Citations sur Ces petits riens qui nous animent... (55)
Qui me trompe une fois, honte à lui. Qui me trompe deux fois, honte à moi !
Tu as eu ton lot de peines, de peurs, de doutes, de déceptions et de douleurs.
Mais n'oublie pas les moments de joie, de fierté, de bien-être et d'espoirs.
Nos nuits éveillées, nos moments de solitude sont remplis de tout cela.
De toutes ces petites choses qui font la vie.
Ces petits riens qui nous animent.
Finalement, l'amour, c'est formidable tant qu'on n'y croit pas trop.
On fait ce qu'on peut, et on n'a jamais prétendu qu'on était Colombo ! Est-ce que tu as d'autres infos, je ne sais pas, moi : où elle est née, sa date de naissance... ?
J'aurais largement préféré être alcoolique ! Parce que ça au moins, c'est une maladie reconnue ! On vous bichonne, on vous inscrit aux Alcooliques anonymes en vous donnant des pions en guise d'images pour vous récompenser sur la durée... Mais avoir peur des microbes, ça vous range dans la catégorie des hystériques, des fous quoi... Il n'y a aucune considération de la part des gens.
Je perçois toutes les bactéries qui nous entourent comme des monstres dangereux, et j'use de stratégies très élaborées pour les anéantir. J'arrive en général à ne rien laisser paraître car mon arsenal spécial décontamination me suit partout : j'ai toujours du désinfectant sur moi. Jamais vous ne me verrez toucher un Caddie ou une porte de métro à mains nues.
Ce n'est pas un caprice, j'ai vraiment besoin de retrouver ma mère. J'imagine qu'elle me manque, mais je ne sais pas, puisque j'ai grandi sans mère, je ne peux pas savoir ce que c'est... C'est surtout par rapport à mon père, en fait. Maintenant, je suis assez grande pour comprendre que je suis un poids pour lui. Il est temps que la roue tourne. Il mène une vie de moine à cause de moi ! Il n'amène jamais de femme à la maison, refuse régulièrement des missions à l'étranger pour ne pas me laisser seule, sort rarement le soir pour m'aider à réviser... Il se prive d'être heureux, et ça depuis que je suis toute petite.
Le monde était décidément peuplé de gens dépourvus de bienveillance. Pourtant, ce type avait une tête de « gentil » – un regard d'une grande douceur et les joues potelées malgré une silhouette svelte. Le gilet sans manches qu'il portait boutonné et ses vêtements parfaitement repassés lui conféraient une certaine élégance. Quant à ses mocassins, ils devaient avoir été cirés durant des heures pour briller autant. Comme quoi l'habit ne faisait pas le moine.
Tu sais, il suffit de peu de monde autour de soi pour être heureux. Ce qui importe c'est de savoir sur qui l'on peut compter.
Avoir mis ces trois personnes sur son chemin précisément ce matin était peut-être un signe de ce fameux destin.