportation grâce à sa débrouillardise et à la chance. Cette débrouillardise il l'exploitera revenu à une vie normale. Enfin normale pas tant que ça car c'est difficile de vivre avec les souvenirs des disparus, des atrocités.
Alors qu'il rejette la couture, métier exercé par son père ; il tirera son épingle du jeu en devenant le roi de l'échange, du marché noir. Mais avec la nécessité de trouver du travail, la couture le rattrape et il en deviendra un ambassadeur aux doigts de fée.
Un excellent récit ou l'auteur ne rentre pas dans le misérabilisme mais nous fait prendre conscience des ressources déployées par l'homme pour survivre. Crédible, touchante mais surtout émouvante cette histoire interpelle et quand on ferme le livre on pleure...
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Ce n'est pas la première fois que je lis Véronique Mougin et c'est un peu grâce à ma chronique sur son précédent livre que j'ai eu ce partenariat car elle m'a contacté par mail. Je la remercie encore pour son geste.
En revanche, la thématique est franchement différente. Tant mieux au moins je n'ai eu à aucun moment l'impression de lire une seconde fois son roman précédent.

Tomy est le narrateur principal de cette intrigue même si d'autres « prendront » aussi la parole. C'est un sacré numéro que ce jeune adolescent. Il en fait des bêtises ! Rien de vraiment méchant, mais de quoi devenir chèvre si nous étions ses parents. J'admire son père, qui bien qu'il rentre parfois dans des colères noires, reste globalement calme. Son métier lui a indéniablement appris la patience : il est tailleur.
Cette histoire familiale bascule dans l'horreur parce qu'ils sont juifs et que durant la seconde guerre mondiale, il n'y avait pas pire comme danger sauf à être en première ligne sur le front.

Ce récit nous fait sourire, mais aussi nous touche, nous bouleverse. Il est avant tout question de sentiments humains bons, mais aussi odieux, voir intolérables.
L'écriture est très agréable même si le contenu l'est beaucoup moins. Cette fluidité ne fait que renforcer le malaise dans lequel le lecteur sera parfois poussé. C'est ce que l'on cherche d'ailleurs dans nos lectures. Etre bousculé, même malmené. Alors vous le serez sans que cela soit fait gratuitement. C'est l'histoire avec un grand H et un autre plus petit qui en sont responsables.

Il y aura aussi des moments plus heureux car la vie est ainsi faite qu'après la tempête, le beau temps revient. Nous devrions y songer plus souvent d'ailleurs.

Très beau roman témoignage, ce livre devrait laisser dans son sillage bien plus que vous ne le pensez de prime abord. Un bel hommage et encore une occasion de ne pas oublier.

Lien : https://espace-temps-libre.b..
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Ce roman de Véronique Mougin raconte le parcours de vie exceptionnel de Tomas Kiss, un jeune garçon de 14 ans, bien décidé à ne jamais devenir couturier comme son père. Malheureusement pour lui, en 1944 à Beregszàsz, un petit village situé alors en Hongrie, il ne fait pas bon d'être juif. Stigmatisés, leurs conditions de vie se dégradent très vite et toute sa famille se retrouve finalement déportée dans des camps de concentration, où il deviendra le matricule 55789. Afin de survivre au milieu de l'horreur, il doit faire preuve de beaucoup d'ingéniosité… et même apprendre à coudre. Après la guerre, il deviendra d'ailleurs célèbre dans le monde de la haute-couture…

Pour être honnête, j'avais quelques appréhensions avant d'entamer cette lecture. Outre la crainte de me farcir un énième roman sur la Seconde Guerre mondiale et sur les camps de concentration, j'avais surtout peur de cette incursion annoncée dès le titre dans l'univers de la mode. Je me suis cependant très vite attaché au personnage de Tomi, j'ai ressenti ses peurs et ses souffrances, découvert les ruses qui l'ont sauvé d'une mort certaine, avant de me plonger avec grand soulagement dans le monde foisonnant et rayonnant de la haute couture, content d'être sorti de l'enfer et de vivre cette belle époque de l'après-guerre où les jupes et les couleurs effacent progressivement les tenues rayées des prisonniers…

Si cette narration à la première personne fait inévitablement mouche, nous projetant au plus près de cette victime de la page la plus sombre de notre Histoire, le récit est régulièrement entrecoupé de chapitres en italique, proposant des témoignages de personnages qui gravitent autour de Tomi. Ce procédé particulièrement ingénieux permet d'offrir des regards supplémentaires/différents sur cette histoire totalement bouleversante. Puis arrive ce dernier chapitre, permettant de faire le lien entre ce déporté dorénavant âgé de 88 ans et une auteure que l'on se doit de remercier d'avoir su briser le voeux de silence de Tomi et d'être parvenue à mettre les mots justes sur ces souvenirs enfouis. Une conclusion qui donne tout son sens au titre et qui ajoute une dimension supplémentaire à ce témoignage poignant, tout en nous invitant à ne jamais oublier… afin d'éviter que l'histoire ne se répète !

Un gros coup de coeur !
Lien : https://brusselsboy.wordpres..
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Auschwitz-Birkenau, Buchenwald, Dora-Mittelbau, Bergen-Belsen.
1944 – 1945

L'enfer et toutes ses portes. Celles qu'ont franchies le jeune Tomas Kiss et sa famille. Parce qu'ils étaient juifs, on déportait, on torturait, on brisait, on humiliait, on dépeçait les âmes, comme pour ceux qui osaient résister ou afficher leurs différences.
A l'intérieur du camp, la vie ne compte plus, l'autre ne compte plus, tel un soldat au combat chacun doit puiser dans des forces inexplicables pour lutter, ignorer la mort, la contourner. La pitié est absente pour cause de survie.

« Où passe l'aiguille » pique. Un roman qui pique les pages, qui pique la lecture, qui pique le coeur du lecteur car la trame est l'histoire d'un jeune garçon, Tomi, qui rêve de devenir plombier au grand désespoir de son père qui souhaite que son fils devienne tailleur, comme son grand-père. Mais le petit Tomi est rebelle, farouche, indomptable. Peu à peu, la descente vers l'obscurité commence jusqu'au jour où tous prennent un convoi direction l'Allemagne. Tomi qui n'a jamais connu sa vraie mère va perdre sa mère d'adoption et vivre l'inhumanité XXL de la Shoah, ce monstre qui n'a pas de nom.

Tomi se dégoute mais tient bon grâce à son père qui le protège, à son copain Hugo, ce copain des jours heureux. Papa Kiss va obtenir un traitement un peu moins pénible parce qu'il coud ! Là, Tomi réalise que c'est sa chance s'il arrive à manier l'aiguille, lui le fil, finira par passer. Il ruse, observe, développe ses cinq sens, cet instinct va lui permettre de traverser en vie les camps d'extermination.

Libéré avec son père, ils retournent en Hongrie, dans leur village de Beregszasz mais la déception est immense car il ne reste rien, même pas la cheminée de leur maison. Ils vont s'enfuir et atterrir en France, pays de la mode. Car l'horreur des camps va faire devenir Tomi un couturier, un grand couturier franchissant les plus hautes marches. L'épreuve, l'adversité ont façonné Tomi, devenu homme, il ne va jurer que pas son métier afin de tout oublier. Pour ne pas pleurer.

Les témoignages de rescapés, les récits sur les affres de l'ignominie nazie sont nombreux en littérature. Mais à chaque fois c'est différent parce que chaque humain est unique. Véronique Mougin taille un roman absolument magistral en surfilant chaque chapitre pour éviter que l'attention s'effiloche. Par le biais de cette histoire véridique (celle de son cousin), elle coud avec brio une saga déchirante mais parsemée d'espoir et, surtout, épinglée de ténacité.

Du tissu rugueux, déchiré, en lambeaux, des années noires, va s'accomplir le miracle de l'épanouissement d'une étole souple, celle de la reconstruction. Lecture absolue.
Lien : http://squirelito.blogspot.f..
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Tout d'abord, il y a Tomi. Un personnage très fort et éminemment sympathique. C'est un garçon, puis un adolescent, puis un homme impulsif, passionné, intelligent, impertinent, rêveur. Il saisit la moindre opportunité, la moindre chance d'avancer, de survivre, d'apprendre, dût-il voler ou mentir ou tricher. Même plongé dans le pire cauchemar, il n'abandonne jamais et s'empare de la plus petite étincelle qui le fera vivre un peu longtemps. Il est passionnant de le suivre, de découvrir les chemins empruntés, les intersections et les choix qui le mèneront à une belle carrière dans la haute couture.
C'est aussi un beau portrait d'adolescent. L'importance de l'amitié, la fascination pour les femmes, la rébellion d'avec sa famille et sa communauté, ses contradictions (lui qui fuit les leçons de son père sur les costumes pour hommes reste intéressé par certains tissus, par la couleur… par la salopette de plombier), sa volonté de trouver sa propre voie (qu'il finira par découvrir dans la mode pour femme, un chemin unique, mais liée à sa famille malgré tout)… Un portrait moderne qui pourra parler aux adolescents du XXIe siècle.

Ensuite, il y a l'écriture de Véronique Mougin : fluide et imagée, tantôt tendre, passionnée ou dure. Mais toujours saupoudrée d'une touche d'humour. En harmonie parfaite avec le caractère vif, impétueux et sans cesse affamé de Tomi, avec sa gouaille d'adolescent débrouillard. D'un bout à l'autre, de sa plume particulièrement vivante, l'autrice se glisse dans la peau de l'adolescent, de l'homme, du déporté, du créateur avec une aisance confondante et nous fait vivre, souffrir et aimer avec lui.
Le récit à la première personne est émaillé, entre chaque chapitre, de prises de paroles des autres personnages, importants ou secondaires, qui gravitent autour de Tomi. Procédé agréable qui nous apporte d'autres informations, d'autres visions des événements et du jeune homme.

Le récit est évidemment terrible. Les horreurs se succèdent, la faim, le froid, la peur, la cruauté des bourreaux et des détenus. Mais le roman parle aussi de l'après, du retour au pays, de l'antisémitisme qui n'a pas disparu avec la fin de la guerre, du pillage de leurs affaires, de leurs maisons, de leurs ateliers. Et surtout, Tomi et les autres survivants se posent sans cesse la question de comment vivre avec, comment continuer après ça. Les cauchemars récurrents, les souvenirs qui menacent de resurgir, la peur. Parler, se taire et tout enfouir, boire pour oublier, parler aux morts, espérer, chacun à sa méthode pour tenter de rester en vie parmi les fantômes.
C'est également un récit sur la résilience et sur la solidarité. L'amitié et le groupe apparaissent comme cruciaux pour Tomi. Son père, son meilleur ami et le père de celui-ci étaient ses ancres dans les camps et il trouvera, dans la maison de couture, une seconde famille capable de tenir ses démons à distance. C'est peut-être ce que j'ai trouvé le plus beau et le plus émouvant dans ce roman…

Pour être honnête, j'avais quelques appréhensions vis-à-vis de ce livre. Quelques-unes étaient liées à la période de la Seconde Guerre mondiale. Encore une énième roman sur la Seconde Guerre mondiale ? Oui… et non. Car l'autrice raconte d'autres épisodes que ceux mille fois racontés et de nouveaux détails sur la survie dans les ghettos, les camps, l'après font toujours leur apparition. Et c'est captivant et bouleversant.
Cependant, mes principaux préjugés reposaient sur la mode. La haute couture n'est pas un art qui me passionne et je craignais la lassitude. Mais Véronique Mougin a totalement réussi à me surprendre sur ce terrain de jeu. Avec Tomi, j'ai découvert au camp la beauté du geste, la renaissance des vêtements sous les mains expertes et les histoires humaines derrière les créations. L'entrain et la passion vibrant dans le corps et l'esprit de son narrateur, elle fait vivre les tissus, tourbillonner les couleurs, danser les perles, les boutons et les dentelles. Et elle a su me passionner, le temps d'une lecture, pour cet univers que je ne connaissais pas.

Un récit de vie vibrant et poignant, un homme qui a traversé un cauchemar et qui a cherché le moyen de le laisser à la porte, une vie où la mort et l'art s'entremêlent, cousus sur une toile de souvenirs, de pleurs, de passions et de beauté.
Aussi, même si vous avez l'impression d'avoir déjà tout lu sur la Seconde Guerre mondiale, même si la mode ne vous intéresse guère, accordez une chance à ce récit à la fois historique et personnel, fort et étonnamment non dénué d'humour.

Merci à Babelio, à Flammarion et évidemment à Véronique Mougin pour cette lecture et la rencontre qui a suivi, une rencontre passionnante et touchante.
Lien : https://oursebibliophile.wor..
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Ouf! Suis arrivé au bout...
Moi qui suis incapable de lire un livre de plus de 300 pages, je me suis imposé de lire ces 524 pages comme un défi ! Et finalement, la tentation d'abandonner ne m'a jamais titillé...

Bien sûr, on pourrait se dire : pourquoi l'auteur n'a-t-elle pas publié deux livres ? L'un sur les camps de concentration nazis, l'autre sur la (haute) couture. Les deux thèmes n'ayant, a priori rien à voir entre eux, et le passage de l'un à l'autre étant d'ailleurs un tantinet laborieux.

Les horreurs de l'holocauste, sujet rebattu s'il en est, trouve cependant un semblant d'originalité par le fait qu'elles sont racontées à travers le regard d'un adolescent. Pourtant, j'avoue qu'il était temps que les américains débarquent...

L'ascension professionnelle du gamin rebelle au rang de grand couturier, bien qu'un brin irréaliste, m'a davantage intéressée. La magie du vocabulaire du monde de la couture, traduit en texte, à défaut d'images, a opéré : on s'y croirait !

Et finalement, les dernières pages font le lien entre ces deux univers que tout oppose, et valent à mon appréciation une etoile supplémentaire. Un auteur prometteuse...
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Pour celui-ci... il rassemblait 3 thématiques qui font partie de moi : la Seconde Guerre mondiale, la Hongrie et la Mode...

"Où passe l'aiguille ?" de Veronique Mougin évoque l'itinéraire de Tomas, dit Tomi, 14 ans, jeune juif hongrois, espiègle, rebelle, coeur à vif, qui refuse le chemin tracé par son père tailleur réputé mais soumis aux lois anti-juives depuis l'arrivée des nazis.
Nous sommes en 1944, et Tomi voit, en quelques semaines, sa vie basculer de son arbre à divers camps de concentration.

Là, le gamin, débrouillard, indépendant, contraint de sauver sa peau renoue avec la tradition et se fait tailleur.

Après la libération du camp, Tomi traverse l'Europe et va plonger dans les tissus, les fils, la couture, la Haute Couture, une autre vie... qui pourrait être belle si elle n'était pas pleine de fantômes, de peur abyssale, de cauchemars, de peine sous les paillettes et la reconnaissance de son talent.

Son histoire est entrecoupée des réflexions de ses proches, d'un voisin, d'inconnu, etc... qui viennent livrer leurs visions de la vie, de l'horreur, de la peur, de l'amour, du manque et de Tomi.

Si les 3/4 sont réellement prenants et émouvants, le dernier quart souffre d'un côté déjà-vu/déjà lu qui n'a pas le souffle des deux ans pendant lesquels on suit le chemin douloureux de la famille Kiss.

C'est donc un petit bémol sur un roman qui aurait dû être plus fort dans sa finalité...

Cependant, il est à lire pour cette partie d'Histoire de la Hongrie et des soubresauts historiques... et de la noirceur humaine quand la vie ne tient qu'à un fil.
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L'auteur nous raconte la vie de son cousin, Thomas Kriss, le fils d'un honnête tailleur pour hommes, réputé pour l'excellence de ses travaux de couture, en s'appuyant à la fois sur des documents d'archives et sur les récits de Thomas. Monsieur Kriss rêvait de voir son fils lui succéder dans sa boutique, mais celui-ci préférait la plomberie aux aiguilles !
Mais Hitler est venu sonner le glas de leur vie tranquille et de leurs espérances. Thomas et son père se sont retrouvés dans un camp d'extermination. Les parents du jeune homme lui avaient inculqué le sens du devoir, l'honnêteté, le respect des traditions, la politesse, l'obéissance, mais dans le camp, pour survivre, Thomas a jeté aux orties tous ces prétextes. Les nazis lui ont appris à devenir rusé, menteur, voleur.et finalement, au grand étonnement de son père, c'est dans un de leurs ateliers qu'il a appris la couture !
Véronique Mougin décrit sans filtre les atrocités commises dans ces camps par ces monstres.la lecture est parfois difficile, à la limite de la nausée. Ses mots font écho à tous ces films, toutes ces images, tous ces reportages, ces conférences sur ce sujet terrible. Que de souffrances, que de cruauté, d'inhumanité dans ce récit qui tordent notre estomac, qui nous étouffent. Quelques notes d'humour, beaucoup de tendresse aussi, u zeste d'espoir nous incitent à ne pas abandonner Thomas en cours de route et à l'accompagner jusqu'à la dernière page.
Où passe l'aiguille, passe le fil. Tel père, tel fils !
Livre difficile, mais superbe. A ne pas éviter!
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Ce livre, je m'en méfiais, parce que noté coup de coeur. mais comme les autres avant moi, je me suis laissée emportée par l'histoire , que je ne résumerai pas parce que beaucoup d'autres l'ont fait avant moi. Cette histoire intéressante mais que certains pourraient qualilfiée de "déjà vue", est surtout remarquable par le style de la narration.
Le narrateur est principalement le personnage principal Tomi, dont le ton est à la fois naïf et sincère, mais les chapitres sont entrecoupés d'autres plus courts nous exposant le point de vue d'autres protagonistes.
Le style est enlevé, nerveux, employant les mots justes, nous vivons avec Tomi, ressentons avec lui. le vocabulaire s'adapte aux situations et aux personnages. Je ne pensais pas que l'on pouvait dire tant de choses sur la couture et sans jamais nous ennuyer.
Je ne connaissais pas cette auteure mais je ne manquerais pas de lires ses livres. Son écriture est un véritable plaisir.
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