« Qui étais-je pour lui dire comment il voulait vivre ? » (p. 217)
J'ai compris que j'avais peur d'exister sans lui.
Comment peux-tu avoir le droit de détruire ma vie, quand moi je n'ai pas mon mot à dire au sujet de la tienne?
Voilà ce que j'avais envie de lui demander.
Mais j'avais promis.
Alors je l'ai serré contre moi.
... Je l'ai serré contre moi sans rien dire, sans cesser un instant de lui crier en silence qu'il était adoré. Oh, comme il était adoré
J'ai compris que j'avais peur d'exister sans lui.
Certaines erreurs ont des conséquences plus graves que d'autres. Mais tu ne dois pas laisser cette nuit là devenir ce qui te définit. Tu peux choisir qu'il n'en soit pas ainsi.
- Je voudrais juste... être un homme qui est allé assister à un concert avec une jeune femme en robe rouge. Encore un instant. (p.186)
Le pouvoir est dans le savoir
-On a qu'une vie, Clark. C'est le devoir de chacun de la vivre aussi intensément que possible.
On ne peut rien faire pour une personne si elle ne veut pas être aidée.
Je crois bien que ce corps était devenu la partie la moins intéressante de lui.
Quand on se retrouve catapulté dans une nouvelle vie -ou, du moins, poussé si fort contre celle de quelqu'un d'autre que c'est comme d'avoir le visage collé à sa fenêtre-, on finit par être obligé de reconsidérer sa propre image. Ou, plus précisément, l'image de soi qu'on donne aux autres.