L’argent représentait la victoire, il n’avait aucune valeur marchande, il permettait juste de tenter de nouveau sa chance.
C’est un vice... Comme l’alcool ou l’opium. Certaines personnes ne peuvent pas s’arrêter, même si ça leur nuit, même si elles perdent tout leur argent, leurs bijoux, leurs tableaux, leurs meubles…
Pour le vrai joueur, il faut risquer plus qu’on ne peut se permettre de perdre. Ce qui l’attirait, ce n’était plus de gagner, c’était de défier le destin, et d’y survivre.
C’est éprouvant d’écouter poliment les condoléances des gens et de trouver à chaque fois une réponse qui ne soit pas fade ni méprisante.
Les femmes étaient assez bonnes pour soigner les malades et les mourants, les laver et les préparer, mais trop faibles de caractère ou d’esprit pour assister à la descente du cercueil dans la tombe.
Les balles ne choisissent pas leurs victimes.
On devient infirmière parce qu’on en éprouve le vif désir, non parce qu’un ami vous le demande ou parce qu’on ne peut pas épouser l’homme qu’on aime.
Il vaut mieux la souffrance passagère que l’aggravation du mal !
Qu’aimait-on chez une femme ? Certainement l’honorabilité et la douceur, le courage, la gaieté, la sagesse et toutes les pensées que l’on partageait avec elle. Mais ce qui éveillait la passion, c’était ce que le cœur pensait voir, ce à quoi croyait la vision !
Je n’avais pas envie de rester assis… à penser. Le travail est parfois salutaire.