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4,16

sur 2777 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Ce qui m'a marqué dans ce dernier tome de cette saga, c'est la fin. Trop ouverte à mon gout, pas franchement originale et attendue. La fin est plutot décevante du coup. C'est toujours navrant de terminer un dernier tome avec cette impression de "ça ne peut pas finir comme ça" Je suis difficile sur les fins, mais au vu des autres commentaires je comprends que cette fois je suis de l'avis général.
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Tout ça pour qu'ils se tiennent la main...
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Franchement, autant j'ai dévoré le premier volume, autant ce dernier opus, attendu beaucoup trop longtemps après les trois premiers est une déception. L'auteur avait prévu une trilogie, et débordé par la réussite, il a soit voulu rallonger la sauce, soit distiller trop d'idées sans les développer. Quoiqu'il en soit, ce volume ne m'a absolument pas transporté et clos cette aventure de façon tout à fait désolante.
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Dernier tome de la saga L'héritage.
J'avoue que c'est le tome qui m'a le moins plu, beaucoup de longueur, l'auteur s'est attardé sur des événements qui à mon sens n'étaient pas primordiaux et est passé rapidement sur d'autres beaucoup plus intéressant.
Il y a aussi des zones d'ombres qui restent comme le personnage d'Angela, qui ne me semble pas une magicienne comme les autres, et les chats garous, j'auraient vraiment voulu en savoir plus sur ces personnages très atypiques.
Je suis malgré tout contente du dénouement de l'histoire, je le trouve bien mené même si j'aurai aimé que l'affrontement final soit plus long.
C'est tout de même une bonne saga de fantasy qui se referme.


Pour ce tome je donne 3.5/5
Pour la saga je donne 4/5
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Ce dernier tome est à l'image de la Saga.
Malgré toutes ces longueurs, l'histoire est restée intéressante tout au long du récit.
Je me suis attaché à pas mal de personnages.
J'ai trouvé la présence de la magie trop importante avec tous ces sorts et contre-sorts.
La découverte des Dragons et de leurs fonctionnements reste, à mon sens, le gros point fort du Cycle.
Certains éléments de l'aventure étaient prévisibles mais l'histoire contient tout de même sont lot de surprises.
Bref, L'Héritage est une chouette saga de fantasy, un peu trop longue par moment et dont la lecture s'est quand même avérée plaisante (même si j'ai faillit abandonner suite à la lecture du Tome 1).
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:J'ai adorer ce livre mais assez déçus de la fin pour Eragon,je m'attendais a une autre fin.
Lien : http://fantasialivre.skyrock..
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Voilà, quelques mois après l'avoir lu, je suis prête. Prête à parler de la conclusion d'une des séries qui a rythmé mon adolescence.
Ce tome a-t-il donc réussi à refermer ce cycle de L'Héritage ? [Sans spoilers.]

Un dernier tome est toujours la meilleure occasion pour faire le bilan d'une série et de l'évolution de son auteur.
Le cycle de L'Héritage nous proposait ainsi de suivre les aventures du jeune Eragon et de sa dragonne Saphira, dans leur lutte contre le tyran Galbatorix pour délivrer la contrée de son joug. le duo, attachant à souhait, nous a alors entraîné à travers une vraie épopée, à la rencontre des elfes, des nains, Ombres et autres chats-garous.
Il était donc difficile de conclure une telle aventure, d'autant plus que c'est dans L'Héritage que la bataille contre Galbatorix culmine. Toutes les aventures d'Eragon et de Saphira devaient mener à leur duel final, et c'était un moment que tout le monde attendait.

Eh bien, je vous l'avoue, à la fin de ma lecture de ce dernier volume, je me suis retrouvée bien déçue. Maintenant, après m'être laissée le temps de la réflexion, je suis un peu plus partagée.
Comme je vous le disais, j'avais acheté ce livre dès sa sortie en France. Mais j'avais arrêté ma première lecture en plein milieu. Dans mes souvenirs au moment de sa reprise, c'était parce que j'avais eu du mal à faire mes adieux à la série. Après coup, je crois bien que c'était aussi parce que ma lecture était laborieuse. XD

C'est un sentiment assez étrange, puisqu'en vérité, ce dernier tome a tout pour lui : des batailles épiques, des alliances difficiles à tenir, la recherche effrénée du moyen qui permettra à Eragon et Saphira de battre Galbatorix… Et bien d'autres obstacles de taille.
Mais voilà, pour dire les choses franchement, tout cela est un peu indigeste. Je pense même que ce volume ne passera pas très bien pour ceux qui ne supportent pas les complots politiques et les batailles à gogo. La vérité en ce qui me concerne, c'est que je me suis même ennuyée franchement pendant certains moments. le roman ne se ressaisit que dans sa dernière partie, non sans certaines difficultés. Ou facilités.

La plupart des lecteurs pourront donc être déçus par le dénouement de la série. L'identité du dernier Dragonnier à découvrir est notamment très (trop ?) prévisible. On regrettera aussi que la romance ne soit pas à la hauteur du reste… Bon, et il est également vrai que certaines questions demeurent et demeureront sans doute sans réponse.

Mais la fin de ce roman, et de cette série, reste bien menée à son terme dans un certain sens. :)
L'évolution d'Eragon et de Saphira devait arriver à ce résultat, et quel résultat… Implacable, mais logique. C'est donc avec une certaine tristesse, une pointe de déception mais aussi avec le sentiment que c'est bien la fin, qu'on referme L'Héritage. Malgré moi, la mort dans l'âme, j'ai accepté ce que l'auteur a décidé de faire pour ces deux partenaires attachants. Je pense qu'il vous faudra aussi du temps. ;)


Bilan : malgré une certaine lourdeur et quelques maladresses, ce final clôt de façon satisfaisante une série épique à souhait. Ce n'est pas le grand final époustouflant que j'attendais, c'est certain. Il est difficile de ne pas être déçu à votre première lecture… Mais comme pour n'importe quels adieux, prenez le temps de les accepter. :)
J'ai aimé Eragon et Saphira, et j'ai été passionnée par leur quête pleine de promesses. Et il faut aussi se souvenir que c'est le charme de cette série : c'est l'histoire d'un duo que Christopher Paolini nous a conté. La belle histoire d'un Dragonnier et d'une Dragonne.
Non sans regret, on peut donc dire adieu à cette très bonne saga. :)
Lien : http://gekkou.free.fr/index...
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Christopher Paolini nous avait fait attendre, mais finalement on l'a eu, notre dernier tome. Epique, ce tome nous délivre des scènes de combats nombreuses et époustouflantes. Toujours aussi bien écrit, avec néanmoins quelques longueurs (quand même moins que dans les précédents). Les prophéties se réalisent enfin, les mystères connaissent des réponses. Ceux qui avaient été déçus par le 3 pourront sans doute se consoler avec ce tome-çi. Un combat final tout de même assez décevant, un choix ensuite contestable, et une fin libre qui en a fait râler plus d'un, mais la saga était d'une telle ampleur qu'on ne pouvait qu'admirer la fin, et en rester pantois. Ce donc une excellente saga de Fantasy, que je conseille aux adeptes de fantastique, et aussi aux curieux. Un ultime bravo et un grand merci à l'auteur pour cette série qu'on oubliera difficilement...
Lien : http://aristed.canalblog.com
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La fin, des révélations !
Mais je suis plutot déçu. Les 2 derniers livres ne sont pas au niveau des 2 premiers. Moins de fond, moins de rythme -> moins d'intérêts.
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Après un troisième tome passablement décevant et vide, il était maintenant temps pour Christopher Paolini de faire tomber le rideau sur sa saga au fort succès commercial...
L'impression première qui nous prend à la fermeture de ce pavé de plus de 920 pages est : "ouf ! c'est enfin terminé !", suivie d'un certain arrière-goût... d'inachevé. Je n'ai pas vraiment pensé que cette histoire était terminée. Trop d'éléments (notamment le passé d'Angela) resteront jusquau bout dans l'ombre. Peut-être est-il dans l'idée de Paolini d'écrire une préquelle, auquel cas je le féliciterais pour son initiative. Mais en l'attente de cette possibilité, mon avis sur ce quatrième tome restera plutôt mitigé.
On a d'abord une introduction bien trop longue à mon goût. Certes, les scènes de bataille sont cruciales dans les oeuvres de Fantasy, mais se contenter d'en enchaîner plusieurs avec entre deux des dialogues insipides et inutiles, ça ne le fait vraiment pas. Et encore, quand je parle de scènes de bataille, je suis bien gentil. Parce que j'appelerais plutôt ça des scènes de boucherie. Si les soldats ennemis n'étaient que des statues de cire renversées par notre glorieux Eragon, je n'aurais pas vu la différence. Aucun combat n'est réellemnt palpitant puisque personne ne peut vaincre Eragon ; et cela reste plutôt frustrant, du fait que l'impression donnée par les scènes de bataille n'est pas du tout celle que l'on attend.
On retrouve aussi Roran, dans le beau rôle du courageux soldat en quête pour sauver sa belle, et qui parvient à parcourir des dizaines de lieues en deux pauvres jours alors qu'Eragon et Brom, dans le tome 1, ont mis 15 jours pour parcourir la distance Yazuac-Daret ! de même, Roran parvient, lui, à tuer Lord Barst alors que la reine des elfes elle-même s'y est cassé les dents (et la nuque) ! C'est là que j'en viens une fois encore à l'un des plus énormes défauts de Paolini : la crédibilité !
Bon, le livre n'est pas non plus si mauvais que ça. Par exemple, j'ai pris un certain plaisir à voir Eragon descendu de son piédestal d'un bon coup de pied d'Arya dans le postérieur. Cette fois, l'auteur a peut-être pris soin de rendre son personnage moins orgueilleux et moins vaniteux (mais l'a rendu Roran plus encore pour compenser !), et cela le rend un poil attachant, peut-être à la fin.
De même, certains éléments qui avaient été introduits dans les deux premiers tomes prennent un sens et un dénouement dans celui-ci : les dernières visions d'Angela s'accomplissnet, de même que la dernière recommandation qu'avait fait Solembum dans le premier livre. Cela fait tout de même du bien de voir que l'auteur se raccroche un tant soit peu de ses idées premières et oublie quelques temps de nous noyer sous des scènes de bataille inutiles et interminables. Si ce n'est Angela, tous les éléments attendus ont été retranscris, sans grande surprise...
Et quand je parle de surprise, souvenez-vous de tous les débats sur les forums quant à l'identité du dernier dragonnier. Comme beaucoup de monde, j'ai aussitôt pensé à Arya et je dois dire que j'ai été déçu de voir que ma pensée première était la bonne. J'aurais été réellemnt surpris si Elva avait été le dragonnier en question ; mais Arya, c'était bien trop convenu. Mais bon, de toute façon, qui qu'aurait été ce dernier dragonnier, il n'a joué aucun rôle en tant que tel dans l'histoire donc ça n'a pas vraiment d'importance...
J'en viens maintenant à Nasuada : comme d'habitude, on a affaire à une jeune femme passablement orgueilleuse (comme tous les personnages de Paolini) qui a beaucoup trop changé depuis la fin du premier livre où on la rencontrait. Mais sa capture par Galbatorix était à mes yeux une idée pas mauvaise du tout, dans la mesure où elle aurait été confrontée aux idéaux de Galbatorix et aurait fini par y adhérer à son tour... Mais non. On a là qu'une pathétique Mary Sue qui subit des tortures (pas très inspirées) tout en refusant héroïquement de se soumettre. Et ces incessants non-dits entre elle et Murtagh ! Paolini est donc tellemnt pudique qu'il ne peut pas écrire tout simplement que ces deux personnages s'aiment ? Franchement, ça crève les yeux depuis le début, alors à quoi ça sert de créer un suspense alors qu'il est depuis longtemps perçé à jour ? Et ces paroles valent aussi pour la relation Eragon/Arya : on ne cesse d'assister aux souffrances du dragonnier parce que sa belle repousse ou ignore ses avances, et à la toute fin, au moment où elle lui "avoue" qu'elle ressent la même chose (en fait on ne fait que le deviner parce que Paolini ne fait encore qu'user du non-dit), eh ben non, Eragon doit partir pour toujours et en tant que reine, elle ne peut pas le suivre. Malheur à Eragon, il restera vierge pour le restant de sa longue vie ! En bref, les situations amoureuses étaient loin d'être abouties.
Mais voilà qu'entre en jeu l'élément qui m'a réellement accroché dans ce roman : l'apparition physique de Galbatorix. Ah, depuis le moment que j'attendais ça ! Ses dialogues avec Nasuada et sa confrontation finale avec Eragon ont été pour une fois des moments intenses et haletants... pour une fois ! Malheureusement, ce n'est qu'au bout du quatrième tome que l'auteur se décide à le faire apparaître, ce qui fait que je suis resté sur ma fin concernant ce personnage.
Et enfin, la vision finale qui se réalise, le rêve qu'Eragon avait fait dans le tome 1 après qu'il ait ramené son oncle Garrow mourant à Carvahall. Son départ d'Alagäesia à bord d'un navire. Certes, cette partie est triste, mais elle m'a surtout donné une furieuse impression de déjà-vu : ça ne vous rappelle pas le départ de Frodon Sacquet vers les Terres Immortelles dans le Seigneur des Anneaux ?
Alors, je vais le dire : s'inspirer de quelques éléments d'ouvrages mythiques, rien n'interdit de le faire, c'est même une très bonne chose. Mais là, on frise le plagiat ! La fin d'Eragon est presque identique à celle du Seigneur des Anneaux ! Et tant qu'on en parle, vous n'avez pas remarqué quelques similitudes en Tronjheim et la cité de Minas Tirith ? Toutes deux des ville-montagnes de couleur blanche avec une salle du trône en fomrme d'allée où on peut voir les statues des anciens rois de chaque côté des murs ? Franchement, je n'irai pas jusqu'à dire que Paolini s'est inspiré, il a carrément pompé sur un grand classique !
Enfin voilà, une oeuvre qui reste moyenne et inégale, laissant un arrière-goût d'inachevé dans ses dernières pages, mais qui ne peut pas être pire que le troisième tome franchement raté. C'est donc une histoire assez agréable à suivre si on parvient à s'armer de patience, mais qui ne rentre pas dans mes favoris, contrairement à quand j'avais l'âge de douze ans. Comme quoi, avec le temps, les goûts changent du tout au tout...
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