C’est consterné par le fait que de nombreux chrétiens sont plus enclins à la peur qu’à la foi que l'auteur entreprend d’expliquer la foi par ce qu’elle n’est pas, par son contraire que beaucoup connaissent, la peur. Car Il est vrai qu’on rejette plus facilement ce qu’on ignore, plutôt que ce qu’on connaît. Celui qui renonce à une vie de peur embrassera mieux une vie de foi. Car les deux, la peur et la foi, ne peuvent coexister pacifiquement dans le cœur de l’homme. ... >Voir plus