Hôtel Portofino

Grand Hôtel

Ce roman m'a rappelé la série "Grand Hôtel" une série télévisée espagnole que j'adore !

Nous voici en 1926, à Portofino dans un hôtel luxueux tenu par une famille anglaise, venue en Italie redonner un souffle à leurs existences perturbées par la première guerre mondiale.

Bella Ainsworth, la propriétaire navigue entre la gestion de l'hôtel, la satisfaction de ses clients exigeants, l'arrivée d'une future fiancée pour son fils Lucian, blessé de guerre, le management du personnel italien et anglais, la cohabitation avec sa fille, Alice, veuve de guerre, sa petite fille Lottie et la nounou (Constance)….

D'autant plus que les Chemises noires (un corps militaire de l'Italie fasciste) montent en puissance, n'apprécient l'arrivée de ces anglais et tentent de faire fermer l'hôtel.

En plus, le mari de Bella, Cecil, un homme sans scrupules, vole de l'argent et provoque une escroquerie avec un tableau…

Et je vous passe les histoires sentimentales…

Personnellement, j'ai trouvé que trop de personnages étaient impliqués dans trop d'histoires…

On passe de l'un à l'autre, sans transition et j'ai dû rédiger une fiche pour ne pas me perdre !

Dommage car l'idée de départ était assez alléchante, mais j'ai trouvé l'histoire très longue et alambiquée.

L'on sent le racisme, la montée du fascisme, alors que l'on danse le charleston, on écoute Django Reinhardt et que certaines femmes luttent pour leur indépendance.

Les personnages sont trop nombreux pour que l'on s'attache à eux, mais j'ai apprécié celui de Bella, une femme volontaire.

Une lecture en demi-teinte.

Une plaisante lecture qui n'a pas fait d'étincelles mais qui a su tenir ses promesses.
Ils étaient mignons, ces personnages faits de conventions, de traditions et ne jurant que par l'heure du thé / petit doigt en l'air / regarde moi comme elle s'habille celle-là ! Même pendant les vacances en Italie, on ne déroge pas à nos règles de vie.
Il est grisant, pour notre oeil moderne et acéré, de contempler de haut une époque pas si éloignée, et pourtant si lointaine. Et de comprendre que la critique si facilement dispensée de nos jours n'est qu'une tradition parmi d'autres, transmise de génération en génération.
Plus encore à l'Hôtel Portofino où le choc des cultures est prétexte à une agitation et un excès de ventilation.
Vient alors le choc des générations, tiraillées entre le désir de vivre et celui de prospérer, entre l'amour et le devoir, entre le passé et l'innovation.
.
C'est drôle, grinçant, inquiétant parfois, authentique.

Une vraie saga de l'été comme à la grande époque de la bataille TF1/M6 remplie de personnages plein de secrets et qui ont l'art de s'embourber dans des situations impossibles. le tout saupoudré de rebondissements de fin d'épisodes qui nous pousse à revenir la semaine d'après.

Pendant toute ma lecture une impression étrange m'a taraudé au niveau du style, des chapitres trop longs, la multiplicité des POV, les rebondissements qui finissaient par être trop clichés. Culminant avec cette fin trop rapide où j'ai eu l'impression d'être arnaqué (j'ai littéralement tourné la page en me disant que ÇA ne pouvait être la fin).
En cherchant une éventuelle suite j'ai découvert que c'était en fait la novellisation d'une série, les chapitres étant les épisodes et tout a pris sens.

Il y a un beau panel de personnages mais certains sont à peine esquissés ou trop caricaturés tandis que d'autres sont géniaux à l'instar de Claudine et c'est dommage car ils n'ont pas tous l'épaisseur qu'ils méritent.
Cependant c'est une lecture parfaite pour l'été, on pause son cerveau, on veut savoir les petits secrets de tout le monde et les descriptions sont superbes, on SENT l'Italie et sa chaleur.

Bref, agréable mais manque malgré tout d'une intrigue centrale solide. On apprécie mais on oublie vite comme un granité un jour de grande chaleur.

Portofino, 1926. Bella, britannique, décide d'ouvrir un hôtel de luxe sur la Riviera italienne, à Portofino.
Elle accueille ses premiers clients, et bien sûr tout ne se passe pas comme prévu.

J'ai trouvé que c'était le roman parfait pour commencer ses vacances : le cadre magnifique de Portofino, le quotidien d'un hôtel.

Une palette de personnages qui ont tous une particularité. Ca fait même beaucoup de personnes à retenir entre les clients, la famille de Bella, le personnel de l'hôtel, et quelques habitants de Portofino.

On suit donc le quotidien d'un hôtel avec beaucoup de péripéties : un vol de tableau, des violences conjugales, l'après-guerre, la montée du fascisme, la corruption, l'homosexualité.

On n'a pas le temps de s'ennuyer et pourtant, il m'a manqué un petit quelque chose pour accrocher. Trop de péripéties qui s'enchaînent. J'ai trouvé que c'était assez superficiel, sans réel profondeur. Je ne me suis pas attachée aux personnages.
Ce roman a été adapté en série et c'est pour moi le format idéal pour cette histoire très imagée.

1926, Portofino. Bella ouvre enfin les portes de son hôtel sur la Riviera italienne. Mais tout ne se passe pas comme prévu. Ses hôtes, habitués de la haute société anglaise, sont difficiles à satisfaire. Et Bella est la cible d'un politicien corrompu à l'ère de Mussolini. Elle doit également faire face à ses problèmes familiaux. Bref, cette première saison à l'hôtel Portofino ne sera pas de tout repos.
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
J'ai beaucoup aimé ce premier tome qui nous plonge dans l'histoire de la famille Ainsworth. J'avais très envie de déguster une bonne citronnade en écoutant les ragots des domestiques, des clients et des membres de la famille propriétaire de l'hôtel.
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
Cependant, j'aurais aimé que le contexte politique de l'époque soit traité plus en profondeur. Ce sera peut-être le cas dans la suite. Par ailleurs, j'ai été un peu perdue face à la multitude de personnages. J'aurais aimé en savoir davantage sur chacun. Je me suis tout de même prise d'affection pour Bella qui tient d'une main de maître cet hôtel et sa famille, malgré les difficultés auxquelles elle doit faire face. J'ai également beaucoup aimé le personnage de Constance, sur qui il me tarde d'en apprendre plus.
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
La plume est fluide et l'histoire entraînante mais j'ai tout de même ressenti quelques longueurs, certainement dues à mon rythme de lecture des derniers jours.
⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀
En tout cas, je n'ai aucun doute quant à la réussite de l'adaptation en série de ce roman que je découvrirai avec plaisir.

*lecture terminée*

Hôtel portofino de J.P O'Connell publié aux éditions Faubourg Marigny.

Bella, pour se remettre de la première guerre mondiale déménage avec sa famille à Portofino pour y ouvrir un hôtel. On assiste donc à son ouverture et on accompagne les premiers clients dans cette nouvelle aventure.

Dans ce roman, on se trouve entre l'entre deux guerres avec toutes les séquelles que la première guerre implique. Via cette famille britannique qui a refait sa vie en Italie, l'auteur aborde également l'homosexualité et la montée du fascisme de Mussolini.
Il aborde également bien évidemment les problèmes que peuvent rencontrer les gérants des hôtels, avec les lubies de l'un, les caprices de l'autre. Vous verrez comment Bella va surmonter tous les obstacles qui se mettront à travers sa route.
J'ai beaucoup aimé Bella et Constance qui sont deux femmes bien courageuses et adorables malgrès les épreuves qu'elles ont dû traversées.

Ce roman à un petit côté Downtown Abbey, les petites robes noires et Paradise. (Une série que je vous recommande d'ailleurs sur les premiers grands magasins).

Malheureusement malgrès tous les bons points que ce roman avaient pour me plaire je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire.

Je n'ai cependant aucun doute que ce roman va trouver sa place parmis de nombreux lecteurs!
J'ai quand même hâte de voir la série parce que c'est le genre d'histoire que j'adore en série.

Il te tente? Tu l'as lu?

Petite déception que ce roman. Je m'attendais à quelque chose de plus développé, à des personnages plus profonds. Mais j'ai trouvé que ceux-ci, comme l'histoire, manquaient cruellement de profondeur.
Ce roman n'est pas mauvais du tout, l'histoire est originale, elle tient la route. Cependant, tout m'a semblé survolé : l'intrigue principale, les relations entre les personnages, les difficultés de la propriétaire de l'hôtel, les coups bas que fomente le "grand méchant pas gentil" etc
À mon goût, il aurait fallu réduire le nombre de personnages, beaucoup trop nombreux, afin de pouvoir mieux développer leur caractère, leurs comportements et les relations qu'ils entretiennent.
Ça se laisse lire, mais malheureusement sans plus pour moi, je suis passée à côté...

D'abord je tiens à préciser qu'il y a beaucoup de personnages dans ce roman et que je suis contente d'avoir tenu une liste avec chacun d'entre eux car ça m'a bien aidé.

Malgré ça, la lecture a été un peu laborieuse pour moi ! Je n'ai pas réussi à rentrer dans l'histoire ni a m'attacher aux différents personnages.... seule Constance est sortie du lot, je l'ai trouvé intéressante et j'aurais voulu en savoir plus sur son histoire.

La fin n'en ai pas vraiment une donc je pense qu'il devrait y avoir une suite.

Sur le papier, ce roman a tout pour me plaire : des secrets, des trahisons, des aspects historiques, une ambiance dans un lieu singulier. Pourtant, je referme le roman déçue. J'ai aimé toute l'ambiance qui se créée autour du lieu. Mais, j'ai trouvé les aspects historiques pas assez approfondis.

Une histoire simple, dans un décor romanesque.
Je n'ai pas été transportée par l'histoire, malgré des personnages qui chacun à leur manière ont quelque chose de spécial. Il m'a manqué le petit truc en plus pour que je m'attache à eux.
L'Histoire en toile de fond est par contre intéressante et si elle était plus détaillée, elle rendrait l'intrigue plus accrochante...