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3,7

sur 406 notes
Un coup de coeur !
On suit dans ce roman Chien du Heaume, femme mercenaire, dans la recherche de son nom. Cette quête se déroule dans une fin de moyen-âge, dans un monde au bord d'une nouvelle ère.
J'ai beaucoup aimé l'ambiance de ce livre, brumeuse et mélancolique. L'autrice crée une atmosphère très particulière, avec des touches de fantasy très ténues, presque oniriques. On est à la frontière du réel, dans un monde de contes et de légendes. L'intrigue est assez simple, le gros point fort de ce récit est l'écriture de personnages. Ils sont très attachants, avec leurs craintes, leurs questionnements, leurs solitudes.
Un bon roman qui ne tombe pas dans les clichés qu'on peut parfois retrouver dans les livres sur cette époque, sans manichéisme, avec en petit plus un glossaire très amusant à la fin, qui casse complètement le ton sérieux de l'oeuvre et qui rend l'autrice très sympathique !
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Chien du Heaume est le surnom donnée à une femme qui ne connait ni son nom ni son passé à part quelques bribes de souvenirs.
Chien du heaume est une guerrière, elle sait se battre et se faire respecter ce qui est assez peu commun à l'époque où se situe le roman ( au alentour du moyen age).

Chien du Heaume veut connaitre son nom et pour cela , elle a sa hache, précieux souvenir de son père.
Elle fera la rencontre du chevalier Sanglier puis de plusieurs personnages aussi différents et hors du commun les uns des autres.

C'est un livre très plaisant à lire, le theme est original.
Il est bien écrit, l'écriture est fluide .

Je recommande
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C'était il y a longtemps, mais j'en garde un souvenir marquant.
Ce livre, c'est la confirmation de mon attachement (alors inconnu) à la Fantasy (et aux femmes, disons-le). Lu tout de suite après les magistraux Gagner la Guerre et Janua Vera. Bref, un vrai petit moment de bonheur.
Cette quête du nom, déguisée mais pas trop, est absolument géniale.
Il n'y a de laideur chez Chien que ce qu'on en dit. Sinon, avec son visage ravagé, son corps déglingué, et sa folie délirante, qui sourde encore mais on sent bien l'éruption propre, elle est tout simplement magnifique.
Je lis sa suite, en ce moment, Mordre le Bouclier. C'est à ça qu'on reconnaît les belles et bonnes histoires. Il y a quoi, quelques années entre ces deux lectures ? À la première évocation des mains de Chien, j'étais déjà de retour à la cascade gelée.
Non, mais des fois, il y a des miracles.
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Curieuse, curieuse lecture que voilà.
Le quatrième de couverture est original, de même que le choix du personnage principal : une femme mercenaire, en plein coeur du moyen-âge, au moment de la montée en puissance du christianisme.
J'ai lu ici ou là que ce roman était à classer dans la "fantasy"... Mais je ne suis pas d'accord. C'est un roman d'aventure médiéval, ni plus ni moins, rien de fantastique ou de féerique là-dedans. Tout au plus quelques choix/avis/opinions un peu anachroniques dans notre vrai moyen-âge à nous (tel qu'on le connaît pour le moment ne tout cas), comme justement l'incarne Chien du heaume, l'héroïne du roman, mercenaire de son état qui casse des gueules et étripe sans scrupules.

Après un premier chapitre (/prologue) intrigant qui nous met dans l'ambiance directement, et nous fait apprécier la principale protagoniste, on se retrouve ensuite dans un roman d'ambiance, car tout y est plutôt mou et lent. La quête de Chien du heaume pour retrouver son vrai nom, son passé, patine sévère, s'enlise, s'arrête même par moment, alors que c'est la clef de voûte de l'intrigue, du coup on se demande parfois ce qu'on lit et pourquoi il y a des ellipses pareilles, peu (ou mal) justifiées.
Il y a quelques personnages secondaires sympathiques (Bruec, Rehedir), un environnement plutôt agréable (ah, le castel de broe est vraiment cool ^^), des considérations psychologiques vraiment anachroniques (qui n'a jamais entendu parler des soldats médiévaux dont la sensibilité était à fleur de peau...?? ^^')

Le plus gênant finalement, c'est que cette histoire se veut une quête/une enquête, mais passé les premiers chapitres où quelques infos sont glanées sur le passé de Chien du heaume, on se retrouve dans une description du quotidien au château, et parfois c'est long (pourtant le roman est court : un poil plus de 200 pages version pocket), d'autres fois c'est très long (l'histoire de Bréhyr ? Sans queue ni tête et qui s'étale sur des pages du plus long chapitre du livre...).
Globalement une histoire ambitieuse, mais qui n'est pas à la hauteur de ses promesses. Il y avait de quoi faire une nouvelle rythmée, ou alors il aurait fallu remplumer l'ensemble pour lui donner plus de consistance pour un roman qui tienne la route.
Je ne m'étendrais même pas sur le dénouement (décevant) qui arrive tout cuit comme un cheveu sur la soupe. Final en queue de poisson en plus. Je n'en dirai pas trop plus pour ne pas vous spoiler, mais bon... On sent venir l'embrouille depuis quelques chapitres quand on en arrive à ce niveau du roman.

Finalement après un début emballant, l'histoire tombe rapidement à plat, et c'est dommage. L'auteur (/autrice) a du talent pour poser une ambiance, et même si quelques scènes d'action semblent exagérées (genre : "elle file un coup d'épaule à un mec, l'envoie se briser les côtes en s'aplatissant sur un mur"...). Je ne pense pas lire la suite, même si le personnage principal était prometteur...
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Une première scène très bien construite qui m'a projeté dans le roman. Une histoire remplies de contes et légendes qui fait planner une aura de mystères autour des personnages. Malheureusement ces mystères ne sont pas assez exploités à mon goût. On passe d'une intrigue à l'autre sans réelle cohérence.
La quête de départ n'est pas présente tout au long de ce livre et sert plutôt de fil rouge. le livre dans son ensemble manque d'unité : quelle est la véritable histoire racontée ici ? Les transitions entre chapitre laissent beaucoup (trop ?) de zones d'ombre, ce qui à tendance à casser le rythme et donne l'impression que certains chapitres sont sans réelle importance.
Un ensemble un peu confus malgré des passages entraînants. Il faut tout de même reconnaître que l'autrice a de véritables talents de conteuse. de plus elle porte un regard et tiens un discours critique sur la société (religion, richesse, pouvoir, place de la femme) que j'ai beaucoup apprécié.
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Ma plus belle découverte de ce début d'année ! Il y avait longtemps qu'un roman ne m'avait pas paru aussi cohérent dans son univers, sa langue et son rythme. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre en l'ouvrant et je me retrouvée complètement immergée dedans, justement parce que je trouve qu'à aucun moment il ne sonne faux. J'ai eu le sentiment de me plonger dans une oeuvre très maîtrisée et d'une grande qualité. Chien du heaume file tout de suite dans les titres qui me donnent envie de me remettre à écrire, à chercher, à expérimenter et à travailler ma propre écriture. Les romans ne me font pas tous ce genre de cadeaux et je suis vraiment reconnaissante pour celui-là.
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Chien du Heaume est le premier roman de Justine Niogret. Il a été publié en 2010 aux éditions Mnémos et a reçu la même année le Grand Prix de l'Imaginaire délivré dans le cadre du festival Étonnants Voyageurs. Dans ce court roman de fantasy assez réaliste, l'autrice nous fait vivre la quête de son héroïne, nommée Chien du Heaume, partie à la recherche de son véritable nom et de son identité, armée de sa hache et de sa témérité. Malgré quelques défauts mineurs, Justine Niogret réussit son coup d'essai avec un très bon premier roman.

Le premier point fort de ce roman est son style littéraire et la qualité de son écriture : Chien de Heaume est sacrément bien écrit, dans un style un peu « moyenâgeux ». le vocabulaire est riche et précis (j'ai apprécié le lexique en fin de livre, d'ailleurs), les phrases sont travaillées et percutantes… je dirais qu'il n'y a pas de « gras » littéraire. Presque tous les mots, toutes les phrases semblent minutieusement pensées pour servir le récit. Cela donne un texte dense, précis, qui va à l'essentiel, et offre ainsi une expérience de lecture très marquante. Dès les premières pages, on est immergé dans l'action avec un prologue qui introduit parfaitement bien le personnage principal. Très rapidement, j'ai été marqué par les tournures de phrases élégantes et ayant un fort impact sur le lecteur.

L'ambiance du roman est particulièrement réussie. On est à l'aube d'un changement civilisationnelle et une certaine mélancolie plane sur tout le roman, comme une impuissance face aux bouleversements du monde. Les saisons ont un véritable impact sur le cheminement des personnages, notamment l'hiver qui est décrit comme une saison morte, figée par le froid et la neige : dès que les routes commencent à geler, tout le monde se calfeutre chez soi, on ferme les portes, les fenêtres, on bouche les trous et les fissures et on se blottit les uns contre les autres près de la cheminée en attendant que le printemps revienne. le monde dans lequel évolue Chien du Heaume est froid et brutal, on y naît et on y meurt aussi vite, sans fioritures, de froid ou de faim, d'un coup de sang d'un homme armé ou d'un malentendu… Mais la vie est également très présente avec des personnages profondément humains et ces petits moments plein de chaleur, de solidarité, de partage. Ainsi, l'univers apparaît tantôt sombre et pessimiste, tantôt gai et paisible. Bref, c'est à l'image de la vie.

Parmi les quelques défauts que l'on peut relever, je dirais que la trame narrative se perd un peu au fil du roman et la quête principale de Chien du Heaume (retrouver son nom et son identité) finit par passer au second plan. Cela ne m'a pas tant frustré que cela car j'ai été véritablement pris par les aventures de la mercenaire, au fil des rencontres qu'elle fait et des combats qu'elle mène. Sa vie devient finalement la véritable trame narrative, au-delà de ce qu'elle pense être sa véritable quête.

Certains passages m'ont fait penser à la saga du Witcher, en particulier le premier recueil de nouvelles où Géralt de Riv vend ses services comme tueur de monstres. Un chapitre en particulier est emprunt de cette ambiance de chasse où Chien du Heaume traque un « monstre » qui terrorise les paysans locaux. le traitement de cette histoire et son dénouement est typique de l'univers du Witcher. Sans rien révéler de l'histoire, il y a aussi la Salamandre et cette légende qui mentionnent des sortes de chevaux, les Kelpies (nom donné par Ciri à son cheval), qui fait penser à la Horde Sauvage.

Et pour finir, le « bonus » est un petit bijou : Justine Niogret nous offre un lexique complètement barré, à dix milles lieux du style du roman et qui m'a fait franchement rire. le changement de style est tellement radical qu'on a du mal à imaginer comment l'autrice a pu nous servir un roman aussi sérieux, sombre et froid. Elle l'écrit elle-même : "Dans la vie, comme le savent mon armée de psys et mes contrôleurs judiciaires, je suis drôle. […] J'ai dû me briser les doigts les uns après les autres pour tenir le sérieux du livre que vous venez de lire (ou que vous vous apprêtez à acheter, voire à chiper comme un petit gredin)."

C'est donc un beau roman que je recommande. Et pour celles et ceux qui en veulent plus, Justice Niogret nous gratifie d'une suite avec Mordre le bouclier, sorti en 2011, que je lirai sans aucun doute très prochainement.
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Chien du Heaume, c'est un petit roman des éditions Mnémos qui ne paie pas de mine et qui, de tête, n'est plus édité en version papier. Il faudra donc vous tourner vers l'occas' pour vous le procurer, et l'avantage c'est que ce sera d'office à prix hyyyyyyper raisonnable – et ça, on aime ! Mais ce qu'on aime encore plus c'est son héroïne franchement bad-ass, jamais en manque d'insultes fleuries ni de coups de hache testostéronés ! Chien du Heaume, car c'est ainsi qu'on appelle cette donzelle taille XL en cotte de mailles, remonte la piste de son géniteur en quête de son nom à elle et adore au passage mouliner de la hache. Au pilori les héroïnes taille mannequin dans la fleur de l'âge, Chien ramène son vieux cuir et vient pour tout dépoter. Malgré son caractère bourru et sa brutalité décomplexée, promis, on s'attache… et on n'est d'ailleurs pas les seuls puisque passé leur rencontre, le Seigneur Sanglier ne s'en séparera plus.

Sur la piste de feu son paternel donc, Chien passe pas mal de patelins, se fritte avec pas mal de gueux et de Seigneurs, mais se fout surtout à dos une Dame tout juste sortie de l'enfance à qui on aura envie d'arracher la tête plus d'une fois. Sa quête sera également l'occasion de croiser au clair de la lune une petite troupe de chevaliers fantastiques, et si j'ai apprécié la mysticité qui s'en dégageait (z'avez vu, j'ai placé un mot pas commun), j'ai finalement trouvé qu'on s‘éloignait pas mal du sujet principal, à savoir la quête de ce foutu nom. le roman piétine pendant environ quatre-vingts pages, et à ce moment le temps m'a paru un peu long

Entre les faits d'armes et les ripailles au coin du feu d'un donjon bien humide, le roman creuse toutefois la question identitaire avec une finesse inattendue : est-on vraiment quelqu'un quand on n'a pas de nom ? Les trognes les plus bourrues sortent de belles réflexions et ce contraste est très agréable à se mettre sous la dent. le moment passé en la compagnie de Chien et du Seigneur Sanglier est bref (on parle de deux cent pages à peu près), mais suffisamment long pour ne pas rester sur sa faim. le roman dépeint sans concessions une époque âpre où il ne faisait pas bon vivre, on se prend toute cette crasse en pleine gueule et j'ai beaucoup apprécié ça. On n'attendra pas ici une aventure exceptionnelle ni une grande quête héroïque, mais on kiffera l'atmosphère lourde et crasseuse qui se dégage de cette tranche de la vie de Chien.
Lien : https://la-choupaille-lit.bl..
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C'était une lecture incroyable. Je n'ai qu'un seul regret : ne pas l'avoir lu plus tôt.

Chien du Heaume est une guerrière au caractère bien trempé. Elle ne se souvient ni de son passé, ni de son nom. Elle part donc à la recherche de son nom avec pour seul indice le souvenir de son père, un homme gagné par la folie, ainsi que la hache magnifiquement forgée qu'elle a hérité de lui. En remontant la trace des exploits de son père, elle rencontre Bruec, le chevalier du Sanglier et maître du château de Broe qui l'invite à passer l'hiver dans son castel.
À partir de là, la vie de la guerrière change, les relations qu'elle tissent avec bon nombre de personnages la transforment, mais une constante reste : c'est une guerrière impitoyable.

C'est l'un des traits de caractère les plus impressionnants de l'héroïne, mais c'est loin d'être le seul. Elle se montre directe et son franc-parler m'a beaucoup plu. Ses paroles sonnaient juste à mon oreille, au même titre que celles de Bruec.
J'ai adoré chacun des personnages pour leur compagnie, le charme qu'ils ajoutent au récit, mais aussi pour d'autres raisons qui leur sont propres : la rudesse de Regehir, la sérénité de Iynge, la monstruosité qui se tapit au sein de l'enfançonne Noalle, la force de Chien, l'esprit torturé de Bruec, etc.

D'ailleurs, par moment, ce roman est dur… autant que l'est l'hiver qui frappe le château des brumes. Certaines scènes sont gores, impressionnantes dans les combats…. elles m'ont coupé le souffle tant ça m'a pris aux tripes, et ce, dès le prologue où l'affrontement entre Chien et Manfred donne le ton.
La plume de l'auteur est agréable et fluide. Un ton soutenu sans l'être trop. J'ai adoré au point où j'ai même relu certains paragraphes qui m'avaient plu.

Cette lecture est un coup de coeur. À peine terminé, j'étais prête à relire ce roman. La fin m'a laissée un peu sur ma faim… mais heureusement, en écrivant cette chronique, j'ai découvert l'existence d'une suite… trop bien ! Une chose est sûre, je vais me le prendre courant du mois et le lire dans la foulée.
Lien : https://psylook.kimengumi.fr..
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Justine Niogret, je la lis, de façon plus ou moins régulière, comme une substantifique moelle de la littérature. Quand j'en ai assez des bouquins pareils que le précédent, sans style, sans grand-chose dedans, je me fais un « Niogret ». Ou un Lapertot, sauf que Lapertot, j'ai tout lu et que j'attends le prochain. Parfois, je me fais un Misha Halden, mais c'est pareil, j'attends le prochain. Il est bien évident que je pourrais te dire la même chose de Dewdney, ou de Chevalier, ou de Bouysse ou de plein d'autres, mais j'ai dû choisir pour ne pas y passer ma chronique.
J'ai donc décidé de me faire une petite balade dans le haut Moyen Âge revisité par Mâame Niogret.
Elle s'appelle « Chien du Heaume » la fille dont il est question dans ce roman. C'est pas un nom facile à porter, ne nous mentons pas. le truc, c'est qu'elle ne sait pas quel est son vrai nom, alors elle le quête.
Ça veut dire que sa quête est le moteur de son chemin pour aller vers qui elle est pour de vrai. Elle porte une hache. La Hache. Celle qui lui sert à être.
Un point important. La fille qui s'appelle Chien, elle a tué son père. Tu te souviens du Varan ? Réfléchis.
Plusieurs personnages dans ce roman, plusieurs vies qui se croisent.
Celle du Chevalier Sanglier, tellement attachant dans son inhumanité apparente, mais tellement proche de ceux qu'il aime, la vie de Regehir, celle de Lynge et de la Salamandre. Quoique La Salamandre ressemble tellement à ces chevaliers qui hantaient les cauchemars de mes nuits de môme bercées par les voyages du Hobbit…
Des vies et des morts comme celles qui existaient sans doute à cette époque où les mecs attendaient une neuvaine pour oser embrasser la gonzesse qui leur plaisait. Une neuvaine, t'imagine ? En même temps, tu avais intérêt à être sûr de toi quand tu lui proposais les épousailles.
En plus, la fille qui s'appelle Chien, elle est moche, petite, et de mauvais poil tant qu'elle a pas trempé sa hache dans les tripes de ses congénères. Les seuls mecs qu'elle côtoie sont les mercenaires qui la respectent pour ce qu'elle est, à savoir, la meilleure d'entre eux. Loin de l'image de la Belle au Bois, dormant ou pas, loin de ces princesses qu'on te décrit comme ces top-modélisations avec les formes parfaites et le cerveau qui va avec. Tu te souviens d'Hélène de Troie dans le film éponyme ?
Ben c'est pas elle.
La suite : https://leslivresdelie.net/chien-du-heaume-justine-niogret-2/
Lien : https://leslivresdelie.net/c..
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