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Critique de Henri-l-oiseleur


Ce second volume de la réédition des Oeuvres compètes de Nietzsche selon les premières traductions françaises qui en furent données, répond à 8ux mêmes critères que le premier. On ne trouvera pas le recueil posthume "La Volonté de Puissance", qui, aux dires des auteurs, est un composé de textes conçu par des héritiers peu honnêtes du philosophe, désireux de le tirer du côté de ce qu'il haïssait le plus, le nationalisme raciste allemand, et son imbécile antisémitisme, sorte de jalousie et de ressentiment messianiques bien éloignés de tout ce que l'auteur a jamais valorisé. Ce second volume contient de grands textes qui le rendent peut-être plus précieux que le premier : le Gai savoir, Ainsi parlait Zarathoustra, Par-delà le bien et le mal, La généalogie de la Morale, Ecce Homo et les écrits sur Wagner. Si le premier volume se terminait par une postface éclairante sur les rapports de Nietzsche avec la civilisation française, le second se conclut
par une étude de Georges Liébert sur Nietzsche et la musique, sujet tellement important qu'il faudrait peut-être commencer la lecture par là. Enfin, l'index des noms et des notions est un instrument indispensable pour la lecture et l'étude.
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