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Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Laurent Obertone, journaliste et écrivain, nous propose la deuxième partie de Guerilla sous-titrée : « le temps des barbares ». le premier opus raconte comment la France s'écroule en trois jours suite à une banale intervention policière dans une cité sensible de la Courneuve. Des policiers étaient intervenus pour secourir une femme en « danger de mort », mais en réalité un guet-apens avait été préparé. de là, un embrasement s'empare de la France et l'Etat se dissout peu à peu…

Dans ce nouveau volet, nous retrouvons les éléments qui ont contribué au succès de Guerilla tome 1 : dialogues percutants, scénario ultra réaliste, récit précis et mouvementé, personnages attachants, dimension psychologique très pertinente. L'oeuvre est une nouvelle fois découpée en chapitres très courts introduits par une citation. Celle que nous avons retenue introduit le chapitre 37. Elle correspond parfaitement à la thématique de l'ouvrage : « Survivre : verbe, rester en vie dans des circonstances où d'autres périssent, après des événements rendant la vie insupportable. » Dans cet océan de soucis, de galères, de bassesses humaines, comment réagirions-nous ? le récit nous donne des indications précieuses sur le comportement des individus en situation extrême. N'oublions pas que la saga Guerilla « repose sur les hypothèses de travail du renseignement, des forces spéciales, et des témoignages directs de victimes de guerres civiles ».

Pour se rendre compte de la fragilité de nos sociétés, il suffit d'étudier le comportement de certains de nos compatriotes aux pompes à essence quand les dépôts de carburants sont bloqués par des grévistes. Certains sont prêts à se battre pour gagner une place ou pour remplir un jerricane alors que notre société dispose encore de l'électricité, d'internet et que les centres commerciaux regorgent de nourriture et de biens de consommation. Qu'en sera-t-il quand la police ne pourra plus endiguer le flot et que les commerces auront été victimes de pillages ? Lire cet ouvrage nous donne des éléments de réponse. Effectivement, l'électricité coupée signifie « priver la société de son sang et les citoyens de ses yeux. Sans électricité, on ne peut plus s'informer, ni cuire ni conserver la nourriture, payer quoique ce soit, faire le plein. Plus d'internet, de radio, de télévision, d'eau, d'évacuations, d'éclairage, de transports, de distribution, de chauffage, et après quelques heures plus d'hôpitaux, de gares, d'aéroports et de réseaux. »

Comme pour le premier opus, l'histoire nous prend aux tripes et nous voyons toujours ce film défiler sous nos yeux. Obertone rédige avec talent une fresque qui voit la France mutilée par le pillage et la folie. Une fois la France consumée, les gens s'organisent tant bien que mal alors que « les assassins tiennent les rues et que les chiens de guerre terrorisent les campagnes ». Les règles écrites et non écrites de la société s'envolent mais il faut malgré tout survivre. Alors qu'il faut se battre pour gagner son pain et disposer d'un minimum de confort, certains baissent les bras : « Cette foule était l'allégorie du renoncement. Un peu comme si on venait de mettre bout à bout leurs mille-et-une lâchetés du quotidien pour créer un tout. »

Notre société vit dans le luxe et dans une espèce d'effrayante monotonie. Si demain la société dégringole, peu sont les individus à envisager le pire : « Il faut imaginer. Les trains qui s'arrêtent au milieu de nulle part. Les aéroports saturés. Les paniques dans le métro. Les rues bloquées par des milliers de véhicules abandonnés. Les citadins piégés par des incendies que plus personne ne cherche à éteindre, qui vont tout dévaster, sans aucun moyen d'appeler les secours. Et dans un tel merdier plus personne ne va risquer sa peau pour secourir, et encore moins pour réparer. Sans parler des mouvements de foule, des pillages, des actes terroristes. » Ce tableau saisissant peut-il advenir en France ? Nul ne le sait…

Toutefois, il demeure important de comprendre que si la société tombe, des milliers voire des millions d'individus verront leur vie basculer : « Elle avait été clerc de notaire, et le lendemain esclave sexuelle d'une poignée de délinquants et de trafiquants, braqueurs de bureaux de tabac et voleurs de vieilles dames qui tentaient d'insuffler à leur misérable vie un arôme de mission divine. » La société française pourrait-elle sombrer dans un tel chaos ? Beaucoup seront tentés de dire que non, mais les mêmes n'ont-ils pas pensé il y a trente ans que la France des années 2020 ressemblerait à tout autre chose ?

En situation désespérée et effroyable, il faut avoir en tête que nos réactions normales n'existent plus. Sans ces lois écrites et orales constituant la base de toute civilisation, la loi de la jungle se substitue au Code Civil. Obertone écrit : « Les humains privés de leur ordre quotidien sont des créatures tout à fait à part, en-deçà des bêtes, monstrueuses, corrompues, détraquées par on ne sait quel instinct maudit, et plus il semble qu'on les discipline contre cette viciation, plus il semble qu'elle s'accentue. » Thucydide faisait au reste le même constat dans La Guerre du Péloponnèse dans le livre III au paragraphe 84. Notre auteur développe une idée pertinente quoique très ironique à l'endroit de la société d'aujourd'hui : en cas d'effondrement politique ou économique « le dieu du lien social sera mort ! » Beaucoup aujourd'hui consomment et surtout consument leurs vies sur les réseaux sociaux. En cas de « Bellum omnium contra omnes », phrase en latin signifiant « la guerre de tous contre tous », pour reprendre l'idée de Thomas Hobbes, ces humains lobotomisés par les écrans et la société du divertissement pourront-ils survivre au milieu des barbares ?

Cela nous conduit à évoquer un passage du livre qui rapporte qu'au milieu de l'anarchie et de la confusion un enfant « continue toujours de jouer, même si sa guilde venait d'être décimée par une carte chaos. Perdu en terrain hostile, un de ses personnages favoris, parmi les plus atypiques, avait usé sans succès de ses pouvoirs de conversion. Seul et loin de sa guilde, il était tombé sur un groupe d'orcs assoiffés de sang, et n'avait dans son deck aucune carte susceptible de contrer une telle attaque. » Scène étonnante, paradoxale que certains pourraient croire sortie de la seule imagination du cerveau d'Obertone. Devons-nous rappeler que l'orchestre du Titanic a continué de jouer alors que le paquebot s'enfonçait lentement et sûrement dans l'océan Atlantique ?

Après l'écroulement de la France en soixante-douze-heures, Obertone nous présente une suite très convaincante de « cette vertigineuse odyssée » qui nous amène à poursuivre notre « voyage au bout de la guerre totale » …
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Après son Best-seller international, Guerilla – "Le jour où tout s'embrasa" qui décrivait l'effondrement de la France en soixante-douze heures. Bienvenue dans la suite vertigineuse de l'odyssée, tome 2 de Guerilla - le temps des barbares.
Attention, âmes sensibles n'ouvrez pas ce roman!!
Ça démarre très vite, dès le premier chapitre.
Ce nouveau roman de Laurent Obertone ne fait pas dans la dentelle, une fois commencé impossible de le poser, je suis vraiment admirative du travail effectué et du rythme tenu tout le long de cet ouvrage, il se dévore et se lit très vite, les chapitres sont courts.

Tout au long, on se sent angoissé, ce roman est glaçant, violent (j'adore.), les scènes décrites semble tellement réelles.

Pour moi, c'est un véritable page turner!! Bravo Laurent Obertone.
J'ai hâte de lire le troisième tome.
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Attendu comme le Messie, il était un des livres de la rentrée littéraire que j'attendais avec le plus d'impatience.


Le premier tome m'avait fait le coup d'un uppercut en pleine face de par sa violence, de par ce qui s'y déroule en si peu de jours, en seulement 3 jours.


Ici on monte un cran au-dessus. Dans la violence, le désespoir, la solitude mais surtout dans la survie.


Accrochez-vous, prenez vos tripes dans les mains et plongez au temps des barbares.

Je vous parle aujourd'hui de Guerilla : le temps des barbares de Laurent Obertone paru aux éditions Ring.

[...]

Guerilla c'est toujours aussi incisif, mordant, poignant.

C'est violent et personne n'est épargné. Vous pouvez vivre dans le coin le plus reculé de France que l'apocalypse qui semble toucher le pays vous trouvera et essaiera de vous annihiler au chaos qui règne.

[...]

De plus, force est de constater que la plume de Laurent Obertone est devenue plus acérée, plus assurée aussi et nous offre un deuxième opus de Guerilla plus abouti en nous impactant d'une façon légèrement différente. Ce n'est pas un copier/coller du premier mais une intrigue qui nous déroule l'après et comment la population s'habitue à ses nouvelles conditions de vie.

[...]
Et puis maintenant que le chaos règne, l'ambiance change elle aussi.

Plus sombre, plus oppressante. Et majorée par l'environnement hostile dans lequel évoluent nos protagonistes. Un sentiment qui est d'ailleurs exacerbé par les descriptions que nous délivre l'auteur. C'est précis, concis et on a aucun mal à s'imaginer le temps qui règne autour d'eux.

La nature exerce elle aussi sa pression envers cette population qui se retrouve désarmée, démunie, livrée à elle-même. Et cela ne fait qu'accentuer cette ambiance un peu (euphémisme) malsaine, chaotique qui règne.

Pour dire, j'avais parfois l'impression d'être seule au monde, abandonnée de tous. Cette lecture je l'ai vécu jusqu'au fin fond de mes entrailles.

[...]
Impossible d'imaginer comment ceci va réellement se terminer. Et quelque part je n'ose me l'imaginer.

En bref,

La fin appelle à un troisième tome que j'ai hâte de découvrir même s'il faut que j'attende 2020 pour cela. Après le temps des barbares allez savoir ce que nous réserve l'auteur. Mais pas de doute pour moi, il a mon entière confiance et je sais déjà que je serai au rendez-vous tout comme je l'ai été pour celui-ci.
Lien : https://unlivretoujours.word..
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Tome 2 : Je répète mon avertissement !
Âmes sensibles abstenez vous...
C'est brutal, violent, irrévérencieux. Mais plausible...

Dans le tome 2, on reprend l'histoire là où elle avait été laissée. La situation s'empire de jour en jour...

La brutalité, les pénuries, les actes criminels transforment la France et tout particulièrement la région parisienne en Far West...
Le gouvernement et les forces de sécurité tentent de s'interposer mais il semblerait qu'elles perdent du terrain.

Le pays est à feu et à sang et la population trop bien endoctrinée à respecter la loi et désarmée durant les décennies précédentes est livrée à elle-même sans aucune protection des forces de l'ordre.

Laurent Obertone continue à choquer et déranger dans cette fiction. Mais... Ne serait-ce pas un mal pour un bien...
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Apres avoir fini le premier tome, la seule idée d'une suite me faisait saliver. Alors autant vous dire que quand le tome 2 a été annoncé, j'ai compté les jours jusqu'à sa sortie...
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J'ai adoré ce roman d'anticipation quasi post apocalyptique, relatant la vie (ou plutôt la survie) de certains personnages, nouveaux et anciens. On assiste à l'évolution ou au déclin de personnages hauts en couleurs, qui peuvent être parfois caricaturals mais uniquement pour appuyés le propos de fond. On se projette rapidement dans cette France devenue barbare, sans morale ni pitié, on se rend très vite compte que nous serions démunis face à un tel chaos. Nous sommes trop dépendants à notre confort matériel, intellectuel et à l'état. Nous osons à peine imaginer ce que l'on deviendrait si tout devait s'éfondrer du jour au lendemain.
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Comme à l'accoutumé chez Obertone, le roman est politiquement incorrecte, parfaitement rythmé, intense et violent. 
Le livre est parfait dans la forme mais personne ne fera abstraction de son fond, qui comme son grand frère, dénonce clairement certaines dérives de notre société.
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Pour finir c'est une excellente suite à Guérilla premier du nom. Elle tient toutes ses promesses.
Selon moi les deux parties sont indissociables et complémentaires, je vous conseillerais donc, amis lecteurs, de ne pas passer à côté du 1er tome avant de plonger dans celui ci. Soyez bien accrochés et avertis si vous souhaitez rentrer dans Ia guerre civile obertonesque, ce livre est trash et parfois anxiogène mais raviera les amateurs du genre au delà de leurs attentes... "Allez, je vous envoie comme des agneaux au milieu des loups". Que le plus fort survive, bonne chance à tous... 💥
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Replaçons le contexte. Au début du roman : "suite à un appel de détresse, une patrouille policière doit se rendre au domicile d'un individu, dont le logement est dans une cité sensible. L'ascenseur en panne, la patrouille, composée de deux hommes, une femme et un chien, emprunte l'escalier. Là, au niveau de l'un des paliers se trouvent une dizaine de "jeunes" qui se jettent sur le premier des policiers et le poignardent, le laissant raide mort. La policière lâche le chien qui se fait égorger. Pris de panique, pour sauver sa peau et celle de sa collègue, le deuxième policier vide son chargeur sur l'un des tueurs et le reste de la patrouille parvient à s'enfuir in extremis. Suite à cela, par crainte de la population des cités, pouvoirs publics et médias passent sous silence le décès du policier, pour se concentrer sur le décès du jeune qui est qualifié de bavures policières. Mais malgré le laxisme politico-judiciaire, les cités s'embrasent, leurs jeunes pillent, brûlent, saccagent..."
Possible que la suite de ce roman soit un peu trop alarmiste - ou pas. Quand je l'ai lu fin 2022, je le trouvais un peu excessif, mais c'était avant tous les évènements de l'année 2023, évènements qualifiés par un gouvernement pusillanime comme "faits divers" alors que ce sont des "faits de société". Curieusement l'affaire Naël ressemble étrangement au début de ce roman : "un jeune homme originaire d'une cité, sans permis, et devant passer en jugement pour le même motif, conduit dangereusement une puissante voiture de location. Les caméras de circulation l'ayant vu éviter de justesse piétons et cyclistes, des motards sont chargés d'arrêter ce dangereux conducteur . Mais le jeune Naël les feinte à plusieurs reprises, faisant semblant d'obtempérer pour repartir aussitôt, jusqu'à ce qu'un embouteillage ne le stoppe. Là, un policier, coincé entre la voiture et la rembarde de sécurité, applique le protocole en sortant son arme, mais Naël démarre et le coup de feu, parti accidentellement, le tue. Là-dessus, une partie des médias (par idéologie) et du gouvernement (par lâcheté et laxisme) crie à la bavure policière, alors qu'il n'en ai rien. Il s'en suit des semaines de pillages et de saccages."
Dans le roman : les Caïds prennent le contrôlent des banlieues et instaure la Charia. Une jeune femme musulmane refusant de s'y plier se fait torturer. Un fait divers survenu en 2023 fait curieusement écho à cet épisode : "une jeune musulmane s'est fait lacérée le visage par d'autres jeunes femmes de sa communauté car sa tenue leur semblaient indécente". Toujours dans ce roman (ou le reste de la trilogie), des bandes de jeunes des cités montent sur Paris pour casser du Blanc. Autre fait divers troublant, l'agression commise par des jeunes de cité dans un petit village de la Drome lors d'un bal. un jeune villageois, Thomas, 17 ans, y est décédé suite à plusieurs coup de couteaux. Bien que plusieurs témoins aient entendu "on vient casser du blanc", le délit de racisme n'a pas été retenu par la justice.
Donc, au moins trois des points soulevés dans ce roman sont conformes à la réalité. Possible que ce roman soit d'une exagération énorme, mais peut-être pas tant que ça. En tout cas, ce qui est indiscutable c'est que ceux qui prétendent qu'il y a un parti pris dans ce roman sont de très mauvaise foi et politise leur appréciation. La seule chose que l'on peut objectivement reprocher à cette trilogie c'est que le style littéraire laisse à désirer (syntaxe, vocabulaire).
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Paru trois ans après le premier volume, ce second tome est aussi palpitant : on suit l'effondrement de la France et le parcours de multiples personnages en divers lieux : Alice et Cédric, un jeune couple dans la Somme, la psy Eva Lorenzino et le docteur Cachet (oui, c'est son vrai nom...) au Plateau des Glières, le cadre Damien Bernard et l'agriculteur Justin Létang quelque part en pleine campagne, le journaliste Donatien Broccioli à Paris, le politicien Victor Escard, réfugié au Château de Vincennes et le mystérieux Vincent Gite... Autant de situations qui dressent un tableau très noir et magistral d'une société anarchique, où seul prévaut l'instinct de survie.
Implacable.
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Le temps des barbares et le temps de la folie. Ce deuxième volet de la trilogie fait froid dans le dos. A chaque personnage que l'on suit, on ne peut que se dire "et si...". L'auteur nous interroge de page en page. Qui serions-nous demain si tout cela arrivait ?
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La suite de Guerilla 1, suivez le parcours de Vincent Gite qui se prépare pour faire changer le pays. Comment le Capitaine Danjou et ses hommes luttent en infériorité numérique pour permettre à des hommes et des femmes de survivre dans l'enfer qu'est devenu la France.
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[Guerilla: forme de guerre caractérisée par des actions de harcèlement, d'embuscades ou de coups de main.]

Trois jours pour faire tomber le système. Et on se retrouve... Dans le pire scénario. Encore. Mais j'ai envie de dire, tout allait pas s'arranger en un claquement de doigts. Maintenant que la bombe à retardement a péter... Et bah on continue, bonjour cadavre, méfiance. Débris et désintégration. Adieu logique, bon sens et humanité. Oh tiens salut méfiance, barbaries et autres sauvageries. Merci Laurent Obertone.

Non en soit, pas tant merci de décrire le pire qui nous attendrais. Mais merci pour me tenter au survivalisme, non parce que sinon je serai morte au premier tome donc bon. Une plume encore parfaite qui dès les premiers mots, lignes, chapitres, vous replonge dans le bain. Pas une minute de répit, encore mais en même temps Guerilla quoi. Les minutes de répit ce font rares, et sont angoissantes.

Mais derrière tout ça, il y a aussi tout le travail de l'auteur. Parce que clairement le sujet, haut les mains les gars là. On sent que le boulot de recherche n'a pas été fait à moitié. Quand à l'analyse de la nature humaine dans le scénario du pire ? Je crois qu'on touche à peu prêt pas loin du mille. Alors attention, ce roman est lourd. Pas dans le sens péjoratif, plus dans le sens ou les mots sont durs, les actes sont durs à lire. J'ai du reposer le livre à de nombreuses reprises pour respirer paisiblement, et verifier sait-on jamais que tout allait encore comme d'habitude.

Bon, qui n'a pas encore sauté le pas de lire les Guerilla ? Quand à ceux qui connaissent, qui sont encore sous le choc, premier tome ou les 2. Venez, on va monter un groupe de soutien pour ce remettre !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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