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4,16

sur 2697 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'ai rarement autant été déçue par un livre de fin d'une saga, alors que j'en avais apprécié (aimé, adoré) les précédents.

Tout d'abord, ce 4èm tome n'est que guerres, batailles, sang versé, épées entrées dans le ventre et j'en passe. Sincèrement, cela m'a plongé dans un profond ennui, essentiellement parce que c'était la guerre et que rien mais alors vraiment rien n'y est passionnant, parce que c'était une guerre ridicule puisqu'au final ça aurait du rester une guerre de magiciens (quel intérêt vraiment d'envoyer les Vardens et autres se faire massacrer ?), et parce que 800 pages sanguinolentes à un moment j'ai envie de dire "et ensuite ?" .


Le problème suivant, ce sont les incohérences. de petits détails, de simples phrases, mais qui font sortir de la lecture avec un sursaut ce qui déconcentre fortement, particulièrement quand c'est répété.
Un petit exemple, page 514, à propos de la cachette des oeufs et des eldunaris :
=> "Même si Galbatorix et les Parjures avaient eu l'idée de fouiller en esprit un endroit aussi improbable (..)"
Improbable ? La cité des dragons, improbable ? Étonnant, parce que personnellement j'aurais justement commencé par cet endroit..

Y'en a tant et tant des exemples comme ça, je n'ai pas tout pris en note. Mais cela énerve rapidement au cours de la lecture et se replonger ensuite dedans n'est pas chose aisée. Il est pour moi évident que la faute ne revient pas à l'auteur, qui manque forcément de recul en étant plongé dans l'histoire. Mais il y a des relectures, des personnes payées pour ça.. qui ont raté leur travail.


Autre chose, ce sont les émotions vraiment pas abouties des personnages.
En voici une autre citation, page 752 :
=> "Pendant le vol, Eragon se sentit soudain accablé. Saphira elle aussi était triste d'être séparée de Firnen. Mais c'était une belle journée, les vents étaient favorables ; ils reprirent bientôt courage."
Je m'en suis étranglée. Si je pouvais avancer dans la vie aussi vite qu'eux, et me remettre aussi bien de décisions m'emmenant loin de ceux que j'aime, cela me plairait bien.


Un profond agacement sur le fait de voir mourir des gens que je ne connais pas ou à peine effleuré. On comprends très vite qu'il n'y a rien à craindre pour ceux dont on connait l'histoire (me serais-je habituée au trône de fer, où chaque personnage peut mourir dès qu'on tourne une page ?), je suis restée sans aucune émotion d'un bout à l'autre du livre.


Un ras le bol général des auteurs, dont Paolini fait partie : je ne leur demande pas de pratiquer parfaitement la CNV, mais montrer un minimum de respect ne serait pas du luxe. Qu'Eragon se permette d'engueuler Elva parce qu'elle n'a pas empêché la mort de Wyrven (elfe inconnu d'ailleurs), faut quand même pas pousser ; ça m'a choquée. Un certain profil bas vu ce qu'il lui a infligé, moins d'arrogance, et une demande agréable en lui expliquant les soucis, implications, etc.. serait plus juste. Elle est dans son droit de refuser, elle ne doit rien à personne. "Le bien de tous" ne doit pas être un argument à chaque page, Nasuada nous en bassine déjà bien assez.

Un autre point, et pas le moindre.. A la fin du livre, un côté positif important c'est que nous ne sommes pas laissés en plan, on apprend plein de choses sur ce qui arrive aux héros par la suite.
Le point négatif, c'est qu'en résumé, il n'arrive pas grand chose d'intéressant. Que Arya devienne dragonnière m'est incompréhensible, qu'elle soit reine déjà me perturbait : c'est une femme qui aime vadrouiller, s'entrainer, bouger : pas trôner. Les deux ne sont même pas compatibles en ce qui concerne les intérêts des deux castes.
Et qu'en prime on nous laisse en plan sur une histoire d'amour qu'on attend depuis le premier livre.. argh.
Ce n'est pas le happy end manquant qui me gêne, mais qu'on nous ai fait croire à quelque chose qui ne vient pas, sur 4 livres.

J'ai été fort déçue également, de ne pas connaître les vrais noms d'Arya, Eragon, Saphira.. L'auteur a-t-il soudain manqué d'imagination ?

Les personnages.. que dire..
Aucune réponse concernant Angela l'herboriste qui surprend chaque fois avec un nouveau tour de magie qui sauve tout le monde, alors que là aussi sur plusieurs livres on nous dit qu'un jour, on sera assez grand pour savoir. Ben en fait, non.
Elva, prometteuse mais manquant finalement de consistance, juste là pour les besoins du livre.
Les ennemis sont pâles, absents. Ils ne font des dégâts et ne posent des problèmes que quand ils veulent bien apparaitre. Heureusement, c'est pas souvent le cas sinon tout le monde serait mort depuis longtemps.
Les héros, invulnérables, et s'ils se font blesser, hop, un ti coup de magie et ils récupèrent une main coupée, un dos et j'en passe. Je veux la même, ça m'aidera bien au quotidien !
Galbatorix, .. plat. Méchant des méchants, et pas spécialement intéressant quand il parle enfin. Dommage.
Saphira.. passage étrange, rapide,, excessif, inachevé avec Firnen.
Les chats-garous, une idée géniale où l'on reste là encore sur notre faim.
Les personnages dans leur globalité sont orgueilleux, froids, ne savent pas s'aimer, ils manient tous très bien les non-dits.

La fin du livre ressemble bien trop au Seigneur des anneaux pour ne pas être un pâle plagiat, comme tout ce tome d'ailleurs.

Je n'ai pas compris non plus, le manque d'intelligence et de réflexions de chacun. Personne n'a par exemple pensé que dans la ville de Galbatorix, le sorts ne fonctionneraient plus. On parle du plus grand sorcier de tous les temps ou peu s'en faut, et pas un pour se dire qu'en rentrant dans sa ville, elle serait protégée ? Hmph.

Il ne faudrait pas croire, j'ai aimé énormément cette saga, le premier tome était vraiment très bon ; les deux autres bien que moins aboutis étaient très agréables à lire. Ce 4èm livre a pour moi, été écrit trop vite et a manqué de profondeur. Et même si ce livre serait à réécrire, j'ai passé avec les précédents, de bien bons moments. Je quitte la saga à regrets ^^'
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Enfin la fin!
Lu juste pour connaître la fin de l'histoire, et pas mécontent d'en avoir enfin termné avec Eragon.
J'aurais sûrement mieux aimé si j'avais lu ce livre avec 15 ans de moins...
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Lecture entrecoupée : septembre 2015.
J'ai commencé le cycle d'Eragon en 2011 par le tome 2 que j'avais vraiment apprécié au point de lire la nuit. J'avais été très surprise par l'âge de l'auteur et les polémiques au sujet du livre : est-ce uniquement commercial ? A-t-il écrit tout seul ? C'est facile d'être le fils de ... Personnellement, quand une histoire me plait, je ne me pose pas trop de questions. Petit à petit, j'ai été déçue. Et finalement, le dernier tome ne passe pas du tout, pourtant la conclusion n'est pas si mauvaise ; attendue sans être totalement banale. le coeur n'y est plus !

Peut-être ai-je changé entre 2011 et 2015 ? Possible.
Le style me parait vraiment trop adolescent, adulescent presque, on sent l'influence des jeux vidéos dans les batailles (bon, je suis vieux jeu, les références aux jeux de rôle ne me gênaient pas jadis), le caractère des dragons devient humain, il n'y a pas de surprise concernant les nouveaux dragonniers... Dommage, c'était chouette au début, sans doute est-ce pour cette raison que j'ai voulu terminer complètement l'histoire.

J'espère que les jeunes aimeront (pardon, ont aimé pour les lecteurs).
J'avais éprouvé le même type de rejet dans la ballade de Pern d'Anne Mac Caffey. le début fonctionnait très bien, les derniers épisodes me fatiguaient. J'ignore si Paolini récidivera avec un autre ouvrage. C'est malgré tout très fort d'écrire une telle histoire entre 16 et 19 ans. Tous les espoirs sont permis !
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J'ai découvert Eragon lors de sa sortie en 2004 après que ma fille l'ai lu et en ait été très contente. Toujours curieux des lectures de mes enfants, je partage de temps en temps leurs coups de coeur et cette-fois là encore, je n'ai pas été déçu.
Je ne suis pas à proprement parler un inconditionnel de Fantasy, mais j'ai quand même quelques références comme “Dune” ou l'incontournable “Seigneur des Anneaux” et “Bilbo le Hobbit” dont il faudra un jour que je fasse une critique. J'ai également lu la saga “L'assassin Royal” de Robin Hobb ou encore dans une autre mesure “L'Épouvanteur” de J. Delaney. Et bien entendu, de nombreuses BD de ma collection.
L'idée de départ de la caste des dragonniers dont allait faire partie le héros Eragon en “élevant” sa dragonne Saphira était nouvelle, et l'environnement d'un territoire inconnu où se croisaient humains, nains, elfes et autres créatures comme les Urgals, ou encore les Ra'zacs à la solde du traitre à sa caste Galbatorix, n'était pas sans nous rappeler l'oeuvre de Tolkien. Comme référence on pouvait difficilement trouver mieux. L'apprentissage d'Aragon grâce à Brom puis Oromis nous ramenait à Luke Skywalker et Maître Yoda… On était donc en terrain connu et la lecture des aventures du couple Eragon/Saphira nous comblait d'aise.
La connaissance d'innombrables personnages au cours des deux puis trois premiers tomes venait étoffer l'environnement humain (ou presque) et on s'attachait aux relations nouées entre les protagonistes qui allaient oeuvrer à la destitution du traitre et cruel despote faisant régner la terreur sur l'Alagaësia.
Le jeune auteur Paolini des débuts, dont on louait la précocité d'écriture et l'imagination, même empreinte de références connues (voir plus haut), nous emmenait dans des aventures et des paysages inhabituels. Mieux encore, l'éducation d'Eragon dans la Forêt du Weldenvarden où vivent les Elfes, nous avait fait goûter une poésie vraiment touchante. Mais il fallait bien que l'aventure se termine et le quatrième tome (de la trilogie, si, si !) arriva…
On savait que les terribles batailles devaient avoir lieu, avec leur lot de massacres de morts et de regrets, mais là on en a eu plus que notre compte ! Sur 900 pages environ on aurait pu économiser 250 pages de préparatifs, de combats et de victimes. Il manquait visiblement à l'auteur la flamme (du dragon) du premier et même du deuxième tome pour nous faire vibrer jusqu'au bout. J'ai eu vraiment hâte d'en finir et c'est la satisfaction du devoir accompli que je fermai la quatrième de couverture… Et cela paradoxalement avec un goût d'inachevé !
Cependant les derniers chapitres permettaient de recroiser tous les personnages survivants et de faire ses adieux aux uns et aux autres en espérant un avenir meilleur.
Il ne faudrait pas conclure de mon texte qu'il faut faire l'impasse sur ce dernier tome, car malgré tout, il reste indispensable à la saga. Mais je reste persuadé que la totalité de l'histoire aurait pu tenir en trois ouvrages si l'auteur ne s'était pas embourbé dans le troisième livre et pour lequel il fallut la moitié du quatrième pour retrouver un regain d'intérêt pour ce récit épique et original.
Je ne peux pas mettre plus de 2 étoiles pour ce quatrième tome, alors que les précédents en valaient bien davantage : 5 étoiles pour le 1er, 4 pour le deuxième, trois seulement pour le troisième volet… Puisse-t-il n'en y avoir pas d'autres !
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Un fin trop prévisible qui gâche, du coup, un effet de surprise. S'ajoutent à cela trop de mystères non élucidés qui laisse un gout amer au lecteur.
De plus, je ne pensais sincèrement qu'entre ce tome et le dernier, M. Paolini aurait amélioré sa prose ainsi que le côté épique de l'histoire.
En réalité, le tout a stagné. Nous retrouvons toujours des phrases très enfantines dans un contexte de guerre (par exemple, "Nasuada envoya tous les soldats au lit"...) qui est censé, dans la logique des évènements, être assez dur. Alors oui, le roman jeunesse s'impose, mais il ne faut pas trop se laisser aller à la douceur, surtout si l'auteur se lance dans le domaine de l'épique. Ce dernier est d'ailleurs à revoir, parce que ormis l'existence des dragons, je n'en vois pas trop le genre littéraire apparaitre : aucune bataille réellement digne de s'être remémorée, des hommes qui réussissent encore une fois à battre leur adversaire par un simple "bouh", la présence de soldats qui sert uniquement de chair à canon, des personnages recherchés et intéressants inexploités...

J'avais pourtant la sincère conviction, qu'étant le dernier tome, l'histoire allait s'élever et être conclue de manière grandiose. Surtout, sans être mauvaise langue, les deux précédents ne laissaient pas un niveau très haut derrière eux...
La lecture a donc été très difficile pour moi et j'ai dû m'arrêter de nombreuses fois pour reprendre mes esprits face aux incohérences et aux déceptions.
Bien que la saga restera dans ma mémoire comme celle qui aura suivi mon enfance, j'en suis tout de même heureuse de l'avoir enfin fini après toutes ces années.
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Lecture mitigée pour ce 4ième tome. Si je n'avais persévéré dans ma lecture, j'aurais émis un avis encore plus négatif. En effet, j'ai trouvé cela lent. Parfois on se demandait si Eragon était encore le héros de cette histoire. Par moment, il agissait en pleutre alors qu'il avait un dragon à ses côtés, des sortilèges à profusion or Roran n'avait que son courage et son intelligence. Certains événements étaient forts prévisibles et d'autres ennuyeux au possible. Malgré tout, on a envie de lire la suite pour savoir si tel personnage survivra à Galbatorix, Peut-être, il vaut mieux s'abstenir d'en faire un cinquième volume à cette saga ou alors s'y prendre autrement pour relancer une certaine dynamique qui a fait défaut dans certains chapitres.
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La fin, pas très satisfaisante d'Eragon, comme indiqué pour le précédent opus, c'est un péché de jeunesse de ma part, et je me suis rendu compte après avoir grandi de ses nombreux défauts : manque de recherche dans l'écriture, scénario convenu, personnages creux. Faute avouée, à moitié pardonnée. Spoiler : le méchant est vaincu et les gentils gagnent. le scénario pris dans sa globalité ressemble beaucoup beaucoup beaucoup à celui de Star Wars.
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L'Héritage devait être la conclusion de la quadrilogie lancé il y'a plus de huit ans par Christopher Paolini. Il n'en y'ai rien, l'auteur a récemment fait savoir qu'il y'aurait un cinquième tome. Eragon n'a désormais plus qu'un seul but : vaincre Galbatorix et ainsi restaurer la paix dans le royaume, plus facile à dire qu'a faire car le roi félon est énormément puissant. Comment va-t-il faire pour le vaincre ?
J'attendais ce quatrième opus avec impatience, j'étais curieux de savoir comment l'auteur allait terminer ce cycle, j'ai été vraiment déçu comme je pense la majorité des personnes. Dans le précédent livre, certains personnages m'énervaient ce qui s'est aggravé durant l'aventure. Nasuada va vraiment déçu par son comportement et la fin la concernant ne me plait absolument pas, on peut dire la même chose également pour Roran, tout cela pour moi fait un peu trop niais. L'auteur a bâclé la relation ou devrais-je dire l'absence de relation entre Eragon et Arya et de la faire devenir dragonnier et reine des elfes n'a aucun sens, ils se sont battus contre ça tout le long des quatre tomes et que dire de la relation entre les deux dragons à mourir de rire… Certains passages sont quand mêmes réussis, je pense à la bataille finale qui a mon sens le meilleur moment du livre. La fin d'Eragon me fait énormément pensé à la fin du Seigneur des Anneaux, de la à dire que Christopher Paolini a copié sur Tolkien, il y'a qu'un pas que je franchirais allégrement.
L'Héritage m'a vraiment déçu, après sa lecture, j'ai vraiment eu un sentiment de gâchis, l'auteur a crée un monde cohérent avec un nouveau langage, une intrigue bien construite mais il faut bien avouer que ce livre est totalement loupé, j'espère que le cinquième volet relèvera un peu le niveau très décevant de ce dernier épisode.
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★☆★ L'ultime tome tant attendu des aventures d'Eragon et Saphira !

Ce roman est une succession de batailles sanglantes, de sièges de ville, de stratégie militaire. Un peu trop à mon goût, j'avais envie de lire en diagonale certains passages.

Je me suis bien entendu posée la question de savoir quel pouvait bien être ce dragon vert... On l'apprend dans le livre, comme pour les tomes précédents.

Avec ce dernier tome qui clôt la saga, on a la réponse à certaines questions. Eragon a mûrit, est moins arrogant que dans les autres épisodes.

C'est de notoriété publique que je préfère les méchants dans les livres. de ce fait, je n'ai pas du tout aimé comment a été expédié le cas Galbatorix.
En 2 temps 3 mouvements et pif pof, on n'en parle plus. 4 livres pour en arriver là !!
J'ai d'ailleurs dû relire une partie du chapitre pour être sûre d'avoir bien tout compris...
Suite à ça, la lecture des derniers chapitres a été assez fastidieuse, une histoire un peu bateau sans grand intérêt.

J'ai bien aimé la fin, même si je m'attendais à autre chose.

Bref, je ne suis pas trop contente de ce 4ème tome, que j'ai trouvé trop long et ennuyeux par moments. Mais au moins maintenant je sais et peux passer à autre chose. ★☆★

Note : 1.5/3

Lien : http://lecture-addict.blogsp..
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Certes l'auteur a commencé sa série très jeune.
Certes il y a des ficelles bien trop faciles(le héros qui tombe amoureux de l'elfe guerrière mais enfait c'est la princesse et leur amour n'est ni partagé ni possible), des choses bien trop classiques (des elfes et des nains et des dragons, whoaaaah, quelle originalité), et des noms... bien trop bidon (Eragon pour un gars qui va devenir ami avec le (supposé) dernier des Dragons... oula ça chauffe sous son crâne!).
Certes faire 4 tomes pour une trilogie... hé bin c'est plus une trilogie!

Mais passons. Les 3 premiers tomes restaient dans l'ensemble bien agréables à lire.
Mais pour le 4eme tome alors là je dit STOP!!! Je n'en peux plus!!! de ces scènes qui trainent en longueur... de ces CLICHES (oui j'ose le mot) vieux comme l'heroic fantasy... de ces invraisemblances incroyables (une ville est imprenable pour les résistants? bah c'est pas grave, c'est le fils d'un fermier qui va aller la vaincre, et dans un temps record en plus!)... de ces bons sentiments qui dégouline (il est gentil, mais c'est le fils d'un méchant alors on l'oblige à être méchant. Ah mais non, en fait il se débrouille quand même pour etre gentil et... et je n'en dirais pas plus pour ne pas faire de spoiler, mais j'en bave tellement c'est mielleux!)
L'attente du livre n'a certainement pas aidé, mais il est très difficile de se plonger dans l'histoire. Et d'y rester. Je n'ai pas terminé le livre, et ne suis pas sure de le terminer un jour...
Si on pardonnait les faiblesses de l'histoire sur les 3 premiers tomes, elles deviennent trop envahissantes et insupportables sur ce tome, et moi qui pourtant ai tendance à finir n'importe quel livre que j'aurais le malheur de commencer, je regrette presque d'avoir acheté celui là...
Voila je crois que tout est dit: ce livre est trop (trop long, trop facile, trop incohérent, trop invraisemblable etc) et DE trop! C'est dommage de finir la série sur un si mauvais tome...
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