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4,16

sur 2696 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
A croire les écrits des Christopher Paolini, il lui aura fallu douze année pour achever son cycle de l'héritage, et donc notamment ce quatrième (et avant-dernier, depuis la parution d'un recueil de nouvelles) volume intitulé La crypte des âmes.

Succombant à cette tendance visible et perceptible à l'inflation croissante du nombre de pages, nous voici partis pour un pavé de tout juste neuf cents pages. La mise en page est serrée, le propos est dense et pourtant… l'univers, après tout cela, n'est guère étoffé.

L'action est ici, comme les volumes précédents, au rendez-vous et tiendra une bonne place de l'intrigue. Il y aura – forcément et cela n'étonnera personne – la confrontation avec Galbatorix, mais aussi d'autres batailles, d'autres rebondissements. le programme est chargée et pourtant l'ennui peut ici faire son chemin notamment auprès des lecteurs plus aguerris.

C'est hélas un constat que l'on peut faire au sortir d'une dizaine de lecture de fantasy : tout cela est certes sympathique mais sans plus. Pourtant les bonnes idées sont nombreuses. Pour opérer une petite sélection deux méritent que l'on si attarde.

La première reste le traitement franchement original de l'incontournable histoire d'amour qui attend le protagoniste. Les suites réservées sont imprévues. le dénouement mérite également une mention particulière. Sans en révéler plus que nécessaire, le sentiment laissé par la fin n'est guère courant, bien vu mais laisse également avec une drôle de sensation.

D'ailleurs la séquence post-confrontation avec le grand méchant, tente de répondre à quelques questions, en pose d'autres…. qu'elle laisse dans un flou artistique assez désagréable, d'autant plus que ce passage donne l'impression de ne jamais devoir finir.

Au titre des bonnes surprises, nous devons en attendre beaucoup des personnages secondaires, fortement mis à contribution ici. Comment ne pas s'attacher à toutes ces figures ? La guerre ici ne sert pas de prétexte à un abatage facile de personnages, ce qui est plutôt positif.

La classification de cette lecture en ouvrage pour la jeunesse en dit long : voici une lecture à mettre dans des mains jeunes et peu expérimentées qui trouveront ici leur bonheur avant de passer à quelque chose de plus complexe.
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Eh bien oui, j'ai été déçue par ce quatrième tome que j'attendais pourtant avec une impatience sans nom.
Mais première erreur de ma part, je n'ai pas relu le troisième tome avant d'entamer la lecture de celui-ci. J'avais oublié trop de choses, ce qui m'a empêchée de me plonger de façon immédiate dans l'ouvrage. J'avais même oublié ce qu'est un Eldunari, rendez-vous compte. A ma décharge, il s'est écoulé bien du temps avant la sortie du dernier tome. Et Eragon, ce n'est pas comme Harry Potter, où chaque ouvrage est une année de scolarité ce qui fait que la révision n'est pas nécessaire.
Bref, il m'a bien fallu 300 pages sur les 900 pour me remettre dans le bain – dans l'histoire, plutôt. J'ai trouvé le récit incroyablement complexe, j'ai mis un temps infini à trouver mes repères et je l'avoue j'ai sauté des scènes trop longues où je finissais par m'ennuyer. Les scènes de bataille sont nombreuses et interminables, était-ce nécessaire d'en faire autant au détriment du reste ? On aurait aimé des descriptions plus … efficaces et en revanche un peu plus d'éléments sur les personnages. On a un peu l'impression d'un film où les effets spéciaux prennent le pas sur le scénario et sur les personnages.
Pourtant on ne peut que reconnaître et saluer l'inventivité et l'imagination fertile de l'auteur, la construction remarquable de ce dernier tome, où rien n'est laissé au hasard, ou chaque détail finit par trouver son sens.


Bien sûr … Quel autre moyen (attention SPOILER) que celui trouvé par Eragon pour se débarrasser enfin de Galbatorix, pour faire en sorte que tous les peuples et toutes les races de l'Alagésia vivent enfin en paix, pour que le monde retrouve son équilibre en laissant aux dragons la place qui leur revient. N'est-ce pas une esquisse de notre propre monde ou plutôt de ce que nous voudrions qu'il soit ?
Mais les héros nous échappent, et çà c'est regrettable et le lecteur est forcément frustré. Eragon, Arya, Murtagh, Nasuada, et même Elva, allons, autant se l'avouer, nous rêvions d'une autre fin pour chacun d'entre eux. Et comme j'en suis sûre bien d'autres lecteurs je me suis demandée pourquoi l'auteur n'a pas laissé ses personnages vivre leur histoire d'amour au-delà de quelques instants volés et de quelques mots couverts. On comprend certes pourquoi Eragon à la fin ne pourra jamais partager la vie, le destin, de celle qu'il aime depuis le premier tome, on comprend que Murtagh lui non plus ne pourra vivre avec celle qu'il aime, on sait bien que Eragon ce n'est pas un roman d'amour, mais quand même... il y a des possibilités liées à l'histoire des personnages et à leurs sentiments que l'auteur n'a pas explorées.
Bon, c'est mon coté fleur bleue, mais à quoi bon créer des héros si c'est pour en faire des dieux auxquels les émotions et les sentiments sont interdits ?
Et rien ne nous dit qu'un jour Eragon ou Murtagh ne reviendra pas.
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Après un tome 3 décevant, je redoutais un peu ce tome 4 tout aussi gros, voire plus. Et je ne vous cache que ce dernier (ou pas ?) tome du cycle de l'Héritage comporte quelques longueurs durant l'histoire. Cependant, et heureusement, ce tome est nettement plus intéressant que le troisième. Nous y découvrons de l'action, des dénouements et du mystère. Même si on ne retrouve pas le niveau des deux premiers tomes, ce livre est plutôt addictif et prenant. J'ai malgré tout trouvé le final plutôt gâché. Final qui est suivi de 100 pages, longues et qui ne servent pas vraiment à grand-chose, pour une fin plutôt décevante.
Je garde toute de même un souvenir très positif de cette saga coup de coeur, malgré les petites déceptions. J'aimerais beaucoup que l'auteur écrive l'histoire de notre mystérieuse Angela, car nous n'avons pas toutes nos réponses... Et si possible, un petit livre pas trop cher...
Lien : http://freelfe.blogspot.fr/2..
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Dernier volet de la série Héritage : Eragon et Saphira progressent dans l'empire de Galbatorix. La bataille finale s'approche à grand pas, et les deux héros n'ont toujours pas trouvé le moyen de vaincre la puissance du tyran et de ses eldunari.

Mon sentiment est assez mitigé pour cette fin de cycle. le premier aspect positif, c'est que ça bouge beaucoup : on enchaîne les combats, les prises de ville, les captures, ... le lecteur ne s'ennuie pas beaucoup (il y a bien quelques longueurs, mais sur les 900 pages que comporte le livre, elles sont peu nombreuses). Par contre, à force de vouloir de rebondissement, on assiste à des retournements de situation trop artificiels : ce que contient la Crypte des Âmes me semble un peu trop facile, surtout qu'Eragon le reçoit sans aucune contrepartie ni aucun sacrifice de sa part. La manière dont on lui révèle la page qui parle de cette Crypte m'a un peu agacé également.

À l'inverse, certains personnages m'ont paru très sous-exploités : Elva notamment, qui était assez effrayante et pleine de mystère, et qui tient au final un rôle de figurante sans beaucoup d'originalité dans son comportement, et Angela dont on n'apprend rien, malgré ses coups de génie et ses nouvelles compétences qui apparaissent comme par magie à chaque fois que la situation est bloquée.

La fin m'a plutôt surpris : je m'attendais à une conclusion rapide une fois le dernier affrontement terminé, mais l'auteur a choisi de détailler ce qu'allait être l'avenir de chaque personnage principal. À l'inverse des autres critiques, j'ai apprécié le fait que tout ne se termine pas par un happy-end général, où tout le monde finit heureux et content, mais que les héros doivent se plier à leur rang et à leurs devoirs.

Malgré mes remarques, je dois reconnaître que j'ai dévoré les 900 pages du livre en une journée, et j'ai pris énormément de plaisir à lire cette saga.
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Quatrième tome qui si il clôt la série avec un niveau globalement égal aux précédents, m'a laissée un peu... déçue?

Au final le troisième oeuf sur lequel on a fait tant de bruit dans les tomes précédents n'a qu'une importance mineure, surtout avec la révélation de

Sinon... le fait que Murtagh et Nasuada aient des affinités étaient assez prévisibles, et

D'ailleurs Nasuada est le personnage que j'ai pris le plus de plaisir à suivre au cours de cette lecture.


Sinon...beaucoup de révélation fracassante dans ce tome, qui changent complètement la donne. Mais du coup les choses semblent très resserré et la fin ... un peu trop simple. Pas complètement satisfaisante. Et il reste pas mal de zones d'ombre.

Mais ça reste correct. Et on passe un bon moment.
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Franchement, autant j'ai dévoré le premier volume, autant ce dernier opus, attendu beaucoup trop longtemps après les trois premiers est une déception. L'auteur avait prévu une trilogie, et débordé par la réussite, il a soit voulu rallonger la sauce, soit distiller trop d'idées sans les développer. Quoiqu'il en soit, ce volume ne m'a absolument pas transporté et clos cette aventure de façon tout à fait désolante.
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Après un troisième tome passablement décevant et vide, il était maintenant temps pour Christopher Paolini de faire tomber le rideau sur sa saga au fort succès commercial...
L'impression première qui nous prend à la fermeture de ce pavé de plus de 920 pages est : "ouf ! c'est enfin terminé !", suivie d'un certain arrière-goût... d'inachevé. Je n'ai pas vraiment pensé que cette histoire était terminée. Trop d'éléments (notamment le passé d'Angela) resteront jusquau bout dans l'ombre. Peut-être est-il dans l'idée de Paolini d'écrire une préquelle, auquel cas je le féliciterais pour son initiative. Mais en l'attente de cette possibilité, mon avis sur ce quatrième tome restera plutôt mitigé.
On a d'abord une introduction bien trop longue à mon goût. Certes, les scènes de bataille sont cruciales dans les oeuvres de Fantasy, mais se contenter d'en enchaîner plusieurs avec entre deux des dialogues insipides et inutiles, ça ne le fait vraiment pas. Et encore, quand je parle de scènes de bataille, je suis bien gentil. Parce que j'appelerais plutôt ça des scènes de boucherie. Si les soldats ennemis n'étaient que des statues de cire renversées par notre glorieux Eragon, je n'aurais pas vu la différence. Aucun combat n'est réellemnt palpitant puisque personne ne peut vaincre Eragon ; et cela reste plutôt frustrant, du fait que l'impression donnée par les scènes de bataille n'est pas du tout celle que l'on attend.
On retrouve aussi Roran, dans le beau rôle du courageux soldat en quête pour sauver sa belle, et qui parvient à parcourir des dizaines de lieues en deux pauvres jours alors qu'Eragon et Brom, dans le tome 1, ont mis 15 jours pour parcourir la distance Yazuac-Daret ! de même, Roran parvient, lui, à tuer Lord Barst alors que la reine des elfes elle-même s'y est cassé les dents (et la nuque) ! C'est là que j'en viens une fois encore à l'un des plus énormes défauts de Paolini : la crédibilité !
Bon, le livre n'est pas non plus si mauvais que ça. Par exemple, j'ai pris un certain plaisir à voir Eragon descendu de son piédestal d'un bon coup de pied d'Arya dans le postérieur. Cette fois, l'auteur a peut-être pris soin de rendre son personnage moins orgueilleux et moins vaniteux (mais l'a rendu Roran plus encore pour compenser !), et cela le rend un poil attachant, peut-être à la fin.
De même, certains éléments qui avaient été introduits dans les deux premiers tomes prennent un sens et un dénouement dans celui-ci : les dernières visions d'Angela s'accomplissnet, de même que la dernière recommandation qu'avait fait Solembum dans le premier livre. Cela fait tout de même du bien de voir que l'auteur se raccroche un tant soit peu de ses idées premières et oublie quelques temps de nous noyer sous des scènes de bataille inutiles et interminables. Si ce n'est Angela, tous les éléments attendus ont été retranscris, sans grande surprise...
Et quand je parle de surprise, souvenez-vous de tous les débats sur les forums quant à l'identité du dernier dragonnier. Comme beaucoup de monde, j'ai aussitôt pensé à Arya et je dois dire que j'ai été déçu de voir que ma pensée première était la bonne. J'aurais été réellemnt surpris si Elva avait été le dragonnier en question ; mais Arya, c'était bien trop convenu. Mais bon, de toute façon, qui qu'aurait été ce dernier dragonnier, il n'a joué aucun rôle en tant que tel dans l'histoire donc ça n'a pas vraiment d'importance...
J'en viens maintenant à Nasuada : comme d'habitude, on a affaire à une jeune femme passablement orgueilleuse (comme tous les personnages de Paolini) qui a beaucoup trop changé depuis la fin du premier livre où on la rencontrait. Mais sa capture par Galbatorix était à mes yeux une idée pas mauvaise du tout, dans la mesure où elle aurait été confrontée aux idéaux de Galbatorix et aurait fini par y adhérer à son tour... Mais non. On a là qu'une pathétique Mary Sue qui subit des tortures (pas très inspirées) tout en refusant héroïquement de se soumettre. Et ces incessants non-dits entre elle et Murtagh ! Paolini est donc tellemnt pudique qu'il ne peut pas écrire tout simplement que ces deux personnages s'aiment ? Franchement, ça crève les yeux depuis le début, alors à quoi ça sert de créer un suspense alors qu'il est depuis longtemps perçé à jour ? Et ces paroles valent aussi pour la relation Eragon/Arya : on ne cesse d'assister aux souffrances du dragonnier parce que sa belle repousse ou ignore ses avances, et à la toute fin, au moment où elle lui "avoue" qu'elle ressent la même chose (en fait on ne fait que le deviner parce que Paolini ne fait encore qu'user du non-dit), eh ben non, Eragon doit partir pour toujours et en tant que reine, elle ne peut pas le suivre. Malheur à Eragon, il restera vierge pour le restant de sa longue vie ! En bref, les situations amoureuses étaient loin d'être abouties.
Mais voilà qu'entre en jeu l'élément qui m'a réellement accroché dans ce roman : l'apparition physique de Galbatorix. Ah, depuis le moment que j'attendais ça ! Ses dialogues avec Nasuada et sa confrontation finale avec Eragon ont été pour une fois des moments intenses et haletants... pour une fois ! Malheureusement, ce n'est qu'au bout du quatrième tome que l'auteur se décide à le faire apparaître, ce qui fait que je suis resté sur ma fin concernant ce personnage.
Et enfin, la vision finale qui se réalise, le rêve qu'Eragon avait fait dans le tome 1 après qu'il ait ramené son oncle Garrow mourant à Carvahall. Son départ d'Alagäesia à bord d'un navire. Certes, cette partie est triste, mais elle m'a surtout donné une furieuse impression de déjà-vu : ça ne vous rappelle pas le départ de Frodon Sacquet vers les Terres Immortelles dans le Seigneur des Anneaux ?
Alors, je vais le dire : s'inspirer de quelques éléments d'ouvrages mythiques, rien n'interdit de le faire, c'est même une très bonne chose. Mais là, on frise le plagiat ! La fin d'Eragon est presque identique à celle du Seigneur des Anneaux ! Et tant qu'on en parle, vous n'avez pas remarqué quelques similitudes en Tronjheim et la cité de Minas Tirith ? Toutes deux des ville-montagnes de couleur blanche avec une salle du trône en fomrme d'allée où on peut voir les statues des anciens rois de chaque côté des murs ? Franchement, je n'irai pas jusqu'à dire que Paolini s'est inspiré, il a carrément pompé sur un grand classique !
Enfin voilà, une oeuvre qui reste moyenne et inégale, laissant un arrière-goût d'inachevé dans ses dernières pages, mais qui ne peut pas être pire que le troisième tome franchement raté. C'est donc une histoire assez agréable à suivre si on parvient à s'armer de patience, mais qui ne rentre pas dans mes favoris, contrairement à quand j'avais l'âge de douze ans. Comme quoi, avec le temps, les goûts changent du tout au tout...
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Les premiers chapitres déçoivent. Cependant, Nasuada est enlevée, Eragon devient chef suprême des Vardens, et part en voyage à Vroengard ! Dès lors, on lit mieux. Paolini devient assez profond, et le texte devient vivant et n'est plus dans la surenchère...
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Dernier tome de cette très longue série de 4 tomes... devait pas y en avoir que trois à la base??? enfin bon pognon oblige toussa... ou l'âme de l'artiste mais je ne sais pas pourquoi je n'y croix pas des masses...
Enfin bon, suspens la fin de la guerre qui va gagner le très bon, gentil Eragon, ou le vil Galbatorix, qui de Thorn ou Saphira va être le plus meilleur dragon, Aria va t'elle enfin se faire sauté par Eragon que de question ou le suspens est à son comble... ou pas...
Enfin bon je critique mais c'est tout de même le moins mauvais avec le premier. En effet pas mal d'action, pas mal de plagiat de Tolkien aussi mais bon a la limite pourquoi pas, même si le niveau n'y est pas je comprend qu'on est envie de ressembler au maître. Et même si certain passage sont laborieux voir ennuyeux et n'apportant que très peu à l'histoire... La conclusion de cette saga est intéressante et laisse présager du bon pour ce jeune auteur si jamais il ne tombe pas dans les affres du succès faciles... ce que je crains malheureusement.
Enfin bon beaucoup d'aventure, et très peu de surprises malheureusement tous est réglé comme du papier à musique mais le fait que sa bouge tout le temps (ou presque) nous permet de pas vraiment voir le temps passer.
En conclusion une saga sans trop d'intérêt mais si on l'a commencé elle mérite d'être fini.
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Enfin ! Après un mois de lecture intensive je peux enfin vous parler du quatrième et dernier tome de la saga de l'Héritage. Attendu depuis un moment, celui-ci conclut l'histoire d'Eragon et de la guerre contre Galbatorix.

Bien que j'ai détesté le troisième tome au point d'être plutôt sceptique sur cette conclusion, je dois le reconnaître, L'Héritage est bien meilleur même si loin d'être exempt de défauts. Ainsi, si l'opus propose nombre de chapitres captivants comme les prises des cités de l'empire et, bien entendu, l'affrontement ultime, le tout est noyé sous une pluie de chapitres longs et parfois inutiles à l'action principale. [...]

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