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3,69

sur 558 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Ce livre me faisait vraiment envie… Depuis la rentrée, je l'avais repéré et je n'avais qu'une envie, c'était qu'il rejoigne ma PAL ! Bref, j'ai entamé ma lecture en me disant que ça allait énormément me plaire…

C'est une vraie déception ! Je n'ai pas réussi à entrer dans cette histoire, à aucun moment je n'ai accroché au style et à l'histoire. C'est pourtant très bien écrit, on ne peut pas dire le contraire.

Mais ce n'est pas ça le pire… Que l'écriture ne nous plaise pas soit mais là, c'est également l'histoire qui ne m'a pas plu. Impossible de s'attacher aux personnages… Je pense que le fait que ce soit un roman chorale ne m'a pas aidé : j'ai systématiquement du mal avec ce type de livres, qui me laissent toujours l'impression d'être décousus… Impossible donc de rentrer dans l'histoire et pourtant tout était réuni pour que ça me plaise.

Bref, je ne sais même pas quoi en dire tellement cela a été pour moi une lecture en mode « passage à côté ».
Lien : https://ogrimoire.com/2019/1..
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« Être Indien en Amérique n'a jamais consisté à retrouver notre terre. Notre terre est partout ou nulle part »
Quatrième de couverture extraite du prologue.

Ils sont douze. Hommes, femmes, enfants, déracinés, à vaquer dans Oakland, baie de San Francisco sur la côte Ouest de cette Amérique qu'ont arraché par la force, à coup de traités véreux ou par le biais de meurtres sanglants les colons blancs devenus maîtres d'une terre que personne ne possédait vraiment.
Chacun porte les stigmates d'une histoire douloureuse, plus ou moins violente. Quasiment tous sont unis par le sang ou par des liens plus complexes, certains l'ignorent.
Mais tous ont prévu d'assister au grand Pow-wow, à l'immense rassemblement de toutes les tribus du pays.

Ça donne envie ?

Pourtant ce livre est d'une tristesse infinie et peu simple à comprendre.
Je ne connais pas grand chose à la situation des Premiers Peuples aux USA mais je n' ai pas adhéré. Tous les clichés sont réunis : alcool, drogues, chômage, grossesse non désirée et abandon. Je suppose que cela est également possible en Europe mais c' est très peu évoqué. Tant qu'aux autres « problématiques », est-ce vraiment un problème typiquement Amérindien (mis à part le fait qu'ils ne puissent toujours pas voter. En parallèle, ils sont propriétaires de nombreux casinos et récoltent les gains ...).

Il me semble que « surfer » sur la vague du misérabilisme ethnique n'est pas particulièrement bienvenu de la part d'un homme diplômé, ingénieur son, qui a continué des études en littérature pour écrire des romans. La misère ne revendique malheureusement pas de couleur de peau, ni d'origine sociale. Mais j'oubliais, certains Amérindiens étaient propriétaires d'esclaves.
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Je me suis accroché jusqu'à la page 138, et puis j'ai lâché : aucun plaisir à lire ce livre. Pourtant le thème avait tout pour m'intéresser : un regard sur les Amérindiens d'aujourd'hui, mais un regard inhabituel. En effet c'est de la vie des Amérindiens urbains dont il est question ici, et plus précisément ceux d'Oakland en Californie. Mais je n'ai pas accroché, essentiellement à cause du style et de la structure du roman.
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Ce roman m'est tombé des mains. Déconstruit. Des personnages nombreux. C'est comme si un lot de nouvelles avaient été mises les unes à la suite des autres. On peine à trouver le fil conducteur, si ce n'est l'identité amérindienne. Je me suis beaucoup ennuyée et arrivée à la moitié, je l'ai abandonné.
Je préfère nettement la plume de Richard Wagamese ou Joseph Boyden. Grosse déception.
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J'ai essayé, vraiment. Mais impossible de m'immerger dans cette histoire.
Je me suis d'ailleurs véritablement fait violence pour aller au bout de ce livre du fait des nombreux retours élogieux que j'en avais eu.

Un roman chorale, où l'on suit 12 personnages, tous amérindiens, tous plus ou moins du même sang et assez semblables dans le portrait qu'en dresse l'auteur entre violence, alcoolisme, surpoids, pauvreté, mal de vivre, abandon…

Ça m'a rendu la lecture difficile avec un sentiment de confusion qui m'empêchait de rentrer dans l'histoire.

Un roman que j'ai trouvé très fade, sans saveurs, caricatural.

Bref, je suis totalement passée à côté.
Mais ce livre a reçu de nombreux prix alors, nul doute qui plaira à beaucoup d'entre vous!
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J'aurais bien voulu mais je n'ai pas pu. Je n'ai pas su apprécier ce roman que j'ai trouvé un peu fade. le thème est intéressant pourtant mais il ne suffit pas. Il n'est pas soutenu par la plume que j'ai trouvé quelconque; il n'est pas porté par l'histoire qui m'a semblé monotone. Les personnages, trop nombreux, se ressemblent; ils ont tous ou presque le même profil (en surpoids, alcoolique, en mal de vivre); il n'y a pas de diversité. C'est trop de pathos mal distillé. En bref, je n'ai pas vraiment apprécié.
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À Oakland, dans la baie de San Francisco, vivent des indiens qui ont eu du mal à s'adapter à la vie moderne qui leur a été imposée, depuis qu'ils ne sont plus parqués dans des réserves. Encore habités par des souvenirs des leurs traditions ancestrales, ils tentent de résister à l'engloutissement de leur culture. La violence, la pauvreté, l'alcoolisme semblent être un standard de leurs nouvelles conditions. Au travers de la vie quelques familles participant à un grand « pow-wow » l'auteur décrit ce mal de vivre qui frappent particulièrement cette catégorie de la population. l'intérêt de cette narration diminue au fil des pages de lecture pour laisser une impression finale peu convaincue par ce roman.
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Lu dans le cadre du Prix des Lecteurs Poche – sélection juin 2021
Tout avait bien commencé, roman d'un américain Cheyenne, le prologue nous serre le ventre à la lecture des horreurs infligées aux Indiens et de l'absence de considération de leur vie et de leurs coutumes bafouées. le blanc a voulu le territoire, il s'est servi. Puis l'histoire a pris le relais. Une dizaine de portraits d'Indiens, d'hommes de femmes jeunes et moins jeunes se sont succédé, leur vie finissant par s'entrecroiser, sur fond de braquage d'un Pow Wow. D'emblée, la violence est affichée. L'auteur m'a perdu quand il a décidé de revenir sur les uns puis les autres. La structure du roman ne m'a pas convenu et je n'ai lu que misère sociale, alcoolisme, violence et défaitisme chez ces Indiens en mal d'identité. Aucun espoir. Je me pose la question de la caricature et ne connais pas suffisamment l'histoire actuelle des peuples indiens aux USA pour m'en faire une opinion mais j'ose espérer que l'évocation de la vie de ces autochtones n'est que clichés. Finalement, ce livre tombe bien, j'avais prévu un documentaire sur l'histoire des Etats-Unis, je vais peut-être anticiper cette prochaine lecture.
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