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Citations sur Le crime était signé (36)

-Allez vous faire foutre!
Après cette invitation à aller goûter des plaisirs prétendument helléniques, la discussion s'engagea dans la voiture où l'étroitesse de l'habitacle se prêtait à plus de familiarité.
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Maintenant, le mal était fait et personne n'était encore jamais parvenu à ressusciter les morts.
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Un orage venait d'éclater quand ils garèrent leur véhicule devant le " 36 ". Putain de temps ! Et moi qui suis en chemisette , cria Paluche , en sortant de la voiture.
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Des corps appuyés contre les troncs nus, comme des étais. Des groupuscules pour le comité d'accueil aux entrées des halls, liés entre eux par des critères communs, signes d'appartenance choisis et acceptés de tous: bombers, capuches, casquettes, dodounes luisantes sur le dos et baskets de marque aux pieds. Des regards vides, parfois haineux. Toujours des regards sans animosité, aussi. Toujours des regards qui n'y croient plus, qui n'espèrent plus (p 102)
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On en repartait requinqué pour de nouvelles aventures , de celle qui attendent les flics dans leur chasse aux malfrats et aux criminels.
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Les jambes flageolantes, le cœur proche de l'explosion, Jessica retenait son souffle. La porte devait s'ouvrir vers l'extérieur, aussi appuya-t-elle les dents de la fourche contre le panneau de bois. Sa décision était prise.
"Je vais t'embrocher, salaud, et me barrer d'ici vite fait ! Tu vas subir ce que tu voulais me faire. Je vais te crever ! Et je ne vais pas craquer".
Jessica déroulait mentalement le film de son attaque surprise. Une fin tragique. Pour l'un ou pour l'autre.
Elle, serra le manche encore plus fortement, mais ses bras agités de tremblements l'inquiétaient. Aurait-elle la force suffisante ? Et la volonté ?
Tuer pour se défendre. Simplement par réflexe. Elle n'avait pas choisi. On l'u avait contrainte. Alors, pourquoi se sentirait-elle coupable ? Sa propre vie en dépendait. Pourquoi avait-elle du vivre ce cauchemar ? Pourquoi elle ? La peur prenait le dessus.Plus question de se raisonner. Juste une question de survie.
"Tu ne m'auras pas, espèce de malade !"
Un frottement derrière la porte la fit sursauter. Était-il présent, ou bien étaient-ce tout simplement ses nerfs qui lui jouaient des tours ? A quelle sorte de jeu s'amusait donc ce sadique ?
"Je vais t'avoir !"
Elle contenait son envie de crier sa rage, et se rattachait au mine espoir que son tortionnaire n'avait pas entendu le bruit de la visseuse. Il devait la croire allongée sur le lit. Cet avantage favoriserait l'effet de surprise.
"Je suis la plus forte !"
Un coup. Une seule poussée meurtrière et tout serait fini. Mais que faisait-il ? Jessica doutait. Comment s'assurer de sa présence derrière la porte sans se trahir ? Mon Dieu, faites qu'il entre § Qu'on en termine.
"Qu"est-ce que tu attends ? Mais viens ! Viens !"

Fayard - pages 255-256
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Comme on dit, tous les dégoûts sont dans la nature.
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p.296 " La police de papa avait survécu grâce à la technologie et à l'objectivité de la recherche scientifique. Bienvenue aux caméras de surveillance, aux laboratoires, aux armes modernes pour "chasser" dans de meilleures conditions."
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p.266 "Il reconnut tout de suite le Boistrancourt de la photo. La soixantaine élégante, le port de tête altier, un visage mince aux traits réguliers, au front haut et dégarni, avec des cheveux couleur poivre et sel peignés en arrière. Ses vêtements avaient été confectionnés par un tailleur du "prêt-à-en-imposer" sur mesure, la classe !"
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L'endroit était tranquille , la rue en impasse bordait le cimetière. Des pavillons individuels , des blocs d'immeubles de deux étages s'alignaient en parfaite harmonie. Leur sérénité n'était perturbée aujourd'hui que par le balayage des gyrophares.
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