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« Shadow of the Ring » me faisait très envie et avait quelque chose d'aussi mystérieux et attirant, je n'ai pas été déçue. Je ne savais pas du tout dans quoi je mettais les pieds, et je suis passée par un sacré mélange d'émotions, c'est pareil au niveau de l'histoire qui mêle habilement tranche de vie, très beaux graphismes avec particulièrement quelques très belles doubles planches, risque de guerre, ambiance inconnue voire ancien temps, mais aussi une technologie inconnue, mystérieuse, étrange et renversante, sans oublier quelques personnages attachants, surtout deux.
Mais attention, la série ne fait pas dans la dentelle, déjà parce qu'elle vire dans une tension dramatique, mais aussi parce qu'il y a des scènes violentes, des scènes sexuelles etc.
Le tout incorporé dans l'histoire, spécialement au début et à la fin, ce qui fait que c'est plutôt réservé à partir d'adolescents/personnes très mûrs et avertis.

Nous savons également que la série sera terminée en 4 tomes. Elle joue très habilement avec les rebondissements et cela jusqu'au bout des ongles, ou plutôt du tome. Impossible de s'y ennuyer.
Elle est éditée par Kioon, papier blanc de qualité bien agréable. Quelques surprises sympathiques sous la jaquette. le mangaka ayant oeuvré dessus est NAKAGAWA Kaiji / NAKAGAWA Takanori, qui a aussi fait « Route End » en 8 tomes également édité par Kioon, qui se promène tranquillement dans ceux que j'aimerai lire un jour.

Le royaume de Keiju semble comme un monde à part, fonctionner sous un principe de royauté, mais avec un côté mystérieux, fascinant, inconnu, déroutant. C'est un mélange d'émotions que de s'y promener,
que d'apprendre à la connaître. Un lieu indépendant et unique, ce qui a été permis par leur technologie de pointe nommé hakukei.
Quand nous voyons pour la première fois les soldats, c'est un peu comme certains extraits qu'on a croisé, on se retrouve totalement troublés. Est-ce une personne ? Une armure ? A la fois étrange et fascinante.
Dans le manga, nous suivons Aushi, qui a envie de visiter ce pays, il est attachant, cultivé, curieux, et porte un masque tout aussi intrigant. Une belle façon d'amener les choses.

Sa requête contre toute attente est acceptée. C'est un pays dont peu de choses sont réellement connus à l'extérieur. Il se liera avec Kamalu, un personnage haut en couleur, un enfant, qui réserve quelques surprises . Ces deux là nous donnent un côté amical, tranche de vie, tout en découvrant une toute autre culture, avec des éléments qui peuvent en rappeler d'autres.
Nous pourrons également découvrir plus le voyageur : Aushi.
Mais c'est aussi alors qu'ils sont attaqués par quelqu'un d'extérieur portant un hakukei, il semble mieux savoir se battre, leur fait la leçon, et rien ne va plus. La menace de la guerre refait son apparition.
La vie de Kamalu changera aussi.

Mais quel est ce peuple de l'ombre ? Cette technologie ? Pourquoi sont-ils attaqués maintenant ? Par qui ?
Des complots se fomentent, rien n'est certain, et rien ne sera pareil à l'avenir. Que faire ?
Le pays de Keiju a réussi jusqu'à présent à préserver sa paix et sa neutralité mais maintenant ce n'est plus le cas.
La suite se fera impatiemment attendre.
Un univers de fantasy pas comme les autres et prenant.

Vous verrez également un peu les autres factions.
Un petit plus non négligeable : présence d'un chien 🙂



Le début et la fin nous offrent quelques chocs, enfin surtout la fin

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Avec la fin de Lost Children chez l'éditeur, j'étais un peu en manque de série géopolitique à motif ethnique. Je n'ai pas eu le temps de le rester longtemps car déjà arrive l'intriguant Shadow of the Ring et son monde où la Terre s'est vu doter d'un anneau céleste entraînant une nation à sa suite. La curieuse en moi était déjà alpaguée !

J'ai été très surprise en revanche de découvrir Kaiji Nakagawa derrière cette oeuvre. Je l'avais quitté avec le très classique et carré Route End, un thriller efficace et percutant qui nous avait fait visiter les tréfonds de l'âme humaine, mais resté beaucoup sur les rails. Ici, avec un dessin bien plus libre et inspiré, il s'autorise une histoire toute aussi sombre mais qui promet des ramifications plus complexes et surtout un univers plus original. Chouette !

Je suis une fan de Fantasy et de SF, alors quand on me parle de planète avec un anneau stellaire, de déification de cet anneau ou encore de ville-état se déplaçant pour suivre cet anneau-dieu, ça ne peut que me titiller. D'ailleurs, j'avais beaucoup aimé La Marche du Levant de Leafar Izen où on retrouvait aussi un peuple qui avançait cette fois au gré du Soleil qui se déplaçait le long de la Terre. J'avais trouvé le concept fascinant. Ici, en prime l'auteur ajoute une dimension géo-politique des plus tendues totalement bienvenue pour rendre le récit percutant et addictif comme il sait le faire.

Il prend pourtant le temps, dans ce premier tome, de planter l'ensemble du décor et le fait avec une belle science narrative pour que ce ne soit pas de la bête info-bombing. En effet, il utilise avec astuce comme narrateur un jeune homme de l'Empire voisin qui, curieux de connaître la vie singulière à Keiju, demande à venir y étudier. Il y pénètre donc et on découvre avec lui, d'abord, la vie quotidien normale dans cet état nomade qui a su se tailler sa place grâce à l'utilisation d'une certaine ressource pour créer des armures surpuissantes : les hakukai, ce qui lui permet de continuer à voyager en étant neutre. Malheureusement, c'est tandis qu'il visite cette nation qu'un incident se produit.

L‘auteur a vraiment su doser son suspens et sa montée en tension narrative dans ce premier tome pour nous scotcher devant le tome. Il allie à la fois percussion des personnages et percussion de la trame politique de l'histoire. En effet, il nous entraîne dans un conflit qui ne dit pas son nom et dont l'élément déclencheur sera externe aux Empires et pays invoqués pour mieux semer le trouble. Ce conflit aura une base à la fois idéologique et militaire avec la quête de ces armures parfaites et la maîtrise de la ressource permettant de les produire, mais aussi du droit de vivre autrement, pacifiquement et librement des habitants de Keiju. Ce sont plusieurs civilisations qui vont s'entrechoquer : une pacifique, une colonisatrice et une en déliquescence. Qui va en sortir vainqueur ?

J‘ai beaucoup aimé le soin apporté à la géopolitique, mais peut-être tout autant celui apporté à la rencontre de cette civilisation différente. L'auteur nous y fait pénétrer petit à petit par des interstices au fil des événements qui se produisent et des rencontres que fait Aushi, ce jeune homme d'un pays voisin, et on sent bien tout le soin que l'auteur y a apporté. Il a pensé aussi bien le culte de ces habitants, leur rapport à leur sécurité, leur monarchie, leur hiérarchie, leurs emplois, leurs lieux de vie, etc. Et c'est tellement différent de nous que ça ne peut qu'être fascinant. Cependant, ce n'est pas détaché non plus, c'est même plutôt très humain, à l'image de la famille de la Reine Dawa que nous suivons ici entre sa petite soeur, qui voudrait apprendre à se battre comme les hommes, et son petit frère, garde bien malgré lui, voire même de cette Reine à la posture encore bien mystérieuse, sans parler du Roi son époux, souvent impuissant face à ce qui se passe et qui peine à imposer ses idées. Ce sont tous des personnages déjà très humains.

Shadow of the ring m'a donc surprise d'entrée de jeu par l'efficacité, l'immersivité et la richesse de son premier tome. Cette nouvelle série géopolitique ethnique me promet de belles heures d'aventure mais aussi de développement psychologique, et présente déjà de très jolies trouvailles avec cette cité suivant le dieu-anneau et ses armures surpuissantes aux allures d'Eva ou plutôt d'Adam. J'ai tremblé, j'ai frissonné et je n'ai qu'une hâte, y retourner !
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Kaiji Nakagawe, le mangaka remarqué pour son thriller Route End (également chez Ki-oonà bascule ici dans un tout autre genre avec Shadow of the ring , une série dans laquelle il impose une maîtrise originale, percutante et curieuse de la fantasy. C'est simple, Shadow of the Ring illustre un imaginaire dépaysant et atypique loin des habituelles conventions médiévales fantaisistes et accompagné par une intrigue passionnante sur fond de complot, de quête du savoir et de menace de guerre qui détaille peu à peu cet univers singulier et prometteur.

Dans la lignée tout de même de certaines références comme la bd le Transperceneige de Jean-Marc Rochette et Jacques Lob ou le roman le monde inverti de Christopher Priest , le mangaka situe également son intrigue dans une cité-monde sur rails. Cette cité a pour nom Keiju et parvient à entretenir une certaine indépendance face aux autres empires grâce à la maitrise de sa technologie unique : le hakukai, sorte d'armure ressérré sur tout le corps qui confère des pouvoirs surhumains.

Malheureusement, l'intrusion d'un assassin au coeur de cette cité-monde indépendante va basculer l'équilibre et la neutralité de cette cité qui se retrouve plongé, malgré elle, dans un climat de guerre face à un empire assoiffé de conquête.

Passionnant , l'intrigue est narrée suivant plusieurs points de vue : celui du nouveau venu, un scientifique un peu naif et avide de savoir, le couple royal de Keiju, noble de coeur mais dont l'amour n'est pas forcément né du désir, la petite soeur de la reine, un véritable garçon manqué ou encore l'assassin impitoyable qui s'en prend aussi bien à des civils qu'à des soldats. Autour de ces personnages gravite la technologie des hakukai qui attire quelques convoitises.

D'un point de vue narratif, ce premier tome est tout simplement réussi avec des personnages bien écrits et aux motivations variées. le mangaka étoffe leurs caractères avec quelques flash-backs bienvenues qui rendent les personnages plus humains comme les origines de la relation entre la reine et le roi, la première étant une simple femme du peuple promise à un tout autre avenir. On peut compter sur la noblesse du trait de Kaiji Nakagawa qui va également proposer un imaginaire hybride entre un esthétisme orientale et ethnique (comme le montre l'excellent chara-design de la reine) et une touche de science-fiction curieuse à travers les armures blanches que sont les hakukai. La magie est ici retransmise à travers cette technologie hors-norme et convoitée.

Pour un peu, on regretterai presque que Kaiji Nakagawa n'aiguise pas davantage cette cité sur rails qu'est Keiju, la cité a pour particularité de suivre la voix ombragée de l'anneau entourant la planète. Mise à part d'excellentes premières planches et quelques découvertes retranscrisent surtout à travers le point de vue du savant nouvel arrivant, le mangaka délaisse un peu trop vite l'immersion et la description de son monde au profit d'une intrigue qui nous plonge rapidement à la veille d'une guerre.

Ainsi, la course-poursuite avec l'assassin occupe une trop grande partie de ce premier tome tandis que nous avons un aperçu précoce des autres empires mais cela ne gache pas non plus le plaisir de lecture , d'autant plus que la série ne compte que quatre volumes. le mangaka doit donc se concentrer aussi sur un bon rythme en espérant qu'il l'enrichisse d'explications autour de Keiju.

Bien que nous ne soyons plus dans une enquête macabre de Route End, Shadow of the Ring est un seinen ponctué de moments forts et explicites. Petite prévention pour celles et ceux qui se fierait un peu trop à la jolie couverture de qualité de ce titre, ce premier tome est composé de quelques meurtres barbares et d'une certaine scène d'orgie. Kaiji Nakagawa signe un univers de fantasy plus rude qu'il n'y parait. Vous voilà prévenu.

En somme, ce premier tome en impose malgré quelques petites inégalités quand à la description de cet univers de fantasy tout de même hors-norme. On espère que cette série dans son ensemble apportera une touche de fraicheur et de puissance plus que bienvenue dans la fantasy manga.
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Ce premier tome de Shadow of the ring inaugure la série avec brio : grâce à l'astuce du personnage principal étranger au lieu, on est immergés dans la culture et la vie quotidienne de Keiju. le mangaka évite l'écueil de la visite touristique gratuite en introduisant rapidement suspense et enjeux géopolitiques qui annoncent le meilleur pour les trois tomes restants.
Les graphismes, très détaillés, participent de l'aspect immersif. Les scènes de combat, si elles sont très dynamiques, peuvent aussi s'avérer assez graphiques !
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Je voudrais tout d'abord commencer par remercier la Masse Critique Babelio ainsi que les Éditions Ki-oon pour l'envoi de ce manga.

Concernant la couverture, je l'aime bien. Sans trop en dévoiler, elle nous présente deux personnages, l'enfant semblant en colère et l'adulte semblant vouloir le protéger.

Concernant les graphismes, même si je serais bien incapable de dessiner ainsi, je n'ai pas totalement accroché à ceux de certains personnages, je trouve que les hommes de Keiju se ressemblent tous un peu. Je dois néanmoins avouer que la double page dudit royaume de Keiju est magnifique.

Nous sommes donc sur un univers fantasy où la Terre est dotée d'un anneau qui y projette son ombre. Keiju est un royaume mobile qui suit le parcours de cette ombre à travers les autres royaumes. Par souci de ne pas se mêler aux conflits, c'est un royaume neutre.

Pourtant, il est aussi le détenteur de la technologie des hakukai, ces armures blanches qui s'adaptent au corps de leur porteur et décuplent ses capacités physiques.

Aushi vient du royaume de Kuchihito. Il rêve de voyages et d'exploration, c'est ce qui le conduit au mystérieux royaume de Keiju. C'est à travers lui que l'on en apprend petit à petit plus sur ce pays nomade. C'est un jeune garçon gentil, curieux, plein de bonne humeur et de bonne volonté qui souhaite en apprendre plus sur Keiju. Seulement, il va arriver en même temps qu'un mystérieux ennemi qui va mettre en danger l'indépendance ainsi que la neutralité de ce royaume indépendant.

Les armures polymorphes et ce royaume mobile sont vraiment des idées intéressantes, tout comme le détournement des hakukai pour faire les lunettes de Aushi. le fait que cela tourne aussi en un apparent complot géopolitique n'est pas non plus inintéressant. La fin, avec le porteur de l'armure cyclope, ainsi que Kamalu promet des choses intéressantes.
Je n'ai cependant pas du tout adhéré à l'empereur de Kushihito ni à ses plaisirs... particuliers.

J'ai beaucoup aimé les illustrations inter-chapitres qui expliquent le fonctionnement des hakukai, de leurs différences ainsi que de leurs armes.

En résumé, je n'ai pas accroché autant que je l'avais escompté. Je ne sais pas réellement ce qu'il m'a manqué pour vraiment entrer dans l'histoire, mais je ne pense pas acheter la suite. La feuilleter à l'occasion pour découvrir ce qu'il va se passer, mais l'attrait n'est cependant pas assez puissant pour me faire dépenser de l'argent.
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Je viens de lire le premier tome de "Shadow of the Riing". J'avais lu "à partir de 12 ans" sur Manga News, mais c'est un seinen, pas un shonen. D'un côté, on suit le sympathique Aushi qui découvre le royaume de Keiju avec curiosité, comme un touriste, et se lie d'amitié avec Kamalu, la petite soeur de la reine. D'autre part, on a un imposteur qui tue dans l'ombre, de façon assez violente. À ces deux intrigues s'ajoutent deux scènes de sexe, une dès les premières pages, une autre d'orgie, qui ne sont pas spécialement nécessaires par rapport à l'histoire principale, mais la seconde se révèle "pour public averti" bien que la mention ne figure pas au verso du tome. de ce fait, ce n'est pas une lecture tout public bien qu'on alterne, comme si Kaiji Nakagawa n'avait pas défini avec précision l'âge de ses lecteurs. Sinon l'univers de fantasy et le suspense font qu'on a envie de découvrir la suite de cette série en quatre tomes, même si c'est un peu confus au niveau des royaumes. Toute la partie à Keiju est vraiment passionnante à suivre, on s'habitue vite aux personnages. C'est un peu plus confus dès qu'on en sort et qu'en quelques pages, l'espace d'un seul chapitre, nous sont décrites toutes les grandes puissances qui entourent ce royaume. Mais ça sera sûrement développé dans les tomes à venir.

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Premièrement, je remercie la maison d'édition et Babelio pour cette masse critique.
J'avais déjà vu passer ce manga avant de participer à la masse critique et j'avoue avoir été intriguée par le résumé et par la couverture. Mais je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre en réalité.
On se retrouve plongé au coeur un univers qui mélange à la fois la fantasy mais aussi la science-fiction et le steampunk. J'avoue avoir été surprise par ce mélange détonnant mais assez efficace. le mélange des 3 genres est savamment dosé et correspond parfaitement à l'idée qu'on peut se faire du manga et de l‘univers en son sein. On ressent un beau développement culturel dans ce premier tome. J'ai eu l'impression de retrouver un mélange des coutumes d'un peuple oriental mêlé à celles d'un peuple asiatique. Là aussi, tout est dosé et passionnant. Cet univers ne ressemble à aucun autre en résumé.
Pour le coup, je tiens à préciser que ce roman n'est pas adapté pour les plus jeunes. On retrouve des scènes explicites dès les premières pages et beaucoup d'effusion de sang mises en avant. Je pense aussi que l'intrigue doit être réservée pour des lecteurs plus matures parce que celle-ci est plutôt complexe et déroutante. On n'a que peu de détails et les informations arrivent au compte-goutte. Ça amène pas mal de questions mais aussi de suspense.
Malgré tout, l'action n'est pas en reste. La mise en place de l'intrigue et la découverte de l'univers se fait assez rapidement tout en étant lente puisque chaque détail, qui vient lentement, étoffe l'univers ainsi créé.
Du côté de l'histoire tout comme des dessins, c'est assez complexe et plutôt riche aussi. Par moment, c'est facile à comprendre et ça se complexifie d'un coup. Donc, c'est assez sophistiqué.
On retrouve des personnages drôles, fascinants et surtout étranges, en possession d'une technologie futuriste. J'ai adoré le mélange des époques et des savoirs puisqu'ici c'est la technologie futuriste qui rencontre la période antique asiatique, vraiment très intéressant !

Conclusion : Intrigant, fascinant et surprenant sont les maîtres mots de ce manga.
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