Le Jugement dernier

Ce roman policier, qui fait partie d'une série, est très différent d'autres oeuvres de beaucoup plus grande envergure de l'auteur. Changement de traducteur ou juste style différent, je n'ai pas été vérifier.
Ici nous sommes dans un roman léger, avec pas mal d'action mais pas une intrigue de fou. Mais le ton est amusant, j'ai plusieurs fois souri et même ri et on se laisse embarquer au côté du couple d'enquêteurs : l'un marchand d'oeuvres d'art et l'autre policier dans le milieu de l'art.
De Paris, à Rome jusqu'en Angleterre en passant par la Suisse, ça va à toute allure et toujours sans argent! Mais si l'histoire est un peu tirée par les cheveux, et si certaines ficelles sont grosses ( notamment la confession finale...) on se laisse prendre au jeu. Ma foi: j'ai passé un moment agréable ! Parfait pour des vacances.

Je ne lis pratiquement jamais de policier!
"Ma libraire" m'a dit : 'essayez celui-là!"
Et, j'ai été embarquée dans une histoire dans le milieu de l'art, qui se passe entre Paris, Rome et l'Angleterre. J'ai trouvé ce livre très sympa!

Quatrième épisode des aventures de Flavia di Stephano et Jonathan Argyll à la poursuite des trafiquants d'oeuvres d'art.

Jonathan a accepté de convoyer de Paris à Rome un tableau qu'il doit apporter à son acheteur. Mais celui-ci, Arthur Muller, semble déçu par l'oeuvre et propose à Jonathan de le revendre pour lui. le lendemain Muller est retrouvé assassiné après avoir été torturé. A la poursuite des meurtriers Flavia et Jonathan vont découvrir que cette affaire prend ses racines à l'époque de l'occupation allemande de la France, des persécutions antisémites et de la résistance. 50 ans après certains ont encore des choses à cacher et le bras long ce que montre l'insistance de la police française à mettre des bâtons dans les roues de nos héros.
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Quatrième tome de la série consacrée par Iain Pears à l'expert en oeuvres d'art et marchand d'art anglais, Jonathan Argyll. Celui-ci est chargé de convoyer de Paris à Rome une banale peinture du XVIII éme siècle. le destinataire, Arthur Muller, la refuse, et est finalement retrouvé mort, torturé. Comme Jonathan et Flavia di Stefano, la policière du service italien des vols d'oeuvres d'art, vont le découvrir le père du destinataire était nazi et c'est le destin tourmenté des oeuvres volées pendant la seconde guerre mondiale qui ressort.
Trafics pendant la guerre, résistance,héritages et histoires de famille, ce Pears là va un peu plus loin dans les méandres du marché de l'art, avec une intrigue un tantinet plus sombre que les précédentes, et plus complexe.

Voici une nouvelle enquête de Flavia et Jonathan que nous retrouvons avec plaisir. Des meurtres, un tableau et des secrets enfuis. Nous nous trouvons transportés dans le monde de la résistance pendant la seconde guerre mondiale. Entre Rome, Paris et Londres nos amis doivent démêler les fils d'une histoire dont l'origine remonte à 50 ans et où les faits se cachent derrière des souvenirs. Flavia et Jonathan avec le soutien du général Bottando vont surmonter les difficultés, déjouer les pièges politiques et zigzaguer entre les difficultés que les officiels placent en travers de leur chemin. Nous sommes heureux de les suivre dans cette aventure et de réfléchir nous aussi aux responsables de ces meurtres. Iain Pears sait nous lancer sur la piste du mystère et l'on ne peut que la mener à bout. C'est toujours un plaisir de le lire.

Un polar plutôt sympa entre Italie et France avec une histoire de tableaux peints par un peintre obscur du XVIIIe.

Jonathan est le fil conducteur de ce nouvel opus des enquêtes de la brigade nationale italienne chargée des vols d'objets d'art. Cette fois, il a accepté de convoyer un tableau, et ses pérégrinations vont l'entrainer de Londres à Rome, en passant par Paris. Mais ce tableau d'un peintre obscur du XVIIIe siècle va l'entrainer bien plus loin que prévu, intervenant à son insu dans une enquête de police. Ici, c'est le Jugement dernier, oeuvre qui fait partie d'une série sur la justice, qui va être la source d'énigme. Mais également source d'inspiration pour l'auteur, qui sait toujours nous montrer les mystères du marché de l'art. Ce tableau va nous entrainer vers les heures sombres de l'occupation allemande, vers d'obscures histoires de famille, où le besoin d'exister, à travers une carrière et la gloire, pousseront certains protagonistes à la faute.