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Critique de Ptitelilie
Grande fan de la plume d'Olivier Norek, j'ai commencé par lire ses romans "Surface" et "Entre deux mondes". J'avais ensuite découvert, et aimé, "Code 93" mais il m'avait manqué un petit quelque chose. En attaquant celui-ci, j'étais très curieuse. En le refermant, je suis sur les fesses !
Nous retrouvons ici l'équipe du Capitain Coste. Ils sont confrontés à une situation inédite : quelqu'un s'en prend à tous les gros caïds de Malceny. Entre règlements de compte, arrangements politiques et faux semblants, que vont découvrir Coste et ses hommes ?
Ce roman nous plonge en plein coeur des banlieues, et plus précisément dans les cités qui les composent. Habituées à être sous le feu des projecteurs, surtout quand la tension monte, elles sont décrites par l'auteur avec une justesse désarmante. Mis de côté, stigmatisés, les quartiers défavorisés sont les enfants pauvres du pays. Pointés du doigt dès que ça ne va pas, on laisse les situations s'envenimer sans chercher à comprendre ce qui s'y passe. Olivier Norek met également en lumière les manoeuvres politiques qui sont mises en oeuvre par certains dirigeants, qui font des choix en pensant à eux, plutôt que de penser à leurs administrés.
Comme souvent avec M.Norek, ce qui fait froid dans le dos, c'est de se rendre compte que ce roman est criant de vérité et toujours d'actualité. Tout ce qui est décrit pourrait se passer et cela amène le lecteur à se pencher sur les choix qui peuvent être fait. Ce roman ne peut pas laisser indifférent et nous oblige à avoir un nouvel oeil sur tout ce qui se passe. Les médias, la police, les politiques, tout ce petit monde interagit et a un rôle à jouer dans notre pays. Grâce au Capitaine Coste, on découvre l'envers du décor, et ça fait froid dans le dos !
Lien : https://ptiteliliebouquine.b..
Nous retrouvons ici l'équipe du Capitain Coste. Ils sont confrontés à une situation inédite : quelqu'un s'en prend à tous les gros caïds de Malceny. Entre règlements de compte, arrangements politiques et faux semblants, que vont découvrir Coste et ses hommes ?
Ce roman nous plonge en plein coeur des banlieues, et plus précisément dans les cités qui les composent. Habituées à être sous le feu des projecteurs, surtout quand la tension monte, elles sont décrites par l'auteur avec une justesse désarmante. Mis de côté, stigmatisés, les quartiers défavorisés sont les enfants pauvres du pays. Pointés du doigt dès que ça ne va pas, on laisse les situations s'envenimer sans chercher à comprendre ce qui s'y passe. Olivier Norek met également en lumière les manoeuvres politiques qui sont mises en oeuvre par certains dirigeants, qui font des choix en pensant à eux, plutôt que de penser à leurs administrés.
Comme souvent avec M.Norek, ce qui fait froid dans le dos, c'est de se rendre compte que ce roman est criant de vérité et toujours d'actualité. Tout ce qui est décrit pourrait se passer et cela amène le lecteur à se pencher sur les choix qui peuvent être fait. Ce roman ne peut pas laisser indifférent et nous oblige à avoir un nouvel oeil sur tout ce qui se passe. Les médias, la police, les politiques, tout ce petit monde interagit et a un rôle à jouer dans notre pays. Grâce au Capitaine Coste, on découvre l'envers du décor, et ça fait froid dans le dos !
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