Le fait de se refuser à parler sur la poésie est un soulagement, une délivrance...
[...] On devrait interdire l'usage du porte-plume à pas mal d'individus. Mais qui jugerait ?
[...] Je n'ai jamais été foutu de lire un poème. Au reste je considère que c'est impossible. Il y faut plusieurs générations. Et il y a très peu de poètes, mot ambigu, que le langage ne parvient pas à recouvrir totalement. Bref ! (p. 122)