AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,91

sur 338 notes
D'habitude, les romans d'Orhan Pamuk me plaisent. Mais celui-ci, même s'il a certes des qualités, m'ennuie . Ce ne sont pas les 600 pages qui me rebutent , non , c'est plutôt le rythme qui ne convient pas. Donc, j'abandonne après m'être forcée à le reprendre par deux fois. le personnage m'énerve avec ses enfantillages et c'est looooooooooonng à mourir. Oui, c'est cela même que l'auteur veut nous narrer. C'est vrai que rien que pour ça c'est réussi. Mais cette mélancolie ne me convient pas .... actuellement en tout cas.
Commenter  J’apprécie          31
Ce roman m'est tombé des mains une fois arrivée à la moitié. Malheureusement, si le début m'a enchantée par ses descriptions et par l'élaboration brillante de la situation du narrateur, j'ai fini par me lasser de ce statu-quo un peu agaçant, finalement le fétichisme du narrateur qui ne fait rien pour faire bouger sa vie et se complaît dans l'auto-apitoiement ont eu raison de ma fascination pour cette écriture magnifique et cette idée formidable de musée qui s'écrit.
Commenter  J’apprécie          30
Le musée de l'Innocence n'est pas seulement un très beau livre sur une histoire d'amour hors norme mais aussi une merveilleuse peinture de la société stambouliote , de ses valeurs et caractéristiques propres alors qu'Istanbul est en proie à une occidentalisation .
Commenter  J’apprécie          30
Disons que ce roman m'a laissée de bois. le sujet me semble sans intérêt. Je suis trop rationnelle que pour apprécier les tergiversations d'un homme qui a le bonheur à portée de main et qui le laisse s'échapper et qui après se morfond dans la douleur.
En plus de cette attitude peu virile, il s'incruste sans vergogne dans un ménage .
Très peu pour moi.
Commenter  J’apprécie          20
Commenter  J’apprécie          20
On se perd dans les rues d Istanbul, dans les souvenirs du.narrateur, dans ses obsessions amoureuses et je me suis accroché jusqu'à la fin, lumineux fil d Ariane rétrospectif.
Commenter  J’apprécie          20
C'est par hasard que je suis tombé sur le Musée de l'Innocence. Pas le livre. le Musée. Après avoir visité le Palais de Dolmabahce, j'avais marché le long du Bosphore et décidé de monter, un peu en aveugle, les petites rues qui grimpent vers Beyoglu. Je me suis perdu, mais j'ai vu les panneaux indicateurs neufs qui dirigeaient, en turc et en anglais, vers ce « Museum of Innocence », une ancienne maison en bois fraîchement rénovée, qui n'était pas repris dans mon guide touristique un peu dépassé. Je suis arrivé cinq minutes avant la fermeture, trop tard pour entrer.

Kemal a 30 ans, il est le fils d'une famille bourgeoise et moderne, et doit épouser Sibel. Tous sont d'accord : ils formeront un couple parfait. Il va acheter un sac à main pour sa fiancée dans une boutique appelée « Şanzelize » en hommage à grande la artère parisienne. Il reconnaît la vendeuse. C'est Füsun, une cousine lointaine, d'une branche de la famille moins fortunée que la sienne. Elle a 18 ans et il tombe amoureux fou d'elle.

Cet amour va lui donner les heures les plus belles de sa vie, mais va aussi ruiner son mariage avec Sibel. Il va le poursuivre malgré tout, même si le mariage de Füsun y met un obstacle insurmontable. Nostalgique des premiers moments de leur rencontre, désespéré d'avoir épousé Sibel plutôt que d'avoir laissé parler son coeur, Kemal va commencer à accumuler, de manière compulsive, tous les objets qui lui rappellent Füsun.

Quand enfin ils sont libres de s'aimer, ils partent en voyage à Paris. Mais elle meurt au volant de la voiture. Kemal trouvera sa consolation dans les objets témoins de leur amour et de cette époque. C'est cette collection, décrite dans son roman, qu'Ohran Pamuk a patiemment incarnée et installée dans son musée.

Lien : http://www.lecturesdevoyage...
Commenter  J’apprécie          20
Kemal, jeune bourgeois turc, fiancé à une jeune fille du même milieu social, tombe éperdument amoureux de Füsun, vendeuse de condition modeste.
Leur amour sera contrarié, à cause de sa lâcheté et de la pesanteur des contraintes sociales. Kemal, infatigable, va constituer un musée secret fait de mille menus objets dérobés à sa belle lors des visites quotidiennes qu'il continue à lui rendre pendant de longues années, sous le regard bienveillant des parents de Füsun,ce qui crée des situations parfois ubuesques.
Un roman long et dense qui se lit comme un recueil de contes orientaux et qui dresse le portrait de la Turquie des années 70 en pleine mutation, à travers le regard d'un jeune privilégié indécis et fou d'amour.
Commenter  J’apprécie          20
même si j'ai douté le long du chemin, ce livre est finalement une merveille. Maintenant, il ne me reste plus qu'à retourner à Istanbul, et aller visiter le musée.
Commenter  J’apprécie          20
Interminable histoire d'amour contrarié pour un jeune homme empêtré dans des fiançailles qu'il n' pas le courage de rompre, incapable de prendre une décision, se laissant porter pas les bouleversements qui agitent son corps et son esprit. Cet amour perdu devient obsession. Très long, ennuyeux, car focalisé sur une histoire dont jamais il ne parvient à se dépêtrer durant 650 pages. Il me semble qu'une version plus courte eût été bénéfique, j'ai éprouvé beaucoup de lourdeur dans ce roman que j'ai finalement trouvé très indigeste. On découvre les moeurs de la société bourgeoise stambouliote, les jeunes qui veulent afficher une certaine modernité, mais le poids des conventions et des codes pèse encore fortement sur leurs désirs d'émancipation.
Commenter  J’apprécie          20




Lecteurs (805) Voir plus



Quiz Voir plus

Tête de Turc !

De quelle pièce de Molière cette réplique est-elle extraite ? Que diable allait-il faire dans cette galère ? Ah maudite galère ! Traître de Turc à tous les diables !

Le bourgeois gentilhomme
Monsieur de Pourceaugnac
Les Fourberies de Scapin
La jalousie du barbouillé

10 questions
61 lecteurs ont répondu
Thèmes : turquie , turc , littérature , cinema , humour , Appréciation , évocationCréer un quiz sur ce livre

{* *}