Les vacances de Jésus & Bouddha, tome 1

Jésus et Bouddha en ont marre du ciel. Ils ont décidé de s'octroyer quelques vacances bien méritées et louent un appartement dans le Japon des années 2000. On ne les savait pas copains, mais bon, pourquoi pas, après tout… le rôle crucial qu'ils ont pu jouer dans l'histoire de l'humanité ne devient plus qu'un lointain passé d'acteurs désormais révolu. A présent eux-mêmes, c'est-à-dire communs et triviaux, ils se réunissent en coulisse et essaient de rester anonymes au milieu d'une foule qui, de toute façon, a perdu toute notion religieuse. D'ailleurs, Jésus évoque seulement Johnny Deep, et les japonais s'évertuent vainement à appuyer sur le front de Bouddha qu'ils prennent pour un interrupteur.



Toutefois, les mauvaises habitudes professionnelles ne disparaissent pas de si vite. Avoir tenu le rôle de Jésus ou de Bouddha, ça laisse des traces. Il suffit que Jésus soit un peu contrarié pour que s'ouvrent ses stigmates, tandis que Bouddha émet une aura lumineuse sitôt qu'il est touché par la félicité. Leurs aptitudes physiques et spirituelles leur permettent de remporter le gros lot à la fête foraine ou d'affronter le grand-huit en toute quiétude. Entre deux attractions, Jésus et Bouddha vont faire du shopping. Jésus ne résiste pas aux attraits des boutiques et vide son porte-monnaie sans compter. Lorsqu'il ne reste plus rien dans le frigo, Bouddha lui propose de rendre comestible le plat de pierres qu'il lui présente…



Le mythe tombe en miettes. Jésus et Bouddha ont très bien réussi à s'adapter au monde des années 2000 et s'avèrent aussi futiles et dispersés que leurs semblables. C'est bien la peine de vivre aussi longtemps pour rester aussi con.
Le choix est clairement assumé d'exploiter deux figures sacrées pour les transposer dans le milieu trivial du Japon consumériste. le ressort comique de l'histoire tient entièrement au décalage ainsi produit, et génère en effet quelques situations truculentes, mais pas de quoi en défriser Bouddha. Surtout, le rythme s'épuise rapidement. Les scénettes s'enchaînent mais ne suivent pas de fil conducteur spécifique. Jésus et Bouddha sont livrés à eux-mêmes, dans un quotidien vidé de toute signification. Sur un tome, la matière à explorer est suffisante. Elle pourrait même suffire à combler un deuxième tome. Mais lorsqu'on sait que cette série en comporte sept au total, on a un peu du mal à imaginer comment les gags vont pouvoir se renouveler. Peut-être Johnny Deep finira-t-il par retrouver Jésus pour lui casser la gueule et de lui demander de retourner gentiment dans son ciel ?


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Pour se récompenser de leur dur labeur et de leurs taches brillamment accomplies, Jésus et Bouddha décident de se louer un appartement sur Terre pour enfin profiter des joies de leur création.

Mouais.... L'idée était sympa, mais malgré quelques clins d'oeil bien trouvés et quelques touches d'humour notables, le traitement de fond de ce manga est trop "jeune" pour moi. Un tel sujet aurait pu être bien plus poussé, alors qu'ici on se contente d'un scénario un peu palot dans le style des premiers films de Jim Carrey... mouais, trop light pour moi.

De ce fait il est très peu probable que je lise la suite : tant d'autres sériées de qualité m'attendent !

Le retour de Jésus et Bouddha sur terre, voilà un titre qui ne pouvait que me plaire. Que pouvaient-ils venir y faire ? Comment allaient-ils réagir dans notre monde ? Voilà qui me faisait rêver d'un petit paradis dans l'univers des mangas, d'autant plus qu'il était cité comme best-seller au Japon.
Alors là, rien de tout cela, je n'irai pas jusqu'à dire que je me suis retrouvée en enfer mais ma lecture ne fut pas loin du purgatoire.
Le fouillis des dessins, les clichés religieux, le manque de provocations renouvelées la transformèrent en un chemin de croix où la délivrance du Golgotha fut une joie infinie : l'abandon du livre.
J'insiste -Mon père, pourquoi m'avez-vous abandonné et rien n'est permanent- je fus la mécréante, j'en tiens seule la responsabilité.

J'absous Babélio et la maison d'éditions.

Ce manga ne me laissera pas un souvenir impérissable.
L'idée de départ est originale et promettait une histoire drôle et percutante.
Il n'en est rien, car même si je reconnais que la lecture a été fluide je n'ai à peine souri que deux ou trois fois.
L'humour est assez particulier et pas très fin.
Les deux personnages ne sont quant à eux pas très expressifs et guère attachants.
Le dessin n'a lui rien d'extraordinaire.
Un flop pour moi...

Après 2000 ans de bons et loyaux services, Jésus et Bouddha (si, si ils sont devenus copains) décident de prendre des vacances bien méritées.
Ils louent donc un appartement à Tokyo (Jésus vivant à Tokyo pourquoi pas).
Ce manga m'a souvent fait sourire avec ses allusions et ses légères critiques sur la religion. Mais je ne peut pas dire non plus que j'ai franchement rit.
Dans ce 1er tome, on a plutôt affaire à des petit sketch sans réel fil conducteur. On peut donc voir Jésus et Bouddha à la piscine, prennent le train, vont à la fête foraine (j'ai l'impression de parler des Martine de ma fille, là), Jésus est pris pour un fils de Yakuza, Bouddha aime les manga parlant de lui même (celui de Tezuka).
Pour moi, ce manga ne restera pas dans les annales pour le moment, j'attends de lire le 2e tome pour voir si mon opinion changera.

Curieuse du concept depuis un moment, j'étais ravie de commencer ce manga qui semblait drôle et original.

Original, il l'est.
Jésus et Bouddha en colocation sur Terre pour des vacances, c'est plutôt judicieux et peut amener des situations cocasses.

C'est là que pour moi, ça ne suit plus.
L'humour.
L'effet "kiss cool" n'a pas eu lieu et à part quelques haussements de lèvres qui de loin, en fermant un oeil pouvaient presque penser à un sourire, on ne peut pas dire que j'ai eu une lecture très animées pour mes zygomatiques.

Un RDV raté. Dommage.

Je me réjouissais de lire ce titre un peu insolent en pensant que cela allait donner quelque chose de bien. Or, je me suis trompé. C'est une petite déception liée au fait que cela ne m'a pas tant amusé que cela. Je reconnais tout de même qu'il y a des échanges qui font sourire entre les deux personnages sacrés.

Cependant, je n'aime pas cette façon de démythifier la religion. Bouddha et Jésus semblent totalement immatures face à la société moderne. On apprendra que Johnny Depp ressemble à Jésus mais on le savait déjà. Quant à la critique acerbe de la société, je ne crois pas qu'on avait besoin d'eux. Après tout, notre société se base bien sur des concepts liés à la religion...

J'avais pourtant beaucoup apprécié le Voyage des Pères. La lecture m'a semblé assez ennuyeuse sur l'ensemble tant les situations se répètent sur le même mode. Trop loufoque et déjanté, ce titre ne passe pas l'univers ultra codé du manga. On dirait Laurel et Hardy ! Or, il est question de religion dans ce qu'il y a de plus sacré. Je me demande pourquoi les auteurs n'ont pas rajouté Mahomet...

Cela fait un moment maintenant que j'ai lu ce manga, mais je me rappelle m'être vraiment ennuyé en le lisant. le concept été sympa, c'est d'ailleurs ce qui m'avait donné envie de le lire ! En effet, Jésus et Bouddha, en on marre du ciel et décide de prendre des vacances sur terre. Malheureusement, pour moi je ne l'ai pas trouvé bien exploité. de plus, je dois reconnaître que les touches d'humour ne m'ont absolument pas fait rire. (Ni sourire...)
Non vraiment, je ne pense pas lire la suite.

Un manga sympa. Quelque très bonnes vannes mais la plupart du temps c'est assez fade. On discerne trés bien les tentatives d'humour sans que cela soit vraiment drôle. Vu l'originalité de l'idée, je m'attendais a quelque chose de plus.. plus... Bref je suis un peu déçue, même si le manga reste divertissant.

Après près de 2000 ans de bonnes actions au service de l'humanité, Jésus-Christ et Bouddha décident de prendre des vacances ensemble, en colocation dans un petit appartement de Tokyo.

Le "pitch" est évidemment très alléchant mais je n'ai finalement pas tellement accroché à ce manga pourtant drôle... Deux raisons probables à cela : je ne suis pas très fan de mangas et sans doute m'a-t-il manqué quelques références religieuses. Bref, je suis passée à côté.