Ces petits riens qui nous animent...

- Je comprends ta déception, je comprends que cela te fasse mal. Mais tu ne reverras jamais ta mère, Charlie. Et il vaut mieux que tu acceptes cet état de fait. Je n'ai pas la moindre idée de ce qu'elle est devenue.
...
C'était certes douloureux mais évident : il lui mentait.

- Seize années de vie commune, ça signifie quelque chose , vous savez.
- Oui, probablement beaucoup d'habitudes, et sûrement encore beaucoup de souvenirs et de complicité. Mais pas forcément que vous vous aimez encore.

Alors, oui, vous savez maintenant que moi aussi j’ai appris qu’à tout instant la vie peut basculer. […]. Pourtant, je crois qu’il y a toujours un bonheur qui nous attend quelque part. Il faut juste ne pas se tromper dans les choix que l’on fait, dans les décisions que l’on prend …

Jésus, Marie, Joseph ! Regarde : Zara, Maje, Sandro...Nous vivons décidément dans un monde merveilleux !

Parce-que certaines portes doivent être fermées avant qu'on puisse en ouvrir de nouvelles...

- La vérité, c'est que j'ai l'impression d'être une vieille dame de soixante-quinze ans, expliqua-t-elle. Je ne vois plus bien ce qui me reste de féminité, tu comprends ? Alors m'imaginer sapée en minette de vingt-cinq ans...

Tu sais, il suffit de peu de monde autour de soi pour être heureux. Ce qui importe c'est de savoir sur qui l'on peut compter.

Avant cela aurait été trop tôt, et plus tard aurait été trop tard.

Perdre l'un de ses parents, n'était-ce pas un peu se perdre soi-même ? Ce serait à n'en pas douter son cas.

Il suffit de peu de monde autour de soi pour être heureux. Ce qui importe c'est de savoir sur qui l'on peut compter.