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Critiques filtrées sur 1 étoiles  
Voilà...Je suis un homme est un livre que je vais vite oublier....
Il est lourd...lourd de sexe bestial , lourd ...
Prix au hasard dans ma librairie ,lu en une journée et 2 siestes ...en me disant tu vas peut-être découvrir quelque chose à la fin qui va te touché...
Mais non , pour moi ça n'a pas prit...
Alexis ....le personnage principale du livre m'a donné envie de lui mettre des gifles tellement tout tournée autour de sa verge...!!!
Et Zoé et Delphine.....n'en parlons pas.....!!!
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Sans détour, je vais vous dire que je suis allé au bout du roman, parce que c'est facile à lire, et que c'est n'est pas long, donc vite lu.
Pour le reste, la vie d'Alexis Leriche, notre héros ou plutôt le héros de l'auteur n'a pas de quoi nous tenir en haleine très longtemps. On nous raconte le parcours de sa vie, ses amis, ses amies, celles qu'il fantasme, celle avec qui il fait sa vie: En clair, Antoine, son ami d'enfance, fidèle, Delphine, qui a failli se suicider à cause de lui dans sa jeunesse, mais qui continue à alimenter ses rêves quotidiens, et Zoé, son épouse par défaut.
Tout dans ce livre n'est qu'une suite inutile de tranches de vie, très souvent ponctuées d'états d'âmes situés largement sous la ceinture. Si c'est marrant une fois, la répétition est lassante.
Voilà, un coup d'épée dans l'eau, un raté, mais rassurez-vous, il ne m'a jamais été conseillé par un lecteur du site, je l'ai pris au hasard de mes déambulations, ça m'apprendra.
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Il est très difficile d'apprécier un livre dans lequel il est impossible de s'identifier à un des protagonistes. Et plus encore si le narrateur et personnage principal est un froid manipulateur cynique désabusé.

Bon, c'est pas mauvais ou mal écrit, non. Mais il ne se passe pas grand chose et j'ai déjà oublié la moitié.

Et il est beau! Bof.
Lien : http://noid.ch/je-suis-un-ho..
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La Feuille Volante n° 1368 – Juillet 2019.

Je suis un hommeMarie Nimier – Gallimard.

Dès la première ligne, Marie Nimier y va de son aphorisme « L'enfance n'existe pas » qu'elle met dans la bouche d'Alexis qui va, à la première personne, dérouler son histoire. Nombre d'écrivains se sont penchés sur cette période de la vie des hommes et en ont tiré des conclusions forcément différentes, mais peu importe. Alexis est un peu la honte de cette famille désarticulée par la fuite du père. le garçon qui est l'aîné des deux fils de ce couple va grandir dans l'ombre des femmes, de sa mère d'abord puis ensuite des différentes filles qu'il va croiser et dont il va admirer la beauté mais surtout la faculté qu'elles ont de jouir plusieurs fois, ce dont il n'est pas capable. de là à en faire un jeune homme insatisfait il n'y a qu'un pas que notre auteure franchit allégrement. Revenons à Alexis, il est beau et se croit irrésistible. Il fantasme beaucoup sur Delphine, une fille rencontrée au lycée et qu'il retrouve quelques années après, fonde avec elle une entreprise à la limite de l'escroquerie, couche et se marie avec une autre fille, Zoe, tout en pensant à celle qu'il ne peut atteindre et surtout posséder. le lecteur, à travers les différentes tranches de vie du personnage principal de ce roman, ne tarde pas à s'apercevoir que cet Alexis n'est pas autre chose qu'un sale type obsédé par le sexe, dans la peau de qui Marie Nimier tente de se glisser en détaillant à l'envi, dans un catalogue érotique, la façon dont ce jeune homme s'y prend pour jouir et faire jouir ses partenaires et ce malgré le contraste initié dans ce roman dans le personne de Zoé comparée à « La jeune fille à la perle » de Vermeer et le fait qu'elle tient un journal intime. Cet Alex ne parvient même pas à être sympathique à la fin, malgré les circonstances, lui pour qui « être un homme » se traduisait uniquement en baisant et qui maintenant prend conscience que sa fragilité fait aussi partie de la condition humaine.

La littérature érotique, voire pornographique a sûrement ses adeptes et je respecte à la fois ceux qui l'écrivent et ceux qui la lisent, mais ce n'est pas vraiment ma tasse de thé. J'admets que, pour un écrivain, faire dans ce « registre » est vendeur mais s'y livrer avec la complicité avec un grand éditeur ne me paraît pas très sérieux. J'en déduis que, comme beaucoup d'autres, Marie Nimier est un écrivain capable du pire comme du meilleur et, le livre refermé, mais cependant lu jusqu'à la fin, je n'ai pas vraiment eu l'impression d'avoir lu le meilleur, en me demandant ce qu'il reste de mon appétence à poursuivre plus avant son univers créatif

Le hasard, encore lui, m'a fait croiser sur les rayonnages de la bibliothèque « les confidences ». J'avais été séduit par l'originalité de ce récit et j'avais eu envie d'explorer un peu plus avant sa bibliographie. Avec ce roman, notre auteure change complètement de registre, avec un style quelque peu désagréable et qui tranche largement sur celui que j'avais apprécié auparavant. C'est son droit mais c'est dommage et j'en suis déçu.

©Hervé Gautier.http:// hervegautier.e-monsite.com


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Pour l'acquisition de ce livre, c'est ma curiosité qui a parlée…et comme le disais ma grand-mère « la curiosité est un vilain défaut nom dijû ! » Désoler mamie…
Ce roman s'inscrit dans la plus pure tradition française…
Je m'explique, il y a du style, mais l'intrigue tourne en queue de cerise !
On suit les pensées D Alexis, un jeune homme mal dans sa peau. Mettant ses réactions trop excessives sur le compte de son hyperacousie aigue (pathologie qui fait que l'ouïe est trop fine). Ce type est une brute épaisse, totalement imbuvable, le genre de personnes antipathique que l'on déteste.
Alexis croit que tout lui est dû, le pouvoir etc… Aussi, quand il souhaite revoir l'une de ses anciennes camarades de lycée, c'est tout naturellement qu'il se l'imagine devenir sa compagne et tout ce qu'il s'en suit.
Le pire, c'est que ça se réalise !
C'est ce que je ne supporte pas dans ce livre, si seulement il se faisait remettre à place…
Au final, ce livre ne m'aura apporté que des frustrations.
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