Les Artilleuses, tome 3 : Le secret de l'Elfe

- Je ne perds jamais parce que je triche…
- Vous trichez. Moi, j’improvise.

– Vous pouvez rester ici aussi longtemps que vous le voulez, mesdames, surtout que l'atmosphère sera bientôt plus respirable...
– Tu parles des odeurs de peinture ? Ca sent pas trop, je trouve.
– Je parle des odeurs de gendarme...

Tiboulon! Lâche le gendarme ! Tu vas te rendre malade!

On dit que les yeux sont les fenêtres de l’âme. Est-ce pour cette raison qu’ils sont ce que la magie draconique peine le plus à déguiser ? (p.33)

C'était quand même une belle aventure, non ?